Péjoratif

rhétorique faisant écho au titre du recueil « faut-il prendre parti ? » + opposition flagrante éponge/orange car description péjorative de l’éponge (utilisation de la tournure restrictive « l’éponge n’est que muscle » + association à un vocabulaire péjoratif « eau sale », « ignoble ») tandis que la description de l’orange se veut plus méliorative. c) Une description qui contribue à nous faire apprécier l’orange - Eloge de l’orange, Ponge établit un jeu de sonorités entre « orange » et « or » dont

annoncez la première idée]. En effet, il est isolé, exclu de sa société. Son village le rejette. [vous expliquez l’idée sans paraphraser le texte]. Cela est d’emblée mis en relief par le titre que reprend le second vers de la chanson. L’adjectif péjoratif « mauvaise » associé au substantif « réputation » inscrit, dès le départ, le poète dans une catégorie de personnes condamnées et mal jugées par les villageois.[P1] De même, l’emploi du présent de l’indicatif dans le vers suivant : « j’ai mauvaise

régiments ! Et vivement ! ». On remarque le caractère cynique et sadique du personnage. En effet, il envoie les autres se faire tuer alors que lui-même ne remplit pas ses fonctions de commandant, tout comme le général des Entrayes. Son nom même est péjoratif, il fait référence à une pince. Cela se rapporte au langage familier, de prendre quelqu’un sur le fait. Le capitaine Ortolan est décrit comme un homme infatigable et : « prisait de la cocaïne », « toujours agité », « pâle et cerné ». Céline nous

l’extrait présenté, il fait le portrait du magistrat Simon, qu’il côtoie à Annecy alors qu’il a 18 ans, qu’il ne travaille pas et qu’il cherche à se faire une place au sein de la société. Au premier abord, il est difficile de qualifier ce portrait de péjoratif ou mélioratif. Par conséquent, nous nous interrogeons sur la façon qu’utilise Rousseau de dresser un portrait contrasté du magistrat Simon. Tout d’abord, nous verrons en quoi ce texte est une véritable caricature sarcastique puis comment celle-ci

élément concernant le vocabulaire montrez que C. Lévi-Strauss inéluctable de la dérive  Interrogation à valoriser développe un point de vue Champ lexical – connotation péjorative au texte  Dégager des connotations différent. Vocabulaire péjoratif – sensations visuelles et olfactives Interrogation au centre de l’extrait = fausse interpellation Groupe de travail : Anne-Marie Lascaux, LP Lavoisier, Brive ; Louisette Bonnet, LP Cabanis, Brive ; Christine Joffard, CFA Lycée Danton, Brive; Jany

tellement importante qu’elle en devient ironique. Tout comme l’hyperbole « leurs efforts opiniâtres » (l.11) se rapportant à « certaines petites prières ou formules magiques » (l.5-6), que l’auteur renforce d’autant plus en lui donnant un sens péjoratif qui ôte toute valeur à la religion. Aussi le verbe « s’imagine » (l.12-13), la litote « une petite pièce de monnaie » (l.13) et la connexion temporelle « d’un seul coup » (l.14) ne sont autres que des marques d’ironie de la part de l’auteur. L’énumération

 »  et  quatre  lignes).  La  duchesse  insiste  à  la  fois  sur  les   compromissions  de  l’époque  (ça  pouvait  encore  aller  »  (l  .12))  et  garde  un  ton   péjoratif  pour  désigner  l’Empereur  (non  pas  Napoléon  mais  Buonaparte,  qui  est   aussi  le  terme  méprisant  adopté  par  Chateaubriand  dans  un  violent  pamphlet   contre

époque. Cepdant au moment ou la piece se déroule, l’Espagne onnit égaelemtn un déclin militaire. Il ne s’agit plusd d’une armée brilante mais ici, elle est constituée d’un corrompu ne pensant qu’à voler les civils. Il y a prsénce d’un champ lexical péjoratif montrant l’aspect négatif de l’armée « pieds nus » v1119 « gueux »V1119 « loque »v1120 « soldat doputeux »v1123 « voleur »v1125. La question rhétorique au vers 1118 révèle bien que le przestige militaire a disparu puisque l’Espagne est appauvrie

prier Dieu pour l'arrivée de la « belle Camille » plutôt que de souhaiter la pluie pour les cultures - « et quand vous prierez Dieu, demandez de la pluie; nos blés sont secs comme des tibias », l.47-48. Ainsi, c'est un portrait particulièrement péjoratif qui nous est livré de cette femme, contrairement à celui des personnages non-présents. Le fils du seigneur Perdican est en effet vu comme un être bon, autonome et savant – champ lexical du savoir: « docteur » l.11; « livre d'or » l.14; « latin »

l'homme, ne les enrichit pas non plus. Ils ne semblent pas bénéficier de leur travail puisque c'est la misère qui domine dans le texte et par laquelle ils sont d'abord caractérisés dans la métonymie « la misère en pleurs » au vers 6, où le terme péjoratif est renforcé par le complément du nom qui personnifie cette qualité. L'absence de vie, de vitalité des hommes se voit aussi dans l'hypallage « miroirs hagards » car ce sont les visages des hommes au regard perdu, hantant le bar, qui s'y reflètent