Pascal Pensées 1670 Le Bonheur

Le plus grand philosophe du monde sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il y a au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n'en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer. Je ne veux pas rapporter tous ses effets. Qui ne sait que la vue de chats, de rats, l'écrasement d'un charbon, etc. emportent la raison hors des gonds ? Le ton de voix impose aux plus sages, et change un discours et un poème de force. L'affection ou

conversion d’un jeune homme qui cherché la Vérité sur des chemins d’erreur avant de la rencontrer dans le Christ. Dans ses Confessions, Augustin explique clairement le chemin parcouru, parsemé de fausses croyances séduisantes, de confusions sur le vrai bonheur, de peurs de s’abandonner à Dieu, jusqu’à la délivrance, par son choix de donner librement toute sa vie. Au fil des Confessions, saint Augustin associe le lecteur à son projet. Ainsi, le lire c’est relire avec lui notre propre vie, pour comprendre

pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres comme Kant condamnent la recherche du bonheur (comme s'opposant à la morale) ou comme Nietzsche la critiquent comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. Épicure (3eme s. av JC) [modifier] Le bonheur est le plaisir

Comme le pense La Bruyère, ou peut –elle seulement servir à donner du plaisir au lecteur et à l’écrivain ? Dans un premier temps nous expliquerons qu’est-ce que la littérature engagée et comment permet-elle de faire passer des idées. Dans un deuxième temps nous verrons que la littérature peut avoir d’autres buts tels que de donner du plaisir au lecteur et à l’écrivain ou d’exprimer des sentiments divers. Tout d’abord qu’est-ce que la littérature engagée ? Un écrivain engagé pense que a littérature

la lettre LXXXI de « Si cependant vous m’avez vue, disposant des événements et des opinions… jusqu’à cette puissance dont je vous ai quelquefois si étonné», Les Liaisons dangereuses (1782), (p360-361) - Texte 2 : Mme du Châtelet, Discours sur le bonheur (1779), (p352-353) - Texte 3 : Olympe de Gouges : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791), (p362-363) - Texte 4 : Montesquieu : Lettre CLXI, Les Lettres Persanes (1721) (la lettre entière) Lectures complémentaires :

fable d’une morale implicite et complexe, contrairement à son habitude de mettre en scène des animaux, Jean de La Fontaine compare deux personnages opposés à travers les rapports qu’ils entretiennent avec l’argent et l’influence de celui-ci sur leur bonheur. Ainsi, nous pouvons nous poser la question suivante : Comment un récit d’apparence très simple peut-il véhiculer un message complexe ? Pour y répondre au mieux, nous nous proposons, pour commencer d’étudier le divertissement que nous apporte ce récit

inévitable de la pensée et de la volonté humaine, elle a peur d’un monde, un monde en perpétuelle ébullition. Toutefois, une chose que l’on peut reprocher à ce système est que, loin de nous apprendre à vivre, il nous apprend encore moins à vivre heureux. L’école nous persuade, en se basant sur le passé, que seul notre avenir importe. « Pense à ton avenir » ; « Que veux-tu faire plus tard ? ». L’école nous apprend à agir dans le seul but de nous assurer un confort et un bonheur futur, un équilibre

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique

racionalisme, celui apprécie aussi la culture classique, cependant les deux mouvements ont opinions  opposées. Le Classicisme avait comment caracteristiques: appréciation culturel et philosophique des cultures grecque et romaine anciennes; influences des pensées humanistes; l`homme au centre de l`univers; appéciation des explications appuyées à la science, pendant que le Barroque avait comment caracteristiques: Dieu au centre de l`univers; appréciation des explications apuyées à la réligion; l`homme, pour

amorphe. Tout d'abord, l'écrivain est critique. Selon lui, l'argumentation doit s'efforcer de toucher les lecteurs et se présenter à lui sur un monde plaisant. Un monde plaisant du point de vue socio-politique basé sur la raison, la liberté et le bonheur; Il pousse la société passive à se demander si une société politiquement et socialement juste est envisageable, si les forts doivent dominer les faibles ou encore comment nous sommes conduits à mépriser l'autre, voire le haïr. Il interroge le lecteur