Peinture Et Libertinage

coloris ( zones de couleurs. - Rembrandt, XVIIe s. ( représentant du clair-obscur => impression de profondeur, dématérialise les couleurs et donne les pleins pouvoirs à la lumière. Peinture romantique => revient à la couleur => moyen d’expression psychologique => création d’une atmosphère ds les peintures. Peinture expressionniste => travaille la couleur => c’est la couleur qui va travailler le motif => agit sur l’atmosphère. Début XXe s. => intérêt pour la couleur. 1939 : ouvrage de Chevreul

Pansaers, et le groupe surréaliste, constitué d'André Breton, Louis Aragon ou Philippe Soupault, rentrent en opposition quant à l'aboutissement de leur art. En effet, Tzara ne cherche qu'à faire de « l'anti-littérature, de l'anti-musique et de l'anti-peinture ». S'en suit l'éclatement du groupe Dada. 1) Inspirations • Guillaume Apollinaire
Celui qui fit le défenseur de peintres cubiques et avant-gardistes tels que Pablo Picasso, Marc Chagall ou George Braque est en effet considéré comme le précurseur

DELACROIX, La liberté guidant le peuple, peinture, 1830. * Les couleurs de la république : bleu (Paris), blanc (monarchie) et rouge (sang coulé pour libérer le peuple). * Marianne, symbole de la liberté française. * Le petit garçon peut être comparé à Gavroche, on peut voir qu’il est en avant par rapport à Marianne, pour marquer son importance. * Au loin, on peut voir Paris et les fumées. * Les seins de Marianne, époque libertinage. * Les bois derrière l’enfant et la pierre

Peinture : En France, au cours du XVIIIème siècle, débutent deux types de peintures européennes : Le Rococo et le Néoclassicisme. -Le style rococo se propage en Europe tout au long du XVIIIe siècle. Le terme rococo est dérivé du mot rocaille. Il entre en usage autour des années 1730 pour désigner "une ornementation imitant les rochers et les pierres naturelles". Le rococo est un mouvement artistique touchant principalement la peinture et l‘architecture. C’est le style artistique dominant

tends au travers de mille douleurs à vivre heureux et tranquille auprès d’elle » (l.13-14). Elle évolue dans le dernier paragraphe du texte vers l’hédonisme [dico] : « il est certain que notre félicité consiste dans le plaisir » (l.30-31). 1. Le « libertinage » de Des Grieux.  Remarque : Des Grieux emploie lui-même le mot « libertin », juste avant notre extrait : p.105, l.2453.  On peut donc bien parler de morale dans la mesure où Des Grieux expose une règle de conduite générale (aimer passionnément)

Italie (1753-1756). Dès son retour en France, Fragonard fut accueilli comme un peintre confirmé ; il obtint la reconnaissance de la Cour, des commandes publiques et un atelier au Louvre. Mais il abandonna les fastes de la narration historique pour la peinture de genres peints pour une clientèle choisie. Ces toiles sont d'une grande sensualité où l'attention portée à la composition et l'utilisation rapide de la trace chromatique annonce une subtile tension érotique. Mon étude concerne Le Baiser, œuvre

pièce) ; impiété aussi lorsqu’il jouera la comédie de la dévotion religieuse (avec Elvire, avec son frère ou avec son propre père). Le débauché A ce libertinage de pensée s’ajoute un libertinage des mœurs (mais le libertinage intellectuel ne débouchait pas obligatoirement sur la liberté sexuelle : Gassendi était très vertueux). Ce libertinage de mœurs aggrave l’impiété de Dom Juan. Car pour la conscience chrétienne, le désir sexuel (cf la référence à la « bête brute », au « pourceau d’Epicure » :

fille se marque par le fait que « La plupart des mères s'imaginent qu'il suffit de ne parler jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Mme de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour ». Cette irruption d’une phrase au présent de vérité générale (« s’imaginent ») et d’une généralisation des pratiques d’époque (« La plupart des mères ») traduit une réflexion personnelle de l’auteur dans son propos explicatif et analytique

devenant ainsi le gendre du peintre.→ Il acquière une réputation grâce à ses gravures et illustrations (un des rares à en vivre) avant d'aborder la peinture vers 1728. → Hogarth peint plusieurs portraits d'une grande qualité durant sa carrière bien que ce genre ne corresponde pas à ce qu'il souhaite exprimer à travers son art. C'est en associant la peinture d'histoire avec la scène de genre qu'il trouve sa véritable voie. (montrer les portraits) → Sa carrière connaît un tournant en 1732 grâce à sa série

et se moque de la religion. Mais à la fin de la pièce Dom Juan semble puni par une force supérieure : l'honneur de l'Eglise est sauf. Cette fin protège son auteur mais ne cache pas l'étendue du discours libertin du personnage. Si les figures du libertinage sont aujourd'hui surtout célèbres pour leurs moeurs douteuses, beaucoup accompagnent cette vie d'une réflexion philosophique contestataire. Par ailleurs, tous les libertins ne se sont pas fait remarquer pour une vie dissolue. Les auteurs libertins