Patrilinéarité

la pratique, si un bourgeois achète un fief et adopte les modes de vie mobilière, alors ses familles seront agrégé a la noblesse. - L’hérédité : Celle-ci va s’asseoir sur un système patrilinéaire ou c’est l’origine paternel qui compte. La patrilinéarité , le noble peut épouser une roturière et ces enfants seront nobles. Ce qui va lui permettre de se refaire, de redorer son blason, ou de fumer ses terres. Toujours mieux d’être noble des 2 côtés. - La volonté du roi : Le roi pourra créer des

complexité de la famille croît en raison inverse de celle de la société. On s'est beaucoup interrogé sur les fondements de ces divers systèmes de filiation. Certains facteurs sont d'ordre politique : la différenciation du pouvoir politique conduit à la patrilinéarité. D'autres sont de nature économique : des enquêtes menées parmi les Indiens d'Amérique du Nord (Driver et Massey, 1966) montrent que lorsque le travail masculin prédomine, la filiation est patrilinéaire, et qu'elle devient matrilinéaire lorsque

complexité de la famille croît en raison inverse de celle de la société. On s'est beaucoup interrogé sur les fondements de ces divers systèmes de filiation. Certains facteurs sont d'ordre politique : la différenciation du pouvoir politique conduit à la patrilinéarité. D'autres sont de nature économique : des enquêtes menées parmi les Indiens d'Amérique du Nord (Driver et Massey, 1966) montrent que lorsque le travail masculin prédomine, la filiation est patrilinéaire, et qu'elle devient matrilinéaire lorsque

par la coexistence, dans le même milieu géographique et social – celui des châtelains – de familles horizontales, fratries ou cousinage, et de familles organisées en lignages. Le modèle de la famille féodale fondée sur la primogéniture et la patrilinéarité, déssiné par Georges Duby, est donc loin d’être pertinent dans tous les espaces. Ce qui est permanent, c’est l’adaptation des familles aux exigences variées du pouvoir, soit qu’elles se resserrent pour mieux tenir un espace, soit qu’elles s’élargissent

seul le père engendrait véritablement. La femme constituant un réceptacle, la terre fertile pour la graine, mais elle n’engendre pas d’enfant. Ceux qui ont cette pensée sont les égyptiens et les grecques anciens. On appelle cette conception la patrilinéarité qui consiste à structurer la famille autour des éléments masculins. On appelle cela aussi une parenté agnatique. Mais il existe aussi des sociétés matrilinéaires, ce qui signifie que seule la mère est supposée faire l’enfant. On estime que le