Pasiphaé

Minos: fils de Zeus et d'Europe, il fut roi de Crète et devint après sa mort l'un des trois juges des enfers. Sa femme, Pasiphaé, fille du Soleil, lui donna un fils, Androgée, et plusieurs filles, dont Ariane et Phèdre (voir l'arbre généalogique, p. 154). Pour punir Minos d'avoir oublié de lui sacrifier un taureau blanc qu'il lui avait envoyé, le dieu Poséidon inspira à Pasiphaé une furieuse passion pour ce taureau: de leur union contre nature naquit le Minotaure (que tua Thésée; cf. le v. 82). Ce

pourquoi ce confident discrète Thésée à travers une argumentation bien construite qui prouve que ce dernier absent n’est ni un père ni un héro ce n’est qu’un séducteur « cachant de nouvelles amours » « amante ». De plus la périphrase « fille de Minos et Pasiphaé » qu’Hippolyte emploi indique Phèdre pour rappeler sa généalogie venant d’une famille maudite ce qui rappel la tragédie. Finalement, Hippolyte change d’agis et intervient avec un 3eme prétexte celui de fuir Aricie puisqu’il ne pas l’aimer c’est un

Acamas, elle détruit sa famille légitime par son amour pour Hippolyte. Mais cette culpabilité n'est pas, au premier abord, de la responsabilité de Phèdre. Sa passion est vécue comme l'effet d'une machination divine, dont "la fille de Minos et de Pasiphaé" n'est que l'instrument, l'ultime manifestation. Son ascendance en effet explique quelques-uns des nombreux visages de Phèdre dans la pièce. Il est impossible néanmoins d'innocenter complètement Phèdre à la lumière de cette lourde hérédité. Sa

syllabe accentuée. Dans l'alexandrin ou vers de douze syllabes, on doit, en principe, observer un repos au milieu du vers, c'est-à-dire entre la sixième et la septième syllabe. Chaque moitié du vers se nomme hémistiche: La fille de Minos | et de Pasiphaé. (Racine) Dans ce vers comme dans presque tous les vers, le repos de la césure est faible, et n'est marqué par aucune ponctuation, mais il n'en est pas moins sensible, grâce à l'accent qui porte sur la dernière syllabe du mot Minos. L'alexandrin

Eaque, Triptolème, Orphée, Musée, Ulysse, Sisyphe) et littéraires (Homère, Hésiode, les 2 plus anciens poètes grecs connus). Rappel mythologique (au cas où on vous pose des questions) : * Minos : roi de Crète, fils de Zeus et époux de Pasiphaé. Ce fut un roi juste, mais suite à un pacte avec Poséidon –histoire du taureau pour devenir roi- Poséidon fit en sorte que sa femme tombât amoureuse du taureau > naissance du minotaure. Il reçut de son père les lois qu’il appliqua dans son royaume

Megare. Scylla, la fille de Nisus lui son père et sa patrie. Minos refuse cet outrage. Scylla s’enfuit alors. Elle est poursuivie par son père qui la transforme en oiseau. Victorieux, Minos enferme le Minotaure, monstre né de la passion de sa femme Pasiphaé dans un labyrinthe sans issue construit par Dédale, le plus célèbre des architectes. Neuf ans après, Thésée réussit à tuer l’énorme taureau grâce au fil d’Ariane qu’il emmène vers l’ile de Naxos. Dédale, le génial inventeur, enduit son fils Icare

Acamas, elle détruit sa famille légitime par son amour pour Hippolyte. Mais cette culpabilité n’est pas, au premier abord, de la responsabilité de Phèdre. Sa passion est vécue comme l’effet d’une machination divine, dont « la fille de Minos et de Pasiphaé » n’est que l’instrument, l’ultime manifestation. Son ascendance en effet explique quelques-uns des nombreux visages de Phèdre dans la pièce. Il est impossible néanmoins d’innocenter complètement Phèdre à la lumière de cette lourde hérédité. Sa passion la

ou évoqué dans quasiment toutes les répliques et représente ainsi une omniprésence pesante. Le second personnage relativement longuement présenté est Phèdre, dans ses origines mythologiques et son lien avec la fatalité (« la fille de Minos et de Pasiphaé » : descendante du Soleil, donc haïe de Vénus, qui est tenue pour responsable de l’amour incestueux de Phèdre pour Hippolyte), dans sa « haine » d'Hippolyte (« dangereuse marâtre », « haine sur vous » vers 37 à 47) et surtout dans son mal mystérieux

sanctuaires et les oracles que lors de jeux et de sacrifices. Il devint un symbole religieux au niveau de l'art. il fut considèré comme le père de Pythagore. Ariane : Ariane est la sœur de Phèdre, fille du roi de Crète Minos et de Pasiphaé, qui par un subterfuge sauva Thésée du Minotaure. Le héros Thésée avait quitté Athènes pour la Crète, afin de tuer le Minotaure. Pour ce faire, il s'était glissé dans le groupe des jeunes gens que la Grèce continentale était contrainte par Minos

intéressant est le fait qu’Œnone est à la fois dominante et la dominée dans la pièce. Cela peut être claire quand on fait une dichotomie du caractère de ces deux femmes. Commençons par la généalogie des deux. Phèdre est la fille Minos, le roi d’Enfer et de Pasiphaé, la fille du Soleil. Là, on voit que Phèdre est surhumaine et elle a des aspects mythologiques. Elle croit à la vie qui se passe après la mort. C’est exactement pour cette raison qu’elle a peur de voir le jour, le soleil, son grand-père. Elle a peur