Patois

écrit) et avant tout de la collecte de ce savoir diffus, plus rural que citadin et surtout porté par les anciennes générations. En effet, son origine folklorique est altéré par l'uniformisation des cultures et l'éloignement des sources (à l'image du patois) lié au mouvement d'exodes modernes. Cette disparition progressive donne lieu à des mélanges, amalgames et détournements, souvent involontaires du fait de leur complexité, mais désormais élaboré pour marquer une forme humoristique, appelés faux proverbe

pas alcoolique, ni des fenians. On travaille comme tout le monde. On a jamais vu quelqu’un mangé du mariolle avec son caf le matin. Il ne pleut pas tout le temps, il y fait chaud en été. Et il y a bien longtemps qu’on ne parle plus le patois dans le nord III) Et toi Laure la pure Haute-Saônnoise t’en a pensé quoi ? Moi je trouve que le film est bien fait et drôle. Les clichés et les préjugés du nord sont exagérés et cela me fait rire comme par exemple quand il monte en voiture

digression du vers 16 (« pour revenir a notre affaire »v.24), commente son récit (« comment eut il pu faire ? »), ajoutes ses remarques (« comme dit Salomon »). -Quelquefois, utilisation de commentaire ironique par le choix d’un mot (« rugir en leur patois »), faux respect de « messieurs les courtisans » ou commentaire qui dramatise : surprise et brutalité de « étranglé »en début de verbe de façon anodine suite a : la reine avait jadis. 2. Cibles et portées de la satire * La cours jugée par

aussi tendance à ancrer leurs textes dans un cadre historique et géographique bien précis pour le même but d’aspect. Les auteurs réalistes mêlent aussi des registres et des niveaux de langues différents pour faire entendre la manière de parler, leur patois ou même leur argot. II. Quand est-il apparu

interfèrent dans le débat public, les français lisent de plus en plus et se crée l'opinion publique ; les attitudes individuelles, les jugements émergent, le choix politique se développe. De plus, en interdisant l'utilisation des dialectes comme le patois par exemple à l'école, la République impose une identité nationale, la langue française permet d'unifier le pays. Ainsi, L’école permet l’apprentissage de la République. On y enseigne une morale civique fondée sur le respect des libertés fondamentales

de l'éducation, alphabétisation et accessibilité à la culture, à la presse qui prend une importance considérable. Les milieux ruraux commencent à se cultiver → Diffusion d'une langue française universelle qui remplace partiellement les différents patois, par le biais de l'école et de la presse. → Le service militaire qui permet aux jeunes ruraux de s'ouvrir à d'autres mode de vie, de sortir de leur campagne qu'ils n'auraient peut être jamais quitté sans cela. L'abîme entre sociétés rurales et

histoire ne se déroule pas entre 1819 et 1848 par hazard: à cette époque, il restait encore un élan de bourgeoisie et on tenait à faire bonne figure plus devant les nobles riches que les paysans du domaine. Aussi, on retropuve beaucoup de "vieux" patois dans certains dialogues. Les lieux: L'histoire débute à Rouen, chez Les parents de Jeanne, le personnage principal du roman. Elle et ses parents partent près de la mer, où se trouve une résidence nommée "les peuples" qui appartient désormais à

Moliere avec Dom Juan utilise avec adresse le comique de language et rend ainsi les personnages ridicules. Le spectateur rit face a la parodie du patois paysan (les mots sont deformes, des jurons etranges sont lances…) Mais aussi face au personnage comique de Sganarelle ( <<c'est un spectre, je le reconnais a sa facon de marcher>>) et tenant des repliques decalees ( a la fin de la piece<<mes

deux fils, comme leur père).Guy passe le reste de son enfance dans la maison « Les Verguies » à Étretat, où, entre mer et campagne, il grandit dans l’amour de la nature et des sports en plein air ; il va pêcher avec les pêcheurs de la côte et parle patois avec les paysans. Il est profondément attaché à sa mère.À treize ans, il est pensionnaire de l'Institution ecclésiastique d'Yvetot, selon le souhait de sa mère. C’est en ces lieux qu’il commence à versifier. De sa première éducation catholique, il

écoute avec complaisance, elle ne refuse pas le baiser sur sa main et réagit même avec coquetterie: « si j’avais su ça tantôt, je n’aurais pas manqué de les laver avec du son. ». On sent qu’elle fait tout pour éviter les tournures et les jurons de son patois (contrairement à son dialogue avec Pierrot) et écoute avec intérêt ces alléchantes propositions. B) Dom Juan, le chasseur Plaisir de souiller l’union de Charlotte et de Pierrot, alors que ce dernier vient de lui sauver la vie. Non content de cette