Péjoratif

insiste sur lidee de la fragilité du destin humain qui peut basculer a tout moment avec le champs lexical de la fatalite . la "fortune" st le symbole de la roue qui tourne exemple vers29-32 et 24 . ensuite l'utilisation de l'adjectif qualificatif pejoratif au vers 29-32 confirme l'intention de l'auteur de blamer un defaut humain , ici l'arrogance du vainqueur . enfin l'antithese met bien en valeur lidee de l'instabilite du sort , de la fragilite et de la destinée humaine avec lexempleaux vers 29-32

la maxime « L’homme est animal raisonnable » (Ligne 8) II- L’INJUSTICE DE L’HOMME : a) La prétention de l’homme : L’utilisation de termes péjoratifs : GN « espèces d’animaux glorieux et superbes  » un rappel de notre condition, critique de l’orgueil humain, l’utilisation de deux synonymes. Antéposition adj. « petits » qui donne des connotations péjoratifs à l’apostrophe. (une tonalité critique) b) L’invitation à l’humilité : « Petits hommes » apostrophe répétée 10 fois adressé aux hommes complétée

sociaux logeant tous chez Mme vauquer qui tient une pension bourgeoise à paris. ici nous avons le portrait de me vauquer. I) Un portrait péjoratif de Mme Vauquer A) son physique 1ére ligne → « la veuve » ne la désigne pas Accent mis sur sa vieillesse→ L7→ « ses yeux ridés » Et l2 « sa face vieillotte » → gpe nominal →agée. Le suffixe « otte » comique & péjoratif qu’on retrouve dans « grassouillette »l3 qui met l’accent sur sa grosseur + l9 «  embonpoint blafard » Physiquement disgracieuse voir

maîtres? ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ IV- Relevez les termes péjoratifs désignant ce personnage absent dans cette scène. ________________________________________________________________________ V- Des lignes 30 à 67, montrez sur quoi les maîtres à danser et de musique sont d’accord et sur quoi ils sont en désaccord

égard. On s'interessera donc à la façon dont Saint Simon décrit le Dauphin, d'abord au cadre religieux, puis à l'effet de miroir que rejete le texte.Dans ce texte, on retrouve un champ lexical religieux important. Cependant celui-ci reste plutôt péjoratif. En effet l'auteur écrit " assez d'aumônes au curé et aux capucins de Meudon", qui signifie ici qu'il attache beaucoup d'importance à la ville mais non à l'Eglise car il y a bati sa résidence particulière et semble y être énormément attaché " dépensât

vices. c) - Un traitement péjoratif du gazetier. De plus, Baudelaire méprise aussi ce gazetier qui fait parti des personnes aimant l’agitation et le bruit. Il le lui fait comprendre de différentes manières. Tout d’abord grâce à un champ lexical fort et familier. Comme avec « Mon maudit gazetier » (l.20), « le subtil envieux » (l.23), « le hideux trouble-fête ! » (l.24). On peut y voir une gradation ascendante de la force des mots. Baudelaire est péjoratif à l’égard du journaliste, il fini

de ce que les aînés ont accompli avec « formidable » (ligne 4) qui met en valeur « amas » (ligne 4). Nous avons après un constat réaliste de ce qu’ils ont fait avec « contradiction » (ligne 4) et « obscurité » (ligne 4) qui est un vocabulaire péjoratif. Il y a notion de difficulté avec « effort » (ligne 5) qui est une notion définissant le travail. Nous avons une métaphore de la guerre qui marque la difficulté du travaille accompli par les aînés avec « souffrance » (ligne 13), « bataille » (ligne

« L’Horloge »Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,Le 1er mot évoque d’emblée le thème de l’allégorie du temps, apostrophe avec exclamationParadoxe qu’un dieu soit sombre, énumération d’adj péjoratifs sombres qui casse l’image traditionnelle de Dieu et d’ailleurs on comprend que c’est un dieu puisqu’il n’y a pas de majuscule. Dieu « impassible » alors qu’un dieu est sensé ressentir des émotionsMétaphore, objet divinisé car les dieux ont droit de vie et de mortPersonnification et divinisation

l’égard de sa famille adoptive, de la part de notre héroïne. La première partie est donc la situation d'amour de Thérèse et Laurent, dans laquelle Zola insère une autre partie qui se révèle être le passé sinistre de Thérèse. Grâce aux deux noms péjoratifs «  J'ai encore des dégoûts et des révoltes »(l.12-13) nous pouvons être amener a penser que la nièce Raquin éprouve de la rancœur. Également, cette idée est renforcée par la phrase « j'aurais préfère l'abandon à leur hospitalité »(l.4-5) qui traduit

ongles d’émail », « ta cuisse de nymphe », puis un contre blason de la femme à venir dans la deuxième strophe pour choquer, interpeller cette femme en utilisant des adjectifs péjoratifs « la ride véloce », « la pesante graisse », « le menton triplé », « le muscle avachi ». Ronsard fait de même en dressant un portrait péjoratif d’Hélène « vieille accroupie » dans le sonnet et flatte Cassandre dans son ode « mignonne » tout en lui faisant peur en la décrivant vieille. De plus, Queneau insiste en se