Patois

écoles dites libres qui sont privées et catholiques qui ne représentent qu’un quart des écoles publiques. Des écoles républicaines sont construites dans toutes les communes où il n’y en a pas. Tout enseignement se fait en français et non pas en « patois » ce qui est interdit. Ainsi le français devient la langue commune aux Français. La République les rassemble avec un sentiment d’unicité, de patriotisme et de nationalisme. En 1886 les enseignants religieux sont exclus et cèdent leur place aux « hussards

Le patois brestois / ti zef sur FACE BOOK ben toutes les expressions brestoises aussi quoi hein! Le "Pas Toa" Brestois, ou l'accent Ti Zef Comme le ch'ti le brestois a une langue étrange, dérivée du Français, du Breton et de l'accent typiquement brestois et en ajoutant toujours "tain" et "quoâ" en début et fin de phrases. En voici Quelques mots, expressions et (ou) phrases: Un brestois ne sait pas, par nature, prononcer le son "able": ne soyez donc pas étonné si l'autochtone dit de vous

qualifier de « situation initiale » de Annie Ernaux est celle transmise pas ses ancêtre, c'est-à-dire ses grands parents, puis ses parents. On constate par la narration de l’auteur qu’il s’agit de gens modestes. Un grand père paysan sans terre, parlait patois et travaillait comme ouvrier agricole. Un père qui déjà progresse socialement. Retiré de l'école à 12 ans, il est placé dans les fermes puis l'armée le libère de cette sujétion. Au retour, il refuse le destin de valet qui l'attendait, travaille à

geste  Va et vient de Don Juan dans les didascalies.  Mise en scène de Mesguich accentue sa duplicité : les femmes sont identiques, comme des poupées. C. Comique de mots  Le langage populaire « le v’la » ; « Quement donc » : patois d’Ile de France.  Répétition : Sganarelle sur son maître ; Don Juan avec les deux femmes ; les deux femmes à Don Juan.  Insultes : « que monsieur vous montre votre bec jaune » ; « que monsieur vous rende un peu camuse ». III. Le contraste

opposition entre les deux pers ; pers. Pas idéalisés => voc péjoratif( défauts comme ds la vraie vie) chp lex du vêtement : «  robe claire » (mariage), «  casquette ...Rouen »32-34 (matière, forme, comparaison=>précision géographique...) langage : patois (apocopes (mange les mots), fautes de syntaxe, prononciation locale « fieu » argent : 40000 Fr ; unité monétaire précises description des lieux : 72-80CCL , chp, lex des matériaux; nom du café; chp lex de la disposition différents milieux sociaux

agrégat de plusieurs dialectes Unification de manière progressive et volontariste  16ème  1539 François 1er = ordonnance de Villers-Cotterêts = français alors langue officielle du droit et de l'administration  Politiques : éradiquer tous les patois car français = symbole  Grâce au français , les idées révolutionnaires circulent  19ème Révolution industrielle = désenclavement de certains lieux  Lois Ferry 1881 = accès pour tous à l'éducation 3) L'unité constitutionnelle Ancien

état monarchique. 1539 : ordonnance de la Villiers-Cotterêts + républicain = 1881 lois généralisation de l’apprentissage du fr. 1789 : rév. Change statut du langage. Fr = langue de la république 1793 : abbé Grégoire recensait 33 patois. Pronne l’anéantissement des patois pour le français. Milieu XIXe J. Michet : « hist. de FR commence par la langue fr. signe principal de la nationalité » Division hist. de 2 territoires linguistique majeures : langue d’oïl au N. langue d’oc au S 2 langues =

se passe en effet comme prévu car «chacun s'y trouva ». Les lamentations elles-mêmes sont sans surprise et suivent le protocole de la hiérarchie sociale. D'abord, «Le Prince aux cris s'abandonna », puis «On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans ». Et la morale arrive: «Je définis la cour... ». On croirait une histoire avortée. Fausse piste : tout cela n'était qu'une situation initiale stable, la mort de « La femme du lion» faisant en fait partie d'un rituel codifié

autres et impose également son dialecte. Les dialectes parlés par les populations économiquement, politiquement et militairement fortes deviendront des langues, alors que les autres continueront à se fragmenter pour devenir des patois. Les statuts des langues et patois sont uniquement fondés sur des facteurs socio-historiques. Louis XIV, qui régna personnellement de 1661 à 1715, voulant régenter toute la vie sociale crée des académies dans tous les domaines (marine, architecture, militaire, beaux-arts)

connu comme patois par la plupart de ses locuteurs âgés qui ont souffert d’humiliations terribles et de châtiments dans leur jeunesse à cause de sa langue maternelle. La diversité culturelle symbolisée par la diversité linguistique est une victoire de l’être humain qui nous apprend de nouvelles nuances et de nouveaux plis de notre esprit. Des troubadours à Mistral Il est difficile à déterminer si les maîtres qui punissaient leurs petits élèves au sud de la France qui parlaient en patois, connaissaient