Peinture Libertine

lecture de ces textes, une question nous vient à l’esprit : Quels sont les aspects de Dom Juan que les textes du corpus et les annexes mettent-ils en avant ? Dans un premier temps, Don Juan nous parait d’ors-et-déjà comme étant un grand seigneur libertin notamment dans les scènes 4-5 de l’acte V, lorsque Don Juan refuse de se repentir car il a commis un blasphème or cela est à l’époque symbole de libertinage. Il rejette toute autre moral philosophique que la sienne en suivant son propre désir et

carrière. En 1673, épuisé par son travail et sa maladie, Molière meurt après la 4ème représentation du Malade Imaginaire. Les personnages Don Juan : Il est le fils de Don Louis et le maître de Sganarelle. Il est hypocrite, cynique, séducteur, libertin et égoïste. Il manipule hommes et femmes pour arriver à ses fins : il séduit par le discours. Il veut affirmer sa supériorité sur tout, y compris la morale et la religion. Mais il est aussi un homme très intelligent et d’un courage sans faille

Fiche Dom Juan Objet : :Acte I, scène 2 Le portrait du libertin Nom : Molière alias Jean-Baptiste Poquelin Date : 1622-1673 Titre : Dom Juan ou le festin de pierre Genre : Théâtre MVT litt : Baroque Date parution : 1665 Situation : Acte 1 scène 2 : Dom Juan argumente le fait qu’il soit libertin et qu’il aime les femmes. Il discute avec Sganarelle son valet. L’auteur : 1622 : naissance à Paris 1643 : Devient comédien. Fonde l’Illustre-Théâtre. Prend le nom de Molière. 1645 : La

philosophie et est à la base de la socialisation des victimes. Pour le libertin, c’est le discours philosophique qui est la force avant même les actions. Barthes suggère qu’«il n’y a d’érotique que si l’on raisonne le crime. Raisonner, cela veut dire philosopher, disserter, haranguer, bref soumettre le crime au système du langage articulé» (Châtelet dans Justine 27). Châtelet le confirme «Dans le système philosophique de Sade, un libertin ne se conçoit pas en dehors du discours» (dans Justine 27). En

Juan est un libertin. Sujet divisé : Libertinage de pensée et libertinage de mœurs. Développement : Idée principale 1 : Libertinage de pensée Idée secondaire 1 : Dom Juan est détesté de Sganarelle et des autres à cause de sa façon d’agir. Preuve 1 : «Scélérat», «enragé», «chien», «Diable», «Turc», «un hérétique», «bête brute», «pourceau d’Épicure», «vrai Sardanapale» Explication 1 : Champ lexical des mots utilisés par Sganarelle pour décrire Dom Juan comme étant un libertin. Preuve 2 :

Dans Les Liaisons dangereuses de Laclos paru en 1782, une certaine rupture se profile déjà. En effet, les personnages, et essentiellement les personnages libertins que sont le Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont se dérobent. Le lecteur voudrait les enfermer dans des types mais cette tentative ouvre toujours sur une aporie. Le projet libertin et la manipulation qui y est liée, tous les non-dits, les sous-entendus jamais pleinement avoués (et lorsqu'ils le sont un doute toujours persiste) traduisent

Shirley Gon-Gibbs 1S Objet d’etude : Le Roman Texte 2 : extrait de Les Liaisons Dangereuses de Laclos Cette lettre, comme la lettre XX de Merteuil, met en scène un libertin. Ici le libertinage se trouve dans l’histoire d’une soirée burlesque mais aussi dans le style d’écriture de la lettre elle-même. Dans cette lettre, Valmont montre son envie de faire reconnaitre ses exploits. Valmont expose sa volonté de troublé l’hollandais. L’utilisation du « si… que » montre que la joie de l’hollandais

Fait de l'art un outil de propagande pour la monarchie ( Molière et Racine) Aucune liberté d'expression, tout passe par la censure. → Religion prédominante → Moral austère A la mort de louis XIV , Phillipe d'Oléans devient régent ( Libertin) en 1715, et le libertinage fait son apparition. C'est un régime permettant les fortunes rapides et la corruption ce qui entraine des ruines rapides. Une époque décadente où tout est permis. L'athéisme sortira au grand jour. Epoque de l'HEDONISME

| | |- Premiers portraits | | |DEUXIÈME PARTIE |- Le libertin : les masques |Lettre LXXXI | |lettres LI à LXXXVII |- Le libertin : la volonté de puissance | | |TROISIÈME PARTIE |- Les victimes |Lettre XCVII

CONCLUSION :    Voltaire situe l'homme dans la perspective de son épanouissement ici-bas. Pour lui, ce qui est choquant à l'époque, la recherche du bonheur terrestre l'emporte sur l'attente du Salut Eternel. Ce texte est provocateur, insolent, libertin car il contredit la conception du bonheur propre à la religion. Il se moque des dévots et de tous les nostalgiques d'un bonheur ancestral. Il invite à un libertinage qui ne perd pas de vue la morale (à la différence de ce que propose Sade et Laclos)