Peinture Libertine

instrument de révélation des intentions et des sentiments, seule trace de sincérité (lorsque les personnages se font confiance), clé de la séduction libertine et outil de trahison qui démasque les machinations ourdies par les libertins. À la fois arme du crime et pièce à conviction, elles font tomber les masques en étant rendues publiques. Pour les libertins, elles sont un moyen de comploter, de se communiquer leurs intentions, et un instrument de perversion et d’hypocrisie. Elles reflètent le caractère

D.J franchis toutes les limites, libertin = s'affranchir de toutes les règles et contraintes de la société ( il se mari avec une femme de couvent, il propose le mariage avec une paysanne, confrontation avec son père, outrage à la mort en rendant visite au tombeau du commandeur ) Théâtre du gymnase, Daniel MESGUICH ( qui joue le rôle de Don Juan ) Marseille, 2003 mise en scène moderne qui actualise la pièce Acte I Scène 1 : scène coupé en 2 : 1 ère partie S est dans la salle avec le

celle du salut. 2) L’être humain est accepté tel qu’il est et non plus tel qu’il devrait être. Or il est corps et esprit, passions et raisons, sensualité et méditation. 3) Dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause le dogme établi, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier de la métaphysique et de l’éthique religieuse. Le libertinage est un courant de pensées qui s’épanouit durant tout le 18e siècle, et se signale

l’apparition d’un esprit de tolérance (Réforme : modification la réorganisation des structures de l’Eglise catholique, de ses pratiques et de ses dogmes et ayant abouti à la formation d'Églises séparées : catholiques et protestants) Ex : Rabelais Peinture : Massys Flore (déesse latine, protectrice de la nature, assise dans un château. Arrière plan : parc à la française et ville architecturale) La Pléiade Il s’agit d’un groupe de sept jeunes poètes réuni par Ronsard (Du Bellay, Pontus de Tyard

Au 17ème siècle, on qualifie de « libertin » l’homme qui est affranchi des dogmes et pratiques de la religion sans être débauché et qui se caractérise par une attitude sceptique. LE LIBERTINAGE ERUDIT. Au 17ème siècle, le rationalisme de Descartes (le Discours de la Méthode est publié en 1637) prétend fonder la croyance sur des preuves incontestables, relevant de l’évidence logique. Mais il inspire d’autres démarches qui visent au contraire à critiquer les vérités officielles du catholicisme

voix off. * Les scènes libertines et le mensonge sont omniprésents Les scènes érotiques : il s’agit de scènes d’amour et de libertinage : Valmont /Cécile/Présidente De gros plans se focalisent sur le décolleté de la marquise, sur la bouche gourmande et menteuse deValmont. Les paroles travesties et les sous entendus grivois fusent. La religion est également très présente avec des scènes de messes qui témoignent du comportement irreligieux et libertin de Valmont et de la dévotion

Molière, qui, lui aussi, s’adressait au peuple. Le “style bouffon, baroque et gesticulant” est tout à fait approprié à la pièce dans la mesure où celle-ci s’éloignait du théâtre classique au profit d’une vision plus libre. De plus, le caractère libertin de Dom Juan s’accorde tout à fait avec cette dimension baroque. Le style bouffon et clownesque apparaît aussi dans la réplique de Dom Juan au raisonnement de Sganarelle défendant la religion : “Bon ! Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé.”. Et

récit d’apprentissage et peinture des mœurs. Exemples : Lesage, Gil Blas de Santillane, (1715-35), Marivaux, Le Paysan parvenu, (1734-35). - le roman philosophique qui mêle exotisme et critique de la société. Exemples : Montesquieu, Les Lettres persanes (1721) et les contes philosophiques de Voltaire (Zadig, 1747 ; Candide, 1757 ; L’Ingénu, 1767) qui se trouvent à la frontière du roman et du conte. - le roman libertin et le roman sentimental : si le roman libertin décrit une aristocratie décadente

aventurier pauvre en lutte contre la faim et les brigands, souvent débrouillard, il gravit et descend l’échelle social. * L’utopie et le roman d’apprentissage Ex : chapitre 17, 18 * Le roman libertin qui au 17ème siècle mélange anecdote grivoise (sensualité, plaisirs ) et peinture satirique de la société… B- Les éléments philosophiques Au 18ème siècle, le mot «philosophie» englobe les notions de: * Métaphysique * La nature de Dieu, du monde et de l’homme * Les conséquences

celle qui l’a écrite et entraîne une déchéance sociale. (Mme de Merteuil pour avoir transgressée sa règle énoncé dans la lettre (81) « Ne jamais écrire » subira une déchéance sociale qui l’obligera à l’exil. 2) Un roman libertin Protagonistes principaux= deux libertins Idée de la séduction comme d’un combat (champ lexical de Valmont dans la lettre 4). Merteuil jouie dans la destruction de Cécile qui permet celle de Gercourt et dans celle de Tourvel qui permet celle de Valmont.