Pascal Force Et Justice

une des grandes figures de la médecine du début du XXe siècle. 2 Je n’ai pas retrouvé le texte d’où était extraite cette définition que l’on trouve partout. 3 Qui entend le silence ? Quelques mensonges de la médecine, ch. 11, « La santé », page 1/7 Pascal GILBERT (http://pascalgilbert.ouvaton.org/) Fondée sur l’idée de la neutralité, la définition de Leriche aspirait à une certaine objectivité, fondée sur le bien-être. Celle de l’OMS introduit la relativité, la dynamique historique de l’environnement

être déduite mais seulement constater. Donc savoir si dieu existe il faut le rencontrer. Descartes = « une démonstration est une longue chaîne de raisons », avec une vérité premiere. Mais elle n’est pas démontrable mêmes si elles sont évidentes. Pascal disait qu’elles ne sont pas évidentes. Ces vérités dépendent des axiomes sur lesquelles elles sont basées. Cf : démonstration du triangle Lobachevesky démonstration par l’absurde et Euclide. Autres : Platon : les maths qui fonctionnent par

danger, superviser les actions de l’autre. L’autorité, la justice régit le bien être d’une cité, d’une communauté. La société est organisée selon des lois. Mais pourquoi faut-il surveiller et punir l’homme ? En le punissant sommes nous entrain de l’aider à distinguer le bien du mal ? Toutefois il est important de préciser qu’une société utopique sans punition reste envisageable mais peu réalisable. Quel est le rôle justement de la justice ? N’est elle pas qu’une apparence ? L’homme n’est il pas

1. Il n'est pas possible que Dieu fasse jamais rien d'injuste; dès qu'on suppose qu'il voit la justice, il faut nécessairement qu'il la suive: car, comme il n'a besoin de rien, et qu'il se suffit à lui-même, il serait le plus méchant de tous les êtres, puisqu'il le serait sans intérêt. Ainsi, quand il n'y aurait pas de Dieu, nous devrions toujours aimer la justice, c'est à dire faire nos efforts pour ressembler à cet être dont nous avons une si belle idée, et qui, s'il existait, serait nécessairement

L’homme, seul de tous les animaux, possède la parole. » : Aristote « La parole a beaucoup plus de force pour persuader que l’écriture. » : Descartes « Les paroles seules comptent, le reste est bavardage. » : Ionesco 8) LA RELIGION "C’est l’homme qui fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme." : Karl Marx “Impossible que Dieu soit, impossible que Dieu ne soit pas.” : Pascal "Toute religion est née de la peur et du besoin." : Nietzsche "Les religions sont comme des

la loi". C'est ainsi qu'en matière de justice, la légalité importe plus que la légitimité. La loi, par exemple, protège la propriété privée mais de cette façon garantit l'inégalité des richesses. Or, devant un partage inéquitable, l'homme lésé s'indigne comme l'enfant: "C'est pas juste!". Peut-on dire qu'il existe des lois injustes? La justice a deux sens: ce qui est légal, conforme au droit positif et ce qui assure l'égalité. Ce second sens fait de la justice une vertu et relève de la morale. Les

de s'engager. Puis l'existentialisme et les sciences sociales contemporaines donneront une vision un peu plus pessimistes mais néanmoins intéressante de l'homme dans son milieu. I- L’antiquité Rhétorique: art de persuader lié à l’art oratoire (en justice) en effet au 5eme av JC après la chute des tyrans en Sicile des procès pour des terres confisqués. Mais aussi en politique, trois genres de discours: épidictique (louer/blamer), délibératif (conseiller/ déconseiller), judiciaire (accuser/défendre)

Le dopage dans le cyclisme professionnel : accusations, confessions et dénégations Patrick Trabal1 et Pascal Duret2 1. Univ. Paris X, Lab. Sport & Culture, 200 av. de la République - 92001 Nanterre Cedex 2. Univ. de la Réunion, CURAPS, 117 rue du Général Ailleret - 97430 Le Tampon Résumé: Le but de cet article est d’étudier la question du dopage en mobilisant les apports de la sociologie pragmatique. En étudiant symétriquement les positions des différents protagonistes et en les prenant au

livre fort curieux ». Il cite aussi les lois de la gravitation découvertes par Newton peu de temps avant l'époque de Voltaire. Il qualifie le physicien Derham (XVIIIe) "d'illustre vicaire", l’emploi de l’adjectif n’étant pas sans ironie, et Blaise Pascal de "géomètre assez médiocre » et de « fort mauvais métaphysicien » → il donne ainsi son avis sur ces deux scientifiques. *« nous ne concevons rien au-delà de nos usages » annonce la fermeture d'esprit de sa société contre laquelle il tente de s’opposer

ne vint pas en aval qui ne saurait avoir troubler le breuvage du loup. Désemparé et agacé par cette logique irréfutable,le loup essai de s'imposer en répétant son 1er grief (reproche) sur un ton sans réplique mais en même temps ayant bien senti la force de la réponse de l'agneau. Il se rabat sur un second prétexte n'a plus rien a voir et qui est aussi inattendu que illogique .Cette fois encore la réponse de l'agneau est immédiate et décisive il n'était pas né . Mais le loup a réponse à tout vers