Passion Destructrice

Une telle passion dévorante est souvent dramatique. C’est la raison pour laquelle des auteurs en font le sujet de leurs œuvres. Alexandre Dumas présente ce phénomène envoutant dans le comportement de son personnage Hoffman dans le roman La femme au collier de velours. Cette passion pour le jeu le consumera complètement. En effet, il sera complètement absorbé par son engouement ce qui provoquera chez lui l’abandon de tout ce qui lui est important. Tout d’abord, le jeu est une passion ardente chez

Tout d’abord, la passion impossible de Phèdre est causée par sa lourde hérédité. En effet, haïssant le Soleil, grand-père de Phèdre, Vénus, la déesse de l’amour, poursuit depuis des siècles maintenant une haine implacable envers sa lignée, conférant à Phèdre donc une aura tragique. Comme le démontre l’extrait qui suit, elle est maudite par la déesse : « Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachées : c’est Vénus tout entière à sa proie attachée. » Le feu qui brûle son corps et son âme n’est donc

Hippolyte, le fils de Thésée. Nous l'apprenons au début de la pièce par ses confidences à Oenone. Dans un premier temps, nous verrons l'aspect passionné de Phèdre, ensuite l'aspect monstrueux qu'elle démonter et enfin son aspect maudit. Passion vient du latin "patium" qui signifie "souffrir", et cette souffrance est plus forte qu'elle et elle est destructrice d'abord pour elle-même. Dès le vers 671, Phèdre qualifie Hippolyte de "cruel" parce qu'elle lui affirme un amour impossible, celui qu'on prétend

l’amour s’oppose aux intérêts de la culture, d’autre part la culture menace l’amour de restrictions sensibles. Il y a dans l’homme un penchant à l’agression. L’intérêt de la communauté de travail n’assurerait pas la cohésion de la société car les passions pulsionnelles sont plus fortes que les intérêts rationnels. Les foules humaines doivent être liées libidinalement car l’intérêt de travail ne suffit pas à maintenir leur cohésion. Donc il faut que les hommes s’aiment, donc il faut restreindre la

Son aveu est involontaire, c'est une passion qui la domine et qui est plus forte que son amour maternel. Passion vient du latin patium qui signifie souffrir, et cette souffrance est plus forte qu'elle et elle destructrice d'abord pour elle-même. Le terme "fureur" au vers 10 désigne cette passion. Au vers 28 : le verbe languir "j'ai langui" montre combien elle est déprimée et accablée, "j'ai séché" montre son assèchement, la perte de sa vie et le terme "feux" est l'image du feu qui la brûle, le terme

communication humaine Signes renvoient tous au thème qui sert de base : L'amour à l'amour est surpendue la possibilité d'une autre vie, attente, espoir. Désir de mort et d'amour? Dialogues et psychologie inexistants montrent mouvement vers passion. La durée est le personnage principal de l'ation et l'attente est la seule occupation du héros. Structure de base de l'oeuvre: alternance entre durée et moments, murusement inconscient et prise de conscience. Nouvelle facon de présenter la psychologie

parisienne Paris, véritable personnage du roman. Si la ville n'est peut-être qu'un décor, elle jouera apparemment un rôle très important dans la mesure où elle est le lieu où se déploient les passions et les caractères. 2°) Le théâtre des passions Analyse du paragraphe central qui décrit Paris comme un magma de passions. Terrain privilégié des investigations du romancier promu ici en enquêteur social. 3°) Un Paris romanesque La capitale est un lieu rêvé pour le romancier car elle permet de mettre

les moralistes st les auteur du 18ème ex : Racine, ils st ds la traditions et pr eux les passions st destructrices. -Thèse adverse ds le txt formulé comme 1 injoct° en utilisant 2 impératifs : « réprimez » « maitrisez » et réfute cette thèse, préjugé contre la passion, réfute cette thèse et reformule la sienne sous forme de vérité générale. Elle pense vaut mieux se contenter du goût plutot que de la passion car elle est + dure à trouver. « Mais » elle met 1 opposit° ds ce qu'on dit ses adversaires

dans la vie occupe la fidélité aux engagements préalablement pris ? Et de ce point de vue c’est une histoire exemplaire car Henriette, bien que follement amoureuse du jeune Félix, comme l’indique sa lettre posthume, elle ne lui a jamais avoué sa passion et n’a jamais consenti à lui accorder plus que ce que la décence et l’amitié lui autorisait à donner. Pourquoi donc ? Tout simplement parce qu’elle avait le sens de la responsabilité et de l’engagement auquel elle se devait d’être fidèle quoi qu’il

Le destin de l’homme condamné par ses passions (Phèdre avoue à Hippolyte son amour incestueux ; 2e aveu qui va précipiter le destin tragique des personnages). – Lien avec le contexte : Ranime l’essence de la tragédie antique, dont le but est de susciter la terreur et la pitié en soulignant le tragique de la condition humaine ; Racine reconnait ses emprunts aux Anciens dans sa préface et y précise son but : la catharsis (purger les hommes de leurs passions et de leurs vices).  Sujet posé :