Paul Allen

INTRODUCION La situation que je vais vous présenter c’est déroulée lors de mon stage en chirurgie, c’était mon deuxième jour dans le service. J’ai choisie d’exposer cette situation car celle-ci a attiré mon attention sur : * L’attitude du soignant au moment du soin * La relation soignant / soigné DESCRIPTION DU PATIENT Ma situation de communication concerne Monsieur C âgé de soixante dix ans. Monsieur C est hospitalisé depuis le 21 Février 2011 au soir. Il est de taille moyenne

des modes et des mondanités, même s’il meurt à Paris en 1988. Ses lectures le forment : Plutarque, Villon, Racine, des romantiques allemands, Vigny, Nerval, Baudelaire… 1929 : publication de son premier recueil : Arsenal. Il s’ensuit une visite de Paul Eluard. Il adhère alors au mouvement surréaliste. Il va alors à Paris et il fait la connaissance d’André Breton, d’Aragon, de René Crevel. 1930 : avec Eluard et Breton, il publie Ralentir travauxIl participe activement au mouvement surréaliste pendant

Charles Pierre Baudelaire 1821-1867 -Né à Paris le 9 avril 1821 -Fils d'un peintre admirateur des Lumières sexagénaire, sa mère de 27 ans se remarie un an plus tard avec un chef de bataillon, qui deviendra plus tard Ambassadeur. Il ne pardonnera jamais a sa mère de s'être remariée, et son beau-père est pour lui tout ce qui fait obstacle a ce qu'il aime, sa mère, la poésie, le rêve, et la vie sans contingences. -En seconde il obtient le prix de vers latin au concours général. -En 1839

Dissertation Rimbaud est né le 20 novembre 1854, il a 16 ans lorsqu’il rédige la lettre destinée à Paul Demeny et dont est issu cette citation. Dans cette citation Rimbaud expose sa thèse à son interlocuteur , qui est, que la condition première pour être poète est le travail sur soi-même. La première étude de l’homme qui veut être poète est sa propre connaissance, entière ; il cherche son âme, il l’inspecte, il la tente, l’apprend. Cela n’est pas simple car il faut se faire "l’âme monstrueuse"

Baille[N 2],[4] et surtout Paul Cézanne qui reste son ami proche jusqu'en 1886. Ce dernier l'initie aux arts graphiques, et plus particulièrement à la peinture. Dès sa prime jeunesse, Émile Zola est passionné par la littérature. Il accumule les lectures et conçoit très tôt le projet d'écrire à titre professionnel. Il considère dès son plus jeune âge l'écriture comme sa véritable vocation. En sixième, il rédige déjà un roman sur les croisades[5]. Ses amis d'enfance Paul Cézanne et Jean-Baptistin

romans-feuilletons (Dumas père, Eugène Sue, Paul Féval, Élie Berthet, Emmanuel Gonzalès....). Il écrivit alors son premier roman : “Un épisode sous les Croisades”. Il fut pensionnaire jusqu'en cinquième mais, ayant obtenu «tous les prix, de véritables triomphes aux distributions», à partir de la quatrième, à l’âge de seize ans, il devint externe et eut alors pendant deux ans une toute autre vie : «rencontre de deux ou trois camarades ayant mes goûts (c’étaient Baille et Paul Cézanne, que Zola allait convaincre

libéraux. 2. Angoisse du moi : Paul Verlaine cite « J’ai toujours pleuré» et il tire dans la main de Rimbaud, Rimbaud n’est pas bien dans la société française il rit d’eux et il ne veut pas qu’on lise ses poèmes. 3. Les sensations : Rimbaud fait comme-ci il allait sauter dans un train. Les deux hommes s’embrasser et vivent une relation d’amour intense. 4. Les deux poètes boivent de absinthe à plusieurs reprises pour vivent loin de leur monde. 5. Mal : Paul Verlaine frappe sa femme quand

des graphistes, des photographes, attirés par cette expérience novatrice. Ces artistes qui enseignent au Bauhaus feront d'ailleurs la réputation de l'école. Dans ces artistes célèbres il y a : Oskar Schlemmer, maitre du théâtre et des fêtes ; Paul Klee, il prend en charge l'atelier peinture sur verre, donne un cours de théorie de la forme et de tapisserie. Engagée dans des projets révolutionnaires, porteuse d'idéologies sociales, l'école dérange les politiques. Dès 1925, elle doit quitter

pour y goûter, entre autres plaisirs, celui des belles comédies qu’on y représente, et particulièrement d’un Cid qui a charmé tout Paris ». A la fin de l’année 1637, une traduction anglaise est publiée à Londres bientôt suivie de nombreuses autres. Paul Pellisson écrit dans son Histoire de l’Académie française : « On ne pouvait se lasser de voir Le Cid, on n’entendait autre chose dans les compagnies ; chacun en savait quelque partie par cœur ; on le faisait apprendre aux enfants et, en plusieurs parties

*EL FEHSI *Commentaire* * 7/04/2010 MEHDI 1 ES 3 Les ‘Fetes galantes’_ _ est un receuil de poémes écrit par Paul Verlaine, poète francais du XIX ieme siecle. Dans ce receuil de poeme, il y en a 22 au total, ‘_Pantomime’_ est celui que nous allons etudier . Il constitue une sorte de pendant au poème liminaire, intitulé « Clair de lune », en présentant des personnages issus de la Commedia dell'arte que l'on retrouve ensuite dans d'autres poèmes du recueil, à travers une tonalité double,