Pathos Et Discours

I) Le cadre de la psychopathologie Définition de la psychologie: Du grec, psuché : âme, ce qui est psychique, le mental/ Logos :raison, discours, et aussi science => étude du psychisme Pathos : ce qui trouble, ce qui affecte (maladie) Donc la psychopathologie est l’étude rationnelle des troubles psychiques/mentaux L’épistémologie est la science de la science, la science de la connaissance et du savoir. Il y à 4 questions qui font débat et qui sont au

de la couper du monde • Aveu sans détour, longue tirade=exceptionnelle car Arnolphe a le monopole de la parole ponctuation « , » et « ; » = fluidité discours v.9-14/18-25 longueur phrase mimétique allés-retour jeune ho. Agnès met de l’enthousiasme, reconstitue scène façon précise : connaît nb de révérences, discours vieille discours direct, elle le retranscrit • Série questions 3°tirade montre sa candeur/naïveté v.39-40 • Mise en abîme, caractéristique comédie. Ex : îles aux esclaves

sont plus particulièrement liés à un genre littéraire: épique <=> épopéetragique <=> tragédie comique<=> comédie Un texte peut s'inscrire simultanement dans plusieurs registres, 1)Registre patétique Le terme vient du grec ''pathos'' qui signifie ''souffrance''. Le patétique nait de l'évocation de souffrance poignante : les personnages sont des êtres faibles confrontés à la violence , la misère, la maladie, la mort d'êtres chère. Il sucite une émotion violente et la compation

Définition La tonalité ou le registre d’un texte s’appuie sur des procédés qui ont pour effet de créer chez le lecteur des émotions diverses : frayeur, pitié, admiration, amusement, enthousiasme… 1. Le registre pathétique Du grec pathos qui signifie passion, souffrance. • But : cherche à émouvoir le lecteur de façon à produire un intense sentiment de pitié (souffrance, pitié, tristesse…). • Procédés : les ? et les ! (syntaxe expressive), champ lexical de la souffrance physique

souligne le mouvement de la passante -› tire vers la prose -le rythme qui tire vers la prose -mélange entre discours et récit -aspect narratif : les temps du passé (imparfait, passé simple), enjambements (la phrase n’est pas fini) -discours : je qui parle a un tu au présent -V11 : question réthorique qu’il se pose a lui même ou à la passante =› récit, discours, prose, poésie Renouvellement thématique -poésie traditionnel (contexte de la nature) mais ici contexte urbain -sonorité « autour

I/ Un récit narratif pathétique (Du grec « Pathos »  Passion, souffrance) Pathétique : Qui touche profondément, qui suscite une vive émotion par son caractère douloureux ou dramatique Mlle de St Yves est donc rendu héroïque par le narrateur. Elle est très ému mais aussi accablé par le remord d’avoir obéi au désir d’un homme qui n’est pas son amant. Mlle de St Yves provoque chez le lecteur la compassion, la pitié.  Le discours directe des lignes 17 à 20 rend réaliste les retrouvailles. Cela

NB : Le passage peut s’apparenter à un discours délibératif, qui suit parfaitement la rhétorique classique et qui a pour but principal d’influencer et d’orienter le destinataire. Sa disposition rappelle les grandes lignes du discours rhétorique : exorde (captatio benevolentiae), raisonnement (elle expose l’ensemble des arguments) enfin la péroraison (elle joue sur le pathos). Enfin, paroles de Mme de Chartres

la neutralité permet de mieux faire éprouver au lecteur la cruauté du sort réservé à un esclave. Le narrateur externe se rapproche de Candide (" pauvre ") Au discours direct, Candide exprime un état horrible : l'esclave inspire la pitié. Sobriété du discours +situation qui souligne la dignité de l'esclave (celui-ci refuse tout pathos à son égard) → pose l'admiration du lecteur et sous entend la critique de l'esclavage et la considération des esclaves comme sous-hommes. (Cette sobriété n'est

propose que les pauvres du pays vendent leurs enfants âgés d’un an à ceux qui auront les moyens de s’offrir ce « mets délicieux, nutritif et sain». Cette proposition s’appuie sur un constat féroce de la misère du pays, dans une langue qui parodie le discours politique pour mieux souligner l’ironie de son argumentaire. Modeste proposition… s’ouvre sur un constat, celui de la misère humaine que l’on peut voir sur des routes peuplées de misérables mendiants aux corps décharnés. La figure allégorique de

admire la verve des bons orateurs, on les soupçonne aussi de sombrer dans la démagogie pour nous plaire. Marqueur de domination ou signe de manipulation, le talent oratoire suscite autant l’admiration que le soupçon. L’éloquence met-elle en place un discours vrai et authentique ou au contraire est-ce une technique de « beau parleur » destiné à tromper ses auditeurs ? Ainsi, l’engouement pour l’éloquence est-il bien fondé ? Nous verrons que l’éloquence demeure indispensable,