Pascal Pensées Des Moyens De Croire

personnelle (attention : par « conviction personnelle », ici, je n’entends nullement l’opinion, le préjugé, qu’il est par contre de notre devoir d’essayer de vous enlever. Par exemple, je fais la différence entre « croire que les races sont inégales », qui est une opinion fausse, non fondée, et « croire en Dieu » -évidemment, à condition que celui qui ait cette croyance ne veuille pas l’imposer de force aux autres, et reconnaisse à son tour que celui qui ne croit pas en Dieu n’a pas « tort » ; ce qui me paraît

croyants. Pourtant, depuis l'avènement des sciences moderne, il n'a cessé d'exister entre l'Eglise et les scientifiques une tension, un combat permanent, la plupart du temps provoquée par cette grande opposition entre la foi et la raison, entre croire et penser. Le terme "progrès" appliqué aux sciences expérimentales en témoigne, car il implique que les perspectives de connaissances qu'elles apportent sont infinis. La foi religieuse, à l'inverse, n'évolue pas à proprement parler , même si les modes

Blouise  Pascal  (1623-­‐1662)  à  qui  on  doit  de  nombreux  traités  de  mathématiques  et  le   célèbre  recueil  des  «  pensées  ».  Leur  égoïsme  et  leur  souci  de  réforme  inquiètent  tant   qu’ils  furent  condamnés  par  une  bulle  papale  en  1710  et  l’abbaye  fut  rasée  par  ordre  de   Louis  XIV  en  1711.     Pascal  :

limites dans l'état de nature suscite cette violence: rivalité égoiste des hommes, (violence des désirs.) Le contrat social repose sur un assujetissement volontaire de chacun au profit d'un souverain extérieur. =>L'autorité du souverain est le moyen de mettre un terme à la violence nous sommes au niveau de ce que doit être la politique. la fin visée n'est pas l'élimination de la violence pr elle-meme mais ses cqces: paix et sécurité. B Par là la politique légitime droit de la nature à

: « je pense, donc je suis.», Discours de la méthode. 2. René Descartes : « je suis une chose qui pense. » Méditations métaphysiques. 3. Blaise Pascal (1623-1662) : «La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable ; un arbre ne se connaît pas misérable.», Pensées. 4. Blaise Pascal «L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant.» Pensées. 5. Blaise Pascal : « Toute notre dignité consiste donc en la pensée » Pensées. 6. Rousseau

aurait une perception tronquée de la réalité. Et lorsque nous mentons, nous disons le contraire de ce qui est arrivé avec l’intention de tromper celui à qui nous mentons. "Tous les hommes désirent d’être heureux. Cela est sans exception" dit Pascal dans les Pensées. Mais nous savons aussi qu’il n’est pas toujours facile de l’être. Le bonheur est voulu, désiré, ardemment recherché mais il n’est pas toujours obtenu. On ne peut pas vraiment en dire davantage sur le bonheur dans l’introduction. Il n’y a

commencer par Copernic ou Galilée, ont fini par montrer que tout le monde se trompait. Alors, suffit-il d’être certain pour être dans le vrai ? (problématique) "Être dans le vrai", c’est à première vue connaître la vérité, c’est-à-dire que ce que l’on pense ou ce que l’on dit correspond à la réalité. Saint Thomas d’Aquin donne une définition de la vérité : « adéquation entre l’intellect et la chose ». Quand je dis "le soleil se lève" par exemple, c’est vrai si, dans la réalité, le soleil se lève. La certitude

pas car l’instant présent ne peut être qu’en cessant d’être. A peine présent, il appartient au passé et je parle toujours du présent du passé. Le temps s’oppose à l’éternité comme l’apparence à la réalité. Nous sommes ici dans une pensée religieuse comme chez Pascal, l’intention de l’auteur est de voir comment le temps s’articule avec l’éternité divine et quel est le sens de la vie humaine. L’éternité qui caractérise Dieu est l’aspect positif du temps. D’un autre coté, le temps qui caractérise notre

I. Séparées, la justice et la force ne peuvent être efficaces. 1) Il est impossible de rendre justice sans la force : - Pascal : « Si l’on avait pu, l’on aurait mis la force entre les mains de la justice […] De là vient le droit de l’épée, car l’épée donne un véritable droit. Autrement on verrait la violence d’un côté et la justice de l’autre. » (pensée 85) La force est source légitime d’autorité ; pour faire respecter les lois et imposer une justice, une autorité est nécessaire, et pour

relatif de la justice. Ce passage fait directement référence aux Pensées de Pascal où il avance "Plaisante justice qu'une rivière borne. Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà". Pascal explique donc que la justice est personnelle pour chacun, que chaque personne voit les deux valeurs, le juste et l’injuste différemment. Il démontre donc qu’aucune loi ne peut être appliqué partout au nom du principe de justice. Ainsi pour Pascal, la justice est une notion introuvable et par conséquent les lois