Passion Destructrice

intrigue fondée sur un dilemme raison/passion (celle-ci est destructrice et prime toujours) - destin et fin tragique des personnages, décidés par le fatum - fonction didactique (Instruire par des références mythologiques ou instructions, par exemple) - les dieux décident pour les personnages dans Phèdre - aristocratie toujours représentée, présence de confidents et thèmes nobles (politique, religion, passion) - contient souvent la folie d’un personnage à cause de la passion extrême (passior en latin, souffrir)

pardon melée d'une ignorance volontaire de ces remises en questions perpetuelles ? c'est pour ça que j'ai toujours tout perçu comme un défi ? Partir de ce qui est déjà présent pour construire et réparer dans le pardon plutot que dans la haine destructrice de soi et des relations avec les autres. J'ai l'esprit vacillant entre les humeurs. Pensée tantot colorée, tantot grise, tantot hors outil. Pression de : depeche toi de faire un choix. Depeche toi tout doit bien se passer. Je ne sais pas si

On s’interroge alors sur l’identité des auteurs qui la garde jalousement secrète, pensant avoir plus de succès au près du public avec un nom masculin, et on s’indigne de voir les codes sociaux et moraux de l’époque remis en question par des passions destructrices et dangereuses. Jane Eyre est le premier roman publié de Charlotte Brontë, dont le livre précédent, The Professor, avait été refusé par sept éditeurs. La jeune femme amorce la rédaction de Jane Eyre en août 1846 et l'achève un an plus tard

petites filles et enceinte d'un troisième enfant lorsque commence l'histoire. Elisa n'existe pas pour elle-même, elle est la mère, la femme de, en l'occurrence la femme de Gilles. Leur bonheur simple se suffit à lui-même jusqu'à ce que Gilles vive une passion amoureuse dévorante avec la propre soeur d'Elisa, Victorine. Elisa comprend (ou essaie), pardonne, écoute et soutient. C'est un peu le monde à l'envers mais elle aime son mari plus que tout. Mais la jeune Victorine se joue des hommes et finira par

critique socialeLa comédie exploite les injustices sociales et par la même les dénonce : différences de classes sociales ; problèmes religieux ; mœurs légères ; moralité bafouée ; abus de l'Etat ; mais aussi apparition des sentiments et des passions parfois destructrices qui en découlent (exemples : surtout les œuvres de Molière telles que le Bourgeois gentilhomme, Les Fourberies de Scapin, Tartuffe) b- Traiter des sujets difficiles par le biais du rire permet de détourner l'aspect condamnable des propos

perdues I) Un thème classique : une passion amoureuse II) La confession d’un désespéré Félix Alexis Arvers (1808-1850) connut la célébrité de son vivant avec ses pièces de théâtre, hybrides de vaudevilles et de mélodrames, puis il eut une gloire posthume avec Sonnet, qui fut pastiché d’innombrables fois. Ce poème reprend le thème classique de la passion amoureuse destructrice et livre la confession désespérée de sa victime. I) Un thème classique : une passion malheureuse On reconnaît la forme

dans la maîtrise, Mme du Châtelet souhaite l’assouvissement des passions : On n’est heureux que par des goûts et des passions satisfaites (l. 13-14).b. Proposition de paragraphe : Le bonheur tel que le conçoit Mme du Châtelet est caractéristique du siècle des Lumières à plusieurs titres. Tout d’abord, l’auteur valorise les émotions, comme en témoigne le chiasme des lignes 14 à 16 : goûts/passions/passions/goûts. Le terme de «passions» est martelé dans le texte six fois, ce qui souligne la place accordée

confidences à Œnone qu'elle aime Hippolyte. Durant l'acte 2 : on apprend la fausse mort de Thésée, Phèdre se croit donc veuve, elle affirme son amour envers Hippolyte de manière masquée. Une gloire désigne un honneur dans ce texte, la fureur désigne la passion et le "monstre qui t'irrite" désigne Phèdre. La tonalité de l'amour et la tonalité de la mort sont présentes : Phèdre demande la mort, elle va se retrouver très très mal : elle est compromise aux yeux d'Hippolyte, elle va maudir son fils. Thésée certain

expose donc un amour bien particulier. Phèdre, en avouant une passion paradoxale et coupable, n’exprime-t-elle pas la fatalité caractéristique des tragédies de Racine ? L’amour qu’elle dépeint est tout d’abord très contrasté, et semble mettre en péril l’intégrité de son âme. Cet amour peut être en outre vu, par différents aspects, comme un symbole de la fatalité racinienne. Phèdre, dans cette tirade, avoue avant tout une passion dévorante qui la domine, effrayante car considérée comme incestueuse

d’identité, et les erreurs qu’on peut faire par manque de discernement, cette appellation est restée inchangée. Des passions amoureuses, Fabien n’en avait jamais vraiment eues au cours de sa vie, car même s’il était fleur bleue, il s’était forgé une carapace et savait très bien que s’attacher c’était se détacher. Il a souvent souffert d’une passion trop débordante et destructrice à son égard, que lui-même n’arrivait plus à contrôler. Souvent considéré comme un indécis, Fabien représentait sur de