Paysage Avec Figures Absentes

que leur retour alors qu'ils incarnent l'épopée, l'aventure. > la nostalgie domine/ contamine ses reprèsentations. II) Un poème entre éloge et blâme 1) La figure structurante de la comparaison - comparaison initial au débat dans quatrain 1 qui est une comparaison traditionnelle avec l'outil comme, du Bellay introduit déjà les figures mythologiques - comparaison dans Tercet 1 et 2 > avec outils de supériorité qui se développe sur 5-6 vers. Il est mit en valeur par l'anaphore. 2) La mise en

plus globalisante (tête-geste-air), et assonance en [è],et allitération en [t] : voyelle ouverte et consonne occlusive : rythme très musical, très entrainant. - Topos baudelairien : comme un rappel à nombre des poèmes vus dans « S et I » : la femme paysage. Insistance sur la beauté : répétition de beaux. - 4e élément de description : le rire, personnifié, rend son visage plus vivant. - 2e comparaison èsynesthésie sens tactile (vent frais) / auditif (rire) : le rire de la femme provoque l’un de ces moments

premier temps en négatif, inversé et ont tendance a s’effacer au contact de la lumière elles sont prise sur des plaques de métal et le temps de pose est de 30 minutes. L’appareil photo ne capture que les éléments mobiles, les passants sont effacés du paysage. Il permet un autre point de vue du monde : la plongé, contre plongé, réinvesti ensuite par les peintres. Une des fonctions de la peinture va s’effondrer a la vu du réalisme et de la rapidité de la photographie. Le métier de peintre est remis en

strictement personnelle, presque intime. Dans un deuxième temps, nous nous focalisons sur le monde et sur les différents personnages qui entourent l’écrivain. Tout d’abord, observons le premier vers : « Paris change ! ». Cela indique le fait que le paysage autour du poète se transforme. Malgré cela, son état d’âme reste inchangé, il est toujours enfermé dans ses souvenirs et exclu de la société. De plus, l’énumération « palais neuf, échafaudages, blocs,… » (v.2-3) suit un rythme très entrecoupé et

aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est étroitement liée au pays ennemi. Cette aide inattendue provoquera les hostilités du peuple voisin. Cet extrait est, justement, un moment charnier du roman, Aldo découvre un tableau où figure Piero Aldobrandi, l’ancêtre de Vanessa Aldobrandi, tristement célèbre pour avoir trahi sa patrie, et s’en voit littéralement envoûté. En quoi ce tableau devient-il une menace pour l’ordre régnant dans la calme ville d’Orsenna. Dès le début

Séquence n°4, lecture analytique n°2 : Hugo « Demain dès l'aube... » Introduction : Victor Hugo est l'une des grandes figures du romantisme au XIXe siècle. Dramaturge ( Hernani ), romancier ( Les Misérables, Notre-Dame de Paris ), écrivain engagé ( Le Dernier jour d'un condamné ) ; il s'impose aussi comme un des plus grands poètes de son temps. Le poème que nous allons étudier est extrait d'un recueil intitulé Les Contemplations, publié en 1856, sous le règne de Napoléon III. Il s'agit

premières minutes (voire dès les premiers plans) : avec ses immeubles, ses terrains vagues et ses anciennes usines désaffectées, le décor plante une situation bien particulière : la trame de vie d'une adolescente en quête de réponses, avec un fond de paysage urbain, les violences et insultes, la misère : la réalité sociale des classes moyennes ouvrières dans le monde moderne. Tout d'abord, cette œuvre est ancrée dans le courant du réalisme. En effet, elle montre le réel sans l'idéaliser et reproduit

ville debout. On en avait déjà vu nous des villes bien sûr, et des belles encore, et des ports et des fameux (2) mêmes. Mais chez nous, n'est-ce pas, elles sont couchées les villes, au bord de la mer ou sur les fleuves, elles s’allongent sur le paysage, elles attendent le voyageur, tandis que celle-là l’Américaine, elle ne se pâmait pas, non, elle se tenait bien raide, là, pas baisante (3) du tout, raide à faire peur. On en a donc rigolé comme des cornichons. Ça fait drôle forcément

 HISTOIRE DES ARTS Le portrait au fil des siècles Bérénice Boula Toute représentation de figure humaine ne peut être considérée comme un portrait. Lorsque le titre de l’œuvre précise « portrait de…. » ou énonce de manière directe des éléments de l’identité de la ou des personnes figurées, aucune ambiguïté ne subsiste. A l’opposé, certains types de représentation de personnages comme l’allégorie ou le symbole (la Mort, la Justice, l’Abondance…) ne doivent

enchâssée dans une autre oeuvre de même nature, ou bien dans un texte est inséré(e) une évocation ou un reflet de ce même texte. Ex : une pièce dans la pièce dans L’Illusion comique de Corneille. Alexandrin : vers de douze syllabes. Allégorie : cette figure représente une notion abstraite de manière imagée, concrète (ex : la Justice comme une femme tenant une balance, la Mort comme un squelette tenant une faux). Elle a été très utilisée au Moyen Âge, dans la poésie romantique (Vigny, Nerval) ou moderne