Peinture Et Libertinage

et bien apprêté ; maladresse dans le stratagème Parodie du discourt : cela sert au comique de l'extrait. Sganarelle apparaît comme burlesque ce qui devient un faire valoir pour Don Juan III°/ Crédit apporté au discourt de Sganarelle : - Peinture du comportement social et religieux d'un libertin comme on peut le voir en relevant ces deux champs lexicaux. C'est une question de l'époque. - Poids de la sentence détournée qui menace le libertin s'adressant en fait directement à Don Juan.

Boileau et La Fontaine et les Modernes comme Fontenelle qui sont pour le progrès, les innovations dans l’art. Sous la Régence apparaît le style Rococo ou style Rocaille est un style dérivé du Baroque et qui touche surtout l’architecture et la peinture par exemple Wateau et Boucher. C’est un style très décoratif, gai. Sur le plan économique, le Duc d’Orléans essaie de redresser le pays qui a beaucoup de dettes. Mais n’y arrive pas donc il demande à Jhon Law qui crée le papier monnaie et

époque. Le roman sert ainsi à peindre l’Histoire e a éduquer comme avec La princesse de Clèves de Madame de Lafayette. IV) Le temps des audaces (XVIIIème) Siècle des Lumières avec le libertinage. A cette époque, deux formes dominent, le roman par lettre et les pseudo-mémoires. Une certaine originalité thématique (peinture des mœurs de l’aristocratie décadente) et formelle comme avec Jacques le Fataliste de Diderot. Le roman, par les lettres est un bon moyen pour contourner la censure puis pour analyser

Régent perd beaucoup de sa crédibilité. Il meurt brusquement en décembre 1723 pour des raisons inconnues. Cette période du siècle est notamment marquée par une certaine libération des moeurs, par le goût croissant du luxe, par l'impiété et le libertinage. Cette partie du siècle se démarque donc des premières années du siècle où la misère et l'austérité dominaient les lieux mais le climat est instable et fluctuant, ce qui amène plusieurs pièces de théâtre et certains romans traduisant ce phénomène

moins classique unité de temps et de lieu non respecté) de Molière et peut être une des plus représenté jusqu'à nos jours. Cette œuvre datant de 1665 est pourtant tout d'abord censuré car elle est considérer comme indécente, faisant l'hymne du libertinage. Elle s'inscrit effectivement dans un désir profond de provocation encouragé par la censure de son œuvre précédente, Tartuffe , 1664. A travers donc, mensonges et vérités,le Dom Juan de Molière nous montre sa vison de l'homme et de la société.

donne au récit un caractère en apparence morcelée. La narration suit la chronologie des évènements et on sent à travers le récit, un double plaisir : celui de raconter un épisode savoureux et celui de faire état de ses talents de libertin. Quelle peinture d’une certaine société Laclos fait-il ici ? I. Un récit explicatif A. Une succession d’actions rapportée au passé. Suite de verbe d’actions : "arrêtai", "je suis descendu"… série de déplacements et de rencontres. Deux endroits distincts

s'inspirant de la 'commedia dell'arte' et de la tradition farcesque Française, avec l'étude des caractères des personnages, en les rendant humains, et la peinture d'une société avec ses défauts et ses problèmes. Il a abordé presque tous les sujets: l'amour, la vanité, l'hypocrisie, la présomption précieuse, la tyrannie des pères, le libertinage et la fausse dévotion. Il a couvert tous les rôles du théâtre; en effet il a été acteur, metteur en scène et directeur de troupe. Pendant toute sa vie

tableaux « en pendants » est narratif puisque le diptyque constitue un récit à condition d’être complété par ce qui n’est pas montré. Comme chacun sait, l’expression des sentiments caractérise l’art de Greuze. Elle forme un des aspects majeurs de la peinture du XVIIIe siècle et elle est au cœur de la critique d’art de cette période. « C’est le programme d’une pathognomonie des passions et d’une physiognomonie des caractères qui se formule », remarque Jean Starobinski. Cette pensée n’est pas sans contradiction

le fait avec un dessein réfléchi, avec méthode et non plus guidé uniquement par l'enthousiasme. Pour veiller aux principes, aux usages admis de la pensée et des arts de nombreuses académies sont fondées (l'Académie française — 1635, l'Académie de peinture et de sculpture — 1665, l'Académie des sciences — 1666). Le français devient la langue internationale de l'élite. Spécifiquement français, le classicisme, courant dominant du siècle, exprime le style de la monarchie absolue, nationaliste et centralisatrice

C’est donc de cette manière que Molière a décidé de donné son opinion et de prendre parti du « libertinage » dans son œuvre  Don Juan. Cette pièce est la mise en scène du personnage devenu légendaire, Don Juan. Il est libertin ce qui signifie qu'il suit ses propres préceptes religieux, il a son propre sens de la moralité et il s'abandonne aux principes charnels tel est la définition du libertinage. Il défend l’infidélité est blâme la fidélité devant son auditoire avec une grande constance sans