Pédérastie

pratiquant l’islam comme bon leur semble. Iles imposent les regles qu’ils veulent a la population. Driss les decrit de cette maniere: "les perversites des grands contaminent les petits et presque toujours, ces 6coles servent de cours tacites de pederastie appliquee avec ou sans le concours de l'honorable maitre d'ecole" (p. 36). La religion musulmane reste despotique puisqu’il ne donne aucune importance à l’individualité selon l’auteur. Certains critiques expliquent que pour signifier son refus de

l’expression : « prouver qu’on est un homme ». La transmission des valeurs viriles ne peut bien sûr se faire que par un homme ou un groupe d’hommes. Qu’il s’agisse des rites d’initiation existant en Nouvelle-Guinée, de la pédagogie entre pédophilie et pédérastie propre aux Grecs ou de l’auto éducation au sein d’un groupe de pairs (groupes d’adolescents ou de jeunes adultes par exemple), il est remarquable que la consécration de la virilité passe par d’autres hommes, généralement un peu plus âgés que les

apprennent la couronne (de fortes paroles en peu de mots) car il faut aussi former les futurs citoyens. Cette formation se fait sous la conduite de jeunes gens un peu plus âgés sous le contrôle du pédonome. Mais elle se fait aussi par le biais de la pédérastie : relation amoureuse entre un garçon assez jeune et un homme plus âgé. C’est une véritable institution sociale, une initiation rituelle entre un éromène et un éraste (plus âgé mais qui reste jeune). Aujourd’hui, on a abandonné la thèse de Marrou

émulation. Obéissance pour les jeunes à tous les citoyens. Vie dure, pas de souliers et un seul manteau pour toute l'année. Petites rations de nourriture à compléter par le vol (pratique collective avec vol des fromages à l'autel d'orthia) La pédérastie : relation sexuelle sont considérée comme honteuse si dévoilée au public mais communément admise si elles restent discrètes. C'est une sorte de devoir civique que de prendre en charge le jeune citoyen. La kryptie : rite de passage de l’adolescent

va se tourner vers l’Antiquité païenne, et en particulier les écoles philosophiques (stoïciennes et épicuriennes). Mais il commence par nous faire déchanter : impossible d’opposer une Antiquité « libertaire » à un christianisme « puritain ». La pédérastie banalisée, le lesbianisme chanté par Sapho, l’érotisme omniprésent, les bacchanales, etc. : tout cela est un mythe. Les Grecs et les Romains étaient tout sauf « libertaires ». L’homosexualité n'était tolérée que dans le cas de la relation pédagogique

sans doute, à ses yeux, un rôle important, et Platon fut l'un des plus grands promoteurs de cette science. On ignore l'identité de son éraste, mais appartenant à l'élite de la société grecque, il est presque certain qu'il connut une relation de pédérastie, relation qu'il condamne dans Le Banquet. Par la suite, il prit bon nombre de ses disciples en tant qu'éromènes. D’après Plutarque, Platon vendit de l’huile en Égypte pour fournir aux frais de son voyage de retour. 2.pensée et contexte philosophique

physiquement, soit par traitement médical, soir par reconversion hétérosexuelle volontaire ou forcée. Niveau 2 : La condamnation. L’homosexualité est considérée comme contre-nature et menace l’équilibre de l’ordre social. Possible forte présomption de pédérastie (appelée à tort par mauvaise information « pédophilie »). Elle doit être contenue pour qu’elle ne contamine pas le reste de la société par leur isolement et leur retrait de la société. La société attend que l’homosexuel se conforme à ses règles

a repoussé une fille facile (passage qui était mis chez Théocrite dans la bouche de 6 l’autre berger, amoureux d’une jeune fille). Dans Hylas, il n’est pas question de l’amour d’Hercule pour Hylas — celui des nymphes est seul retenu. La pédérastie, trait typique pourtant des descriptions de l’Antiquité grecque, n’est pas un trait utilisé par le poète, même dans les descriptions des beaux adolescents. Après avoir analysé les éléments du portrait de la femme chez Leconte de Lisle, demandons-nous

l'homosexualité (en fait : la pédérastie que l'on qualifiait à l'époque d’Amour Socratique) d'« attentat infâme contre la nature » (encore faut-il lire la phrase entière, « Comment s’est-il pu faire qu’un vice, destructeur du genre humain s’il était général ; qu’un attentat infâme contre la nature, soit pourtant si naturel ? »), d'« abomination dégoûtante », ou encore de « turpitude ». Il écrit notamment: « Sextus Empiricus & d’autres, ont beau dire que la pédérastie était recommandée par les loix

en uniforme et avec une lance il l’a cloué comme un papillon sur la tapisserie printanière. » Suite à cette révélation, « le général Narciso Lopez s’est enfoncé dans le cul une charge de dynamite et il s’est fait sauter les tripes honteux de sa pédérastie invétérée ». L’homosexualité, encore généralement taboue socialement, faisait l’objet d’une répression systématique sous les régimes autoritaires ; et par extension, les militaires et les policiers plaçaient dans leur ligne de mire aussi les femmes