Patois

sont définis comme étant « de gros saumons de plomb pensant chacun huit mille sept cents quintaux » et dont le but est de fortifier les muscles (ch. XXIII ; p. 205). B) L'emprunt aux langues vernaculaires Rabelais a aussi fait des emprunts à des patois. De fait, le terme « chaffouré » (ch. III ; p. 70), traduit par enrobé, provient du poitevin. La langue d'oc a aussi été source d'inspiration lorsqu'il évoque le « sang de les cabres » (ch. VI ; p. 86). De la même façon est mis en avant le gascon

« galères » (vers 6). Si on se prête au jeu, il est possible d’oublier que le poète ne parle que de mots. Les mots habitent dans un « lexique » (vers 12) ou au fond d’un « encrier » (vers 28). Les mots appartiennent à des groupes lexicaux (« le patois » vers 6, « l’argot »vers 7), et se lient à plusieurs genres littéraires : «  la farce », « la prose » (vers 9). Victor Hugo, utilise de même, certaines figures de style pour animer son discours : Il définit l’Académie de « vieille douairière » (vers

Dom Juan et pour convaincre chacunes d'elles que l'autre ment il regarde l'une et l'autre en lui faisant comprendre que l'autre ment . On reconnaît la place des personnages dans la sociétés car les paysans et paysannes parlent vulgairement et en patois et se tutoient alors que Don Juan et les frères de Dona Elvire parlent en langage soutenu et se vouvoient . Leurs costumes sont également différents car Don Juan et les frères sont habillés en Seigneurs alors que Sganarelle et les autres personnages

riches et les pauvres aussi. Aucune promotion sociale n'est possible. On relève aussi d'un village avec son histoire, son église, ses biens communaux. On relève aussi d'une province qui a son histoire, ses coutumes et souvent son "patois". On aime se rencontrer en confréries religieuses, en sociétés savantes, en salons, en réceptions mondaines mais aussi en fêtes populaires mêlées de chants et de danses. La malpropreté est générale et source de maladies. L' alimentation

» montre qu’il ne maitrise pas ses sentiments. v14 : temple : cérémonie religieuse. Aspect animal et humain. v15 : en conséquence : « à son exemple » de plus en fin de vers donc en insistance. « On » : pronom impersonnel. Rugir : aspect animal. Patois : aspect humain. Tous imitent les rugissements dans leurs propres cris. « Messieurs » : dénomination respectable. v17 : commentaire de LF sur ses contemporains. v18 : tristes-gais → antithétiques. Chiasme avec tout : montre le caractère changeant

il pense que le ciel va le punir un jour. Il est superstitieux et fidèle. On ressent de la pitié pour lui car Dom Juan le bat. Le style d’écriture de Molière est raffiné lorsque Dom Juan s’exprime. Par contre, les gens du peuple parlent le patois ce qui rend la lecture laborieuse. Les jeunes de la société actuelle ne connaissent pas spécialement tous ces mots employés. Le livre se lit rapidement. L’auteur décrit peu les scènes d’action mais beaucoup les scènes de manipulation, ce qui est

un exil de quatre années à Rome, exprime sa nostalgie de la France mais également les doutes et aspirations du poète Les idées et les principes : * L’enrichissement de la langue se fait par l’accueil de termes dialectaux (langage comme le patois ) , de mots techniques ou d’origines étrangère ainsi que par l’enrichissement du style à l’aide de figure de rhétorique (art de l’éloquence). * L’imitation des anciens il s’agit non pas de copier mais de se nourrir des œuvres antiques pour renouveler

méchant punis le spectateur sort heureux du spectacle Le comique l’auteur de la comédie déploie sont talent afin de faire riere le spectateur. Déclinaison des différentes forme de comiques Comiques des mots : Dom Juan ,moliére Pierrot parlent le patois et semble et un peut ridicule . Comique de gestes : Sganarelle recoit le soufflet destiné a Pierrot ( Dom Juan ,Moliére II 3 Comique de situation : on pense a M.Jourdain du bourgeois gentilles hommes qui est complétement ridicule mais fier de l’étre

place supérieur à Dom Juan aussi bien physiquement que par le discours. - Réplique 2 : Dom Juan repousse brutalement Pierrot et il l’annule en faisant comme s’il ne l’écoutait pas. L’urgence physique existe bien chez Dom Juan. - Réplique 3 : Le patois revient dans la bouche de Pierrot (effet comique qui atténue la violence et souligne la différence sociale = lutte sociale). Charlotte intervient en tant qu’enjeu. - Réplique 4 : Pierrot agace Dom Juan car il l’empêche de séduire Charlotte. Dom Juan

farce, dit-il, vont jouer ces gens-là ? Le plus âne des trois n'est pas celui qu'on pense. Le Meunier à ces mots connaît son ignorance ; Il met sur pieds sa bête, et la fait détaler. L'Ane, qui goûtait fort l'autre façon d'aller, Se plaint en son patois. Le Meunier n'en a cure. Il fait monter son fils, il suit, et d'aventure Passent trois bons Marchands. Cet objet leur déplut. Le plus vieux au garçon s'écria tant qu'il put : Oh là ! oh ! descendez, que l'on ne vous le dise, Jeune homme, qui