Pascal Souverain Bien

il croit en un Dieu nécessaire à l'ordre du monde: Je ne conçois pas que cette horloge marche et n'ait point d'horloger. Hors cela, il n'est nullement religieux de sentiment et n'a jamais compris l'âme religieuse, qu'il s'agisse d'un écrivain comme Pascal ou d'une époque comme le moyen âge. Il a toute sa vie livré une lutte acharnée au fanatisme et à l'intolérance, et pour cela injustement tourné en dérision la hiérarchie, les dogmes, le culte de l'Église catholique qu'il rend responsable des querelles

faire quelque chose, on peut m’y contraindre par la force mais ma volonté restera inchangée. Je dispose alors, comme chaque homme, d’une volonté libre, d’un domaine de pouvoir et de liberté totalement intérieur à moi-même. D’après ce constat, je peux, bien que n’ayant pas le pouvoir de faire ce que je veux, choisir librement ce que je veux; il m’est donc possible de limiter ma volonté à mon propre pouvoir, c’est-à-dire à ce que je peux faire. Dans ce cas, je fais exactement ce que je veux et jouie par

radicale du rationalisme philosophique moderne, «l'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant» . Une vie entre le calcul et la fulgurance Né dans une famille appartenant à la noblesse de robe, Blaise Pascal perd sa mère en 1626. Son père, magistrat lié avec les savants de l'époque, s'installe en 1631 à Paris pour se consacrer à l'éducation du jeune Blaise. A douze ans, l'enfant découvre les premiers principes d' Euclide, et pour faciliter le travail

la définition de l’état » Qui est Hobbes ? Thomas Hobbes, philosophe anglais fils d’un ecclésiastique protestant, est né en 1588 en Angleterre. Il est l’un des fondateurs de la philosophie politique moderne. Il fut le contemporain de Descartes, Pascal, etc... et a fréquenté nombre de savants de l’époque : Gassendi, Galilée, Mersenne, etc. Ses œuvres principales sont De Cive (1642) et le Léviathan (1651).Par ailleurs Hobbes a vécu plus de 1oans en français eu différente profession tel que professeur

~ Leçon 6 ~ LE BONHEUR. INTRODUCTION : Le bonheur est-il le bien suprême ? Quel est le but que doit poursuivre mon existence ? Quel sens dois-je donner à ma vie ? À quoi dois-je aspirer ? À toutes ces questions, la réponse ordinaire est : le bonheur. Le bonheur serait donc le bien suprême de mon existence, son but ultime. Achille dans L’Iliade aurait fait le mauvais choix en préférant une vie glorieuse à une vie heureuse. Cette conclusion supposerait qu’il faudrait sacrifier tout au bonheur

FORMATION CONTINUE 2009-2010 Stage « Un thème, un texte » Pascal, Pensées, « La justice et la raison des effets » (Texte établi par Léon Brunschvicg) Compte rendu d’un stage de formation continue organisé en quatre demi-journées, les lundi 14 décembre 2009, mardi 12 janvier 2010, mercredi 03 février 2010, vendredi 09 avril 2010. Première séance : Monsieur Henri Elie, Inspecteur Pédagogique Régional de l’Académie de Nantes, souhait la bienvenue aux stagiaires. Il précise la méthode qui servira

Dieu nous attribue, encore une fois, gratuitement ; et indépendamment de notre mérite individuel ou de notre situation sociale. 3)L’apport de Pascal et de Rousseau Pascal et Rousseau contribuent à libérer cette doctrine de ses origines philosophiques ou aristocratiques («On peut être homme sans être savant» dit Rousseau) et même religieuses : pour Pascal, en effet, notre dignité consiste en la pensée : «L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant[…] Toute

L'homme = inapte à concevoir des valeurs. Il faut donc pour guider son action s'en remettre à des règles positives, empiriquement connaissables, issues d'accords de volonté ou de vouloir souverain. C'est parce que la vérité est inaccessible à la raison qu'il faut se tourner vers l'autorité et vers la force. Pascal : « La justice est ce qui est établi ; et ainsi toutes vos lois établies sont nécessairement tenues pour justes, puisqu'elles sont établies. » Courant plus radical encore car nie la réalité

Sarah Olivier Histoire générale / 1ère année Séminaire de méthodologie TP3-2 : Compte-rendu critique Compte-rendu critique: BASTIEN, Pascal, L'exécution publique à Paris au XVIIIe siècle, Seyssel, Champ Vallon, 2006. L'historien Pascal Bastien ouvre - dans son ouvrage sur l'exécution publique au XVIIIe siècle - une nouvelle brèche dans l'historiographie du judiciaire. Très intéressé par le lien entre droit et culture et les différents rapports de force entre pouvoir et peuple, le moderniste

L'œuvre de Pascal a suscité de nombreuses polémiques et controverses, depuis sa publication jusqu'à nos jours; elle nous interroge, elle nous interpelle, et nous rappelle à notre condition, celle de la sujétion. C'est dire si elle demeure toujours actuelle et combien elle secoue notre quiétude, si elle dérange notre mansuétude et ébranle nos certitudes. Pascal nous condamne à l'infortune de nos pataugements assimilant la portée de nos sciences à celle de la vision d'une grenouille au fond d'un puits