Péjoratif

la justesse de son discours. Il affirme qualités et vertus du chanvre Progression de l’éloge Indispensable « sans elle », « au moyen de ». Raisonnement progressif et inductif avec ces 2 anaphores Conditionnel = potentiel « sans » + §1 voc péjoratif pour amplifier les bienfaits §2 négation sur la grammaire « ne porterait pas » §3 questions rhétoriques §4 indicatif = réel + gradation qui montre que l’herbe est utile dans toutes les classes sociales §5 « Je dirais plus » = renforcement , voc

au spleen. III) Intro : Albatros → victime des hommes d’équipage. Poète → mal dans la vie. III) A) 1) Voc péjoratifs : « tempête », « huée ». Albatros → pas dans son milieu sur terre → Opposition planche/blanche (v5/7) → opposition entre deux mondes : La réalité avec «  planche » et celui de poète. V10 : « comique et laid » → description de l’oiseau sur le pont du navire → voc péjoratif + allitération en K. L’albatros lorsqu’il n’est plus dans le ciel, perd ses qualités et sa grâce. III) A) 2) :

Confronter des argumentations sur la question de l'homme du XVIe au XXe siècle Texte n*1 : Les termes positifs: Splendeur v.1, merveille v.2 , génie v.3, Bien v. 5, Intelligent v.6 , Feconde v.6 Termes péjoratifs : Blessures profondes , la mort , le mal Interpretation : L'auteur valorise l'homme , il insiste sur ses qualités (citations) , Sophocle écrit une tragédie 'Antigone' Il met en scène des Heros donc forcement l'homme est au dessus de tout autre créature

« colin lui demanda » … 3.aspect parodiques/humour allure grotesque ridicule : adj qulif péjoratif/négatifs « les poils rouges de leurs vilaines jambes » scène ridicule : verbe « courir » : «  ils durent courir pour le suivre » Jésus cherche à améliorer sa posture =>satire de la religion : « plus commode », « un peu » + verbes de mouvement Dieu + saints ridiculisés + tenue incongrue : suffixe péjoratif -che : « retourna dans la sacristoche mettre de gros souliers à clous » II.Une scène cruelle

présent qui résonnent plus comme des ordres que comme des conseils : « Laissez », « Songez », « Tâchez », « Aspirez », « vous rendez », « Mariez-vous, ma sœur, à la philosophie ». Elle est dédaigneuse et parsème son discours didactique de termes péjoratifs et méprisants pour humilier Henriette : « vulgaire dessein », « dégoûtant », « sale vue », « étage bas », « bas amusements », « pauvretés horribles ». De plus, Armande se montre jalouse, coquette et orgueilleuse quand elle ACTE I SCÈNE 1 7ne

ex : Abdel ! Infirme ⇒ démentir grâce a des preuveII )Mouvement : Une exception incohérente Ligne 9 : l’adjectif «seul» est un terme exclusif. Terme négatif «fagoté» qui dénonce un modèle sociale incohérent.Lignes 9 à 11 : Accumulation de terme péjoratif : Bizarre, aveugle, boursouflé et crasse qui associe les défauts masculins a la saleté. Antithèse entre «lumière» et «ignorance» qui permet de mettre en avant un paradoxe que l’on retrouve souvent dans son œuvre : l’idée que les révolutionnaires

lettre ou un texte de théâtre ont des caractéristiques spécifiques très différentes…) Registre ( comique, tragique, polémique, etc) Soigner l’expression La syntaxe L’expression ( différents langages : familier, soutenu, péjoratif… un blâme impose un style péjoratif, un discours enflammé recourt à des phrases exclamatives, une description s’appuie sur de nombreux adjectifs, une argumentation est structurée par des connecteurs…..Eviter les répétitions : utiliser des synonymes, des termes appropriés…)

supériorité « Je suis fort connu » « Je ne pardonne jamais » « je suis maître de la situation » « Je me présenterait aux élections ». Il s’est mit à califourchon sur une chaise répétant en songeant « J’irai loin ». Il emploie aussi un lexique péjoratif pour décrire « les autres » qui sont sa femme et le ministre des affaires étrangères. Il va le « jeter bas », il le traite de « foutu », de « fripon », de « misérable », de « malfaiteur public », « c’est un homme à la mer. On ne peut pas le repêcher

pas aux autres cultures Opposition entre « je » et « les autres », « nos compatriotes » Cible du l’auteur : les français en voyage qui sont comme « enivrés de cette sotte manie de s’effaroucher des manières contraires aux leurs » → lexique péjoratif dans cette phrase avec métaphore comparant les voyageurs à des poissons hors de l’eau (L24) . Métaphore filée : « attachés » et « recoudre » → obsession de l’appartenance à une nation, un groupe. Montaigne montre ici l’intolérance voire le racisme

dont le but est de persuader, l’énonciateur peut s’engager de façon très personnelle pour influencer le destinataire. - La modalisation peut indiquer :· le degré de certitude de l’information.· la nécessité d’un fait.· le jugement mélioratif ou péjoratif.· les sentiments de l’énonciateur. - Les modalisateurs sont les mots ou les expressions qui permettent à l’énonciateur de prendre position par rapport à ce qu’il dit. II. Les différents types de modalisateurs. Les modalisateurs appartiennent à différentes