Pascal Pensées Des Moyens De Croire

peut atteindre la vérité, ou du moins ne pet pas savoir si qu’il pense est vrai) I. Qu’est-ce qui nous porte à croire ? Df croyance : jugement que l’on considère comme vrai sans être capable de le justifier ; ---->dc : ne suffit pas à être considérée comme vérité Rechercher les causes de la croyance. But : lucidité pour sortir de son emprise et son empire a. notre intérêt (moyen pour atteindre un but personnel) nous porte à croire Nos croyances peuvent nous servir socialement (appartenir à

1 Pascal, Pensées, liasses II à VIII Séquence pédagogique orientée vers la terminale L, proposée par Daniel Hermosin. Sommaire I. Présentation II. Perspectives d’étude 1. Les papiers d’un mort 2. Le divertissement 3. Un misanthrope sublime ? III. Bibliographie I. Présentation L’étude des liasses II à VIII des Pensées de Pascal offre au professeur et aux élèves un excitant défi intellectuel. L’objet d’étude proposé – « Littérature et débat d’idées : Grandeur et misère de l’homme »

chacun s’estime compétent, bien que chacun ne puissent justifier son jugement. Dès lors, qui peut dire la justice et la faire appliquer ? Trois cas particulier de jugement peuvent retenir notre attention. Il est vrai que la justice à laquelle on pense d’abord est l’auto-jugement, le fait de se faire justice soi-même. Cependant, les juges et les forces de l’ordre semblent plus à même de procéder à un jugement légitime. Néanmoins, ces deux premiers jugements ont des limites et restent dos à dos sans

«  qui n’est pas encore » et qui n’appartient qu’au temps. De plus la conscience réflexive permet un regard sur soi, et donc un jugement de sa propre personne étant donné la prise de conscience de sa personne et de ses actes. Comme le disait Blaise Pascal, “la grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable”. L’homme se sait donc, il se perçoit, en bien ou en mal, mais cette perception permit grâce à la conscience, cause de nombreux troubles à l’homme. La conscience oblige l’homme à

la plus élémentaire des nécessités, la nécessité vitale : travailler, c'est justement produire ce que la nature ne fait pas toute seule et produire ce sans quoi ma propre survie serait compromise, sinon menacée. Ainsi pour Hegel, le travail est un moyen par lequel l’homme construit son histoire et accède la grande liberté. Les vêtements ne poussent pas tout seuls et j'en ai pourtant besoin pour me protéger des rigueurs climatiques : il me faudra alors les tisser, et cela, nécessairement. Cultiver

est sujet autant par le rapport à lui-même que par le rapport au monde. L’être doué de conscience existe doublement : en lui-même comme une chose et pour lui-même en cela qu’il se sait exister, qu’il existe à ses propres yeux pour ainsi dire « je pense donc je suis » descartes. Au lieu d’exister et de l‘ignorer, l’être doué de conscience existe et le sait. C’est ce qui le distingue des êtres qui ne sont pas doués de conscience, comme les choses, ainsi de ceux qui ne sont capables que de se sentir

créance. → ESPERANCE (espérer en Dieu) Foi: fidélité, confiance, fiabilité. Le religieux vit dans la confiance, l'espérance. Il aime Dieu plus que lui même =/= superstition : le superstitieux craint, à peur, et est maladivement égocentrique (pense que l'univers lui envoie des signes) Le superstitieux ne sert pas Dieu, il s'en sert. Il s'aime plus qu'il n'aime Dieu. Cependant : il n'y a pas d'espérance sans crainte et inversement. Ainsi, il n'y a ni religion pure ni superstition pure. Avoir

d'un sujet, par diverses moyens employés, son but sera de nous faire réfléchir. Il utilisera les personnages, un contexte ou même parfois il mènera son sujet sans l’intermédiaire de l'argumentation indirect. Comme Les Pensées de Blaise Pascal, une œuvre posthume, dans un passage l'auteur parlera d'un pari. Aujourd'hui appelé Pari de Pascal, ce pari ne démontre pas l'existence de Dieu, l'auteur déduit juste qu'il est plus avantageux de croire en Dieu que de ne pas y croire. Ce pari nous pousse aussi

"Plaisante justice qu'une riviere borde" écrit Pascal dans ses Pensées mettant ironiquement en avant l'incapacité qu'ont les Etats à mettre en place une Justice au sens plein du terme. On peut en effet donner plusieur deffinition à la justice: celle dite en fait, assurée par les lois qui varie en fon- ction des cultures; et celle en tant qu'absolu, universelle, concepte qui place la notion de justice comme étant un idéal. Cependant, les lois, garantes de la liberté civile, nous permettent elles

meilleures et les plus importantes des choses humaines, répond Gorgias, ce qui est répondre par un jugement de valeur sans préciser sur quoi il porte. C’est ce que lui fait remarquer Socrate : il n’est aucun homme compétent en un art quelconque qui ne pense que son art produise les plus grands de tous les biens. Pour un médecin, ce n’est pas la rhétorique qui produit le bien suprême, mais justement la médecine. La question revient donc toujours : quel est ce bien suprême que produit la rhétorique,