Patriarche de Constantinople

TRABELSI ATTIKA * COMMENTAIRE DE TEXTE * Sujet : « Sur les évêques, les moines et les clercs » * Texte : Extrait du Concile de 861 (Constantinople) * BIBLIOGRAPHIE * L. BREHIER, Les institutions de l’Empire Byzantin, 1970 * J.C CHEYNET, Byzance, l’Empire romain d’Orient, Armand Colin, 2001 * A. DUCELLIER, Byzance IV-XVe, Hachette, 1998 * G. JEHEL, B. BOJOVIC, V. CONTICELLO, Le monde Byzantin du milieu du VIIIe à 1204, Edition du Temps, Juin 2006 * M.

byzantin trouve son origine en Byzance, cité grecque où Constantin fonda la nouvelle capitale, Constantinople. Cet empire est marqué par l'usage de la langue grecque, la plus parler dans cette partie de l'Europe. Le pouvoir est exercé à Constantinople par l’empereur (le basileus en grec). Celui-ci dispose d’un pouvoir absolu, fondé sur la religion chrétienne. À ce titre, il nomme le patriarche de Constantinople (qui est le chef de l’église orthodoxe à cette époque), principale autorité religieuse de l'Empire

connaissance des lettres profanes, qu’il avait soin d’associer à l’avancement dans la vertu. Après la mort de celui-ci, il poursuivit ses études, en quête des meilleurs maîtres, dans les plus grands centres de la culture d’alors : Césarée de Palestine, Constantinople et finalement Athènes, l’antique capitale de la science et de l’éloquence, où sa réputation l’avait précédé, par l’entremise de Grégoire le Théologien, dont il avait fait la connaissance en Cappadoce5. Leur amitié, d’abord commune et humaine,

schisme de 1054. Dans la partie Orientale il y avait un chef d'église, le patriarche de Constantinople, et dans la partie occidentale, le pape de Rome L'histoire de l'origine du christianisme sur Russie est connue à tous : une grande principauté russe a décidé d'établir tout simplement les contacts plus étroits avec le Byzance, c'est-à-dire avec l'Empire romain Oriental et a accepté l'orthodoxie. Il y a un patriarche dans de nombreux pays d'europe de l'est, tel que la roumanie, la macédoine

l’Empire byzantin ce qui ne leur plaît pas. C’est le début d’une crise, les querelles éclatent, creusant l’écart entre l’Église de Constantinople et celle de Rome. Aux 11ième siècle, les relations sont très tendues entre l’Église et l’Empire, et la querelle qu’est le Grand schisme d’Orient atteint son point de non-retour, en 1054, quand le pape et le patriarche de Constantinople s’excommunient mutuellement. La rupture se veut donc officielle. Nous assistons, alors, à la subdivision de l’Église chrétienne

CONSTANTINOPLE VILLE ET CAPITALE Dans ce cours on dépasse le simple descriptif de la ville, on s'intéresse à Constantinople dans son ensemble (Les hommes, la politique, l'économie, la religion). Constantinople est une ville impériale qui appartient uniquement à l'empereur. Tous les acteurs du pouvoir y sont présent. C'est un pouvoir centralisé et localisé. Problème sociaux : il faut pouvoir marquer la place de chacun (manque de sources pour étudier tous les gp sociaux, seul l'aristocratie est

Tout est il que l'empereur doit avoir l'accord du peuple, du sénat et de l'armée. Le peuple se prononce dans l'hippodrome qui est le lieux où le peuple a le droit de parler à l'empereur et peut contester. L'armée l'acclame et c'est ensuite que le patriarche lui donne les insignes impériales. Malgré son statut d'empereur, il rencontre des problèmes et se voit doté d'obligations premières non négligeables. L'empereur a ainsi pour fonction première de nourrir la population de l'Empire et de s'assurer

place à une nouvelle Eglise orthodoxe russe. La religion va prendre une place de plus en plus importante dans la société russe et notamment au sein de la communauté politique, fait qui va être démontré à plusieurs reprises. Le 31 décembre 1999, le patriarche bénit Vladimir Poutine et à l’inverse, les politiques assistent de manière régulière aux grands événements ecclésiastiques. D’après un article d’Actualités Russes, le nombre de paroisses de l’église russe a presque triplé entre 1990 et 1999. En

suite. ( Imbrications de différents facteurs : tactiques arabes, problèmes politiques, ethniques et religieux des marges byzantines, question de la fidélité à Constantinople. D- La chute de l’Ifriqiya : dans l’élan de la conquête - En 628 les Byzantins ont repris l’Egypte aux Sassanides et Héraclius en a donné la direction au patriarche alexandrin Cyrus. Or de profondes dissensions se font jour car la population est à majorité copte et subit les pressions des Melkites (orthodoxes). De plus l’Egypte

byzantin à partir de 476 et de la chute de l’Empire romain d’Occident. L’Empire byzantin disparait en 1453 , quand les Turcs prennent Constantinople. Après la mort de Muḥammad ( 632 ), fondateur d’une nouvelle religion monothéiste