Patois

régionales. Déclin qui se vérifie à l’écrit puis à l’oral. Termes de dialecte et de patois : certains philologues ne font pas la distinction entre ces deux termes. Le patois serait plutôt réservé aux zones rurales et aux couches populaires. Il est essentiellement oral. L’usage du mot patois remonte au MA, au 13e s. le terme patoier signifie d’abord gesticuler pour se faire comprendre. Progressivement, le mot patois passe de la gesticulation au comportement grossier et au 16e s seulement il prend le

environnement. Le réel est recréé par l’écriture : l’auteur accorde une grande importance à la descript° minutieuse des lieux, des personnages et de leur mode de vie ; il reproduit des formes de langages caractéristiques de divers milieux sociaux ; patois paysans, style administratif … c) Le mode rural dans les arts. Dans la 2nde moitié du XIXème siècle, les artistes s’intéressent au monde rural ds son ensemble et non seulement au paysage en tant que décor. La vie des paysans, les travaux des

trouva » ( vers 11 ). On nous donne une l'impression qu'il y a une certaine hiérarchie sociale et que celle ci est respecté avec cette événement avec « Le Prince aux cris s’abandonna » (vers 12 ) , puis « On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans » ( vers 16 ) . On croirait une histoire qui n'est pas aller jusqu'au bout de son développement . Fausse piste : tout cela n’était qu’une situation initiale , la mort de  La femme du lion  faisant en fait partie d’un rituel

ressemble à menace au début, Blaise cherche à s’affirmer mais le « au moins » après la virgule affaiblit cette détermination, et rend la phrase et le personnage comique et niais. On constate aussi l’apparition du mot « appriander » l.16, ce langage patois de Colette nous montre le manque d’éducation et renforce donc l’effet comique de la pièce. Ligne 7 : « un joli homme et moi, c’est tout un » Merlin fait son propre éloge en se classant dans la catégorie des hommes coquets et à la mode, mais il n’est

protocole Vers 11 : « Jugez si chacun s’y trouve » ® Ironie ® Chacun y va pour se faire voir Lecteur ® complice pour apprécier la servilité des courtisans « Le prince aux cris s’abandonna » ® Il montre l’exemple Association animal/humain : « rougir/patois » Vers 11-13 : 3 rimes masculines qui donnent de l’eclat Langage antique : «  Messieurs les courtisans » expression pompeuse et arrogante Vers 17-23 : La Fontaine interrompt son récit : Cour=pays, distinct du reste de la France : changement

faire construire des palais copiés sur Versailles: on a pu parler d'une «Europe française» au siècle des Lumières. Mais ces modes ne concernent qu'une très faible part des populations. Même en France, tout le monde ne parle pas «français», et les patois sont beaucoup plus utilisés que la langue officielle. Les dialectes allemands, qui passent dans les milieux cultivés pour des «langues de domestiques», s'unifient pourtant peu à peu en une langue de culture qu'emploient des auteurs éminents comme

Étretat - que Laure sur les conseils de son frère, Alfred Le Poittevin, a acquise avant son mariage4 - où, entre mer et campagne, il grandit dans l’amour de la nature et des sports en plein air ; il va pêcher avec les pêcheurs de la côte et parle patois avec les paysans. Il est profondément attaché à sa mère. À treize ans, il est pensionnaire de l'Institution ecclésiastique d'Yvetot, selon le souhait de sa mère. C’est en ces lieux qu’il commence à versifier. De sa première éducation catholique,

Maupassant étaient une vieille famille venue de Lorraine Guy passe son enfance dans la maison "Les Verguies", où entre mer et campagne, il grandit dans l'amour de la nature et des sports en plein air, il va pêcher avec des pêcheurs de la côte et parle patois avec les paysans. A l'âge de treize ans, il est pensionnaire de l'institution ecclésiastique d'Yvetot, selon le souhait de sa mère.C'est en ces lieux qu'il commence à versifier Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s'adonnant

PERSONNAGES Le lion Le lion est un personnage symbolique qui représente le roi et la puissance. Il est davantage décrit en tant qu'humain car le champ lexical de l'Homme est plus présent que celui de l'animal comme le prouvent les termes "rugir en leur patois" utilisé par les courtisans ce qui est péjoratif car cela montre qu'ils ne sont que des imitateurs hypocrites du roi ainsi que "nos sacrés ongles" à la place des griffes pour les animaux et enfin "femme du lion" plutôt que la "femelle" chez les animaux

ou mal nés, vivaient parqués en castes ; Les uns, nobles, hantant les Phèdres, les Jocastes, Les Méropes1 , ayant le décorum pour loi, Et montant à Versaille2 aux carrosses du roi; Les autres, tas de gueux, drôles patibulaires3, Habitant les patois ; quelques-uns aux galères Dans l'argot ; dévoués à tous les genres bas, Déchirés en haillons dans les halles ; sans bas, Sans perruque ; créés pour la prose et la farce ; Populace du style au fond de l'ombre éparse ; Vilains, rustres, croquants