Pédérastie

indifférent de gagner ou de perdre ? -8- Le dessin arabesque est le plus idéal de tous. Nous aimons les femmes à proportion qu’elles nous sont plus étrangères. Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste. Ainsi la bestialité exclut la pédérastie. L’esprit de bouffonnerie peut ne pas exclure la charité, mais c’est rare. L’enthousiasme qui s’applique à autre chose que les abstractions est un signe de faiblesse et de maladie. La maigreur est plus nue, plus indécente que la graisse. VI

l’on soit un homme ou une femme. ♀♂ norme : du latin « norma » = la règle, l’équerre. 1- état habituel, conforme à la règle établie. 2 – critère, principe auquel se réfère tout jugement de valeur moral ou esthétique. ♀♂ orgasme (voir jouissance) ♀♂ pédérastie : rapport particulier tout à fait codifié dans la Grèce antique entre des individus de condition libre. Ce rapport ne fait l’objet d’aucune stigmatisation sociale. L’éraste est un adulte qui entretient des relations sexuelles avec son éromène, lequel

homosexuelles étaient inconcevables, et les efféminés étaient l’objet de railleries et de mépris. Par contre, ce qui était autorisé, et même encouragé, c’était la relation entre un homme mûr et un adolescent, ce que nous appelons de nos jours la « pédérastie », et qui est actuellement formellement condamnée avec raison par la loi. Les philosophes grecs Platon et, le général et consul romain Jules César, étaient considérés comme homosexuels. En France, Henri III, Roi de France (1551-1589), était très

Dans le canular dit catalogue des prix de l'amour de Marcelle Lapompe (1910 env.) le terme utilisé est « voyage en terre jaune ». Aspects historiques [modifier] Amours romaines entre un homme et un adolescent, coupe WarrenArticle détaillé : Pédérastie. La sodomie entre hommes, si elle ne fut pas la position sexuelle privilégiée, fut pratiquée dans la Grèce antique, ainsi qu’à Rome, dans le cadre d'une relation entre un homme plus âgé, le maître, actif, et son élève, passif, plus jeune. C'était

ont adopté une position plus « humaine », mais la législation qu’ils édictèrent ne fut pas supérieure à celle des empereurs païens. Les crimes passibles de mort devinrent plus nombreux, l’adultère fit ainsi encourir le châtiment suprême, comme la pédérastie, et les modes d’exécutions restèrent tout aussi cruels. Mais à ce moment se dressa face aux empereurs un autre pouvoir, celui des évêques. Non seulement ils se firent un devoir de lutter contre les effusions de sang, mais ils intervinrent maintes

des femmes par les hommes. Historiquement, la sexualité a été l'expression du pouvoir des hommes sur les femmes ou des vieux sur les jeunes. Même dans les relations homosexuelles, on trouvait presque toujours une inégalité. Les formes diverses de pédérastie et de transgenrisme impliquaient une différence de pouvoir entre l'homme adulte assujettissant le garçon ou le « vrai » mâle dominant le mâle féminisé. C'est depuis un siècle seulement que l'on cherche à entretenir des relations égalitaires, sans

futur chef, de l’entraîner hors de la voie tracée par ses parents. Car c’est, pour Lucien, une expérience très intense et Bergère sait se faire convaincant, même didactique, comme nous le voyons dans son commentaire à propos de Rimbaud : La pédérastie de Rimbaud c’est le dérèglement premier et génial de sa sensibilité. C’est à elle que nous devons ces poèmes. Croire qu’il y a des objets spécifiques du désir sexuel et que ces objets sont les femmes parce qu’elles ont un trou entre les jambes

soudain en réalité objective, sous ce regard le père adoptif lui réaffirme la sentence de sa condition, Genet devient un voleur mais aussi un enfant trouvé, le fruit du néant. Ce regard qui le viole et le surprend dans son dos est à l’origine de sa pédérastie passive particulièrement masochiste : une étreinte de fer l’a rendu femme-objet. Il sent désormais ce regard dans son dos comme une femme qui attire le regard des hommes sur ses hanches. Chaque regard dans ce village le déshabille désormais, il

mode de l’ironie : il répond que s’il en était ainsi, lui, Socrate aurait bien de la chance de fréquenter quelqu’un d’autre glorieux et d’aussi admiré qu’Agathon ! Cependant, cette naïveté d’Agathon reflète bien une croyance directement liée à la pédérastie en vigueur chez les anciens grecs. En effet, la transmission de savoir était imaginée sur ce mode du « transvasement » d’une âme vers une autre, voire d’un corps vers un autre corps. Comme si les contacts sexuels autorisés alors entre un maître

inexplorée. Celui qui s'est le plus occupé de la question, c'est Platon, surtout dans le Banquet et le Phèdre : mais tout ce qu'il avance à ce sujet reste dans le domaine des mythes, des fables et de la fantaisie, et ne se rapporte guère qu'à la pédérastie grecque. Le peu que dit Rousseau sur ce point dans l e Discours sur l'inégalité est faux et insuffisant. Kant traite la question, dans la troisième section de son écrit Sur le sentiment du beau et du sublime ; mais son analyse est superficielle