Pastiche

d’idéalisme de Pécuchet. Tout indique donc que ce texte n’est pas parodique, il s’agit plutôt d’un pastiche car l’auteur adopte le style de Flaubert à sa manière : les variations de discours rapportés, les modifications de références littéraires, remise ici au goût du jour (Verlaine remplaçant Balzac par exemple) et l’emploi d’un registre polémique plus discret répondent à la définition du pastiche. En effet la transposition est effective mais respectueuse du style d’un auteur sans volonté de le

car réécrire, c’est « donner une nouvelle version d'un texte déjà écrit ». Cette approche recouvre différents genres, comme la parodie ou le pastiche, différents tons (humoristique, tragique, comique) et buts (parodique, ludique, satirique...) Elle recourt à des procédés tels que la transposition, l’expansion ou la réinterprétation. La parodie ou le pastiche créent une complicité avec le lecteur : la première détourne ouvertement le texte fondateur pour susciter le rire, parfois grinçant (Gotlib

Nous pouvons alors nous demander, comment Olympe de Gouges va toucher les femmes à travers son œuvre et quelles sont les changements qu’elle a faits. Nous verrons cela à travers la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, une œuvre pastiche/miroir et pamphlétaire ainsi qu’à travers les modifications apportées. Olympe de Gouges à écrit la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en 1791 en réponse à la Déclaration

|Évaluation | | | | | | |Comprendre les caractéristiques | |Analyse, pastiche, création (les |Évaluation : | |propres à la BD | |étudiants ne sont pas tenus de | | | |

animalier pregnant la forme d’une fable, réussit il à transmettre un message extremement satirique et politique ? (attention forme des questions). Plan : Une fable et une histoire/ Sens allégorique de la fable/ Histoire et satire politique . -------> pastiche (=à la maniere de) de La Fontaire. I. Une fable et une histoire : 1. Le récit : -Le poème s’ouvre sur “un jour”, conte merveilleux et intemporel; -Un cadre spatio-temporel indéterminé mais ce sont tout de meme des lieux exterieurs. -Utilisation

(au sens propre). Dans un sens plus large, on désigne par « variations sur … » les réécritures successives d’un thème, d’un personnage, d’un mythe… Une scène ou un thème souvent repris dans la littérature devient un topos. Les imitations : Le pastiche (jeu littéraire dans lequel l’auteur imite le style d’un autre écrivain sans intention moqueuse pour marquer son admiration. Il s’appuie sur une analyse littéraire fine), la parodie (imitation d’une œuvre dans le registre comique qui déforme, caricature

antique. Ainsi, il engendre de nombreux faux antiques. Les notions de liberté, de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité apparaissent également. L’homme peut alors s’exprimer par l’art. A partir du XVIIème siècle la copie et le pastiche deviennent un exercice de style pratiqué par les plus grands maîtres. Ils étaient vus comme un amusement, « une preuve d’habilité ». Le marché de l’art étant géré par les peintres, la commercialisation de faux devient plus aisée. Nombre de faussaire

un mouvement littéraire et artistique controversé qui s'est développé en France pendant les vingt dernières années du xixe siècle. On parle aussi de littérature fin-de-siècle. Le vocable fin-de-siècle est un avatar de décadent, terme lancé par le pastiche d'Henri Beauclair etGabriel Vicaire, Les Déliquescences d'Adoré Floupette, poète décadent, en 18851, puis repris par Anatole Baju en 1886 dansLe Décadent artistique et littéraire. Il s'agit davantage d'un état d'esprit qui s'installe dans les milieux

thème de "La Cigale et la Fourmi" de La Fontaine (qui s'est inspiré d'Esope) mais Anouilh ne se contente pas d'adapter la fable du 17ème à son époque Anouilh en fait une création originale et lui donne une nouvelle signification = intertexte / pastiche Comment Anouilh transforme-t-il la morale de l'apologue de La Fontaine ? L'art du récit Deux récits rythmés et plaisants chez La Fontaine choix de vers courts et impairs (7 pieds) nombreux enjambements et rejets donne un rythme

personnage au moyen d'un monologue intérieur, le lecteur est confronté à une langue plus moderne, à la syntaxe heurtée, qui paraît mimer « le flux de la conscience » : « J'ai beau la voir, Blanche. » Cette scène ne serait-elle, au fond, qu'un habile pastiche d'un classique de la littérature du xixesiècle, un exercice de style à la Queneau ? Certes, sans avoir lu l'intégralité du roman, il est difficile de connaître précisément les enjeux de ce passage dans l'économie de l'œuvre. Toutefois, les éléments