Péjoratif

« heureux » « véritable ») ce qui montre la marque de l’auteur. La subjectivité de l’auteur continue sur les descriptions. L’utilisation d’un oxymore dans « Le plus délicieux des monstres » entre un adjectif mélioratif « délicieux » avec un nom péjoratif « monstres » crée à la fois un mélange de crainte et de fascination. Et l’adverbe « plus » montre en valeur son point de vue. Cette opposition se trouve au début du texte mais également vers la fin, « monstrueuse merveille » qui est toujours sur

L’auteur utilise la mise en italique de certains mots : 1) Ruisseau public = à l’origine un ruisseau n’appartient à personne. M. de Rênal l’a acheté pour prouver sa richesse. 2) Manie de propriétaire = traduit le caractère du maire. Péjoratif, tare. 3) Mauvaises têtes = critique sociale. Bonnes têtes : nobles, mauvaises têtes : peuple. 4) Despotisme = livre écrit pendant la restauration ( retour aux classes sociales, nobles et clergé au pouvoir. Vérité générale. Critique

chercherait vainement dans les poèmes que nous venons de citer une argumentation faisant réellement appel à la raison. Si nous reprenons le poème de Hugo « Chanson » nous pouvons voir qu’en employant un vocabulaire mélioratif envers Napoléon I et péjoratif envers Napoléon III, Hugo manifeste un parti pris à priori qui nous impose des sentiments avant même de nous prouver leur légitimité. De même dans « Mélancholia », Hugo exprime ses sentiments envers le travail infantile, qu’il trouve inhumain

les rouages de la société parisienne puis le danger de la verité Métaphore filé : « Quoique j’aie bien lu dans ce livre du monde, il y avait des pages qui cependant m’étaient inconnues » : le monde est comparé à un livre. Vocabulaire péjoratif du monde : « une réunion de dupes et de fripons » « ce monde-ci » , « ce labyrinthe » : cette société est caractérisée de labyrinthe : lieu de difficulté où l’on peut se perdre. Parallélisme : « Vous sonderez combien est profonde la corruption

à son accusateur et donne des ordres à l’Exempt.  « Délivrez-moi » vers 325 et « daignez » vers 326 = impératif pour donner des ordres. *T reprendre l’ensemble des répliques des autres membres de la famille  « criaillerie » vers 325 = terme péjoratif 2) Le coup de théâtre *Coup de théâtre repose d’abord sur l’ambiguïté de la situation  »vous » vers 329 et 330 =pronom qui renvoie à O ou T  « pourquoi dans la prison » vers 331=interrogation très courte qui montre surprise de T. *Exempt

tension important du personnage contre sa sœur : « Tu n’es qu’une femme, une femme sans fortune, une mère célibataire, une fille-mère » (l.10-12). Ainsi cet argument sur les conditions économiques et sociales de Mathilde, qui est explicitement rendu péjoratif par le « qu’ » va permettre au lecteur de comprendre rapidement, sans aucun autre élément, qu’il est spectateur d’une querelle qui s’annonce relativement violente. De plus, d’après Adrien cette situation sociale ne lui permet pas de revendiquer

perdu ''comme si j'avais su où j'allais''. Nous observons que en Contraste avec Céline, la description de la ville dans les autres textes met plutôt en avant les caractéristiques négatives de celle-ci, en effet le lexique utilisé est majoritairement péjoratif, des adjectifs tel que ''jaunâtre'', ''humide'' ainsi que ''pourris'' sont utilisés pour décrire les différents éléments et mettre en avant la saleté citadine. L'aspect bruyant et étouffant de celle-ci est notamment mis en avant par le rythme ternaire

cours duquel B se représente en galérien, la narrateur déclare que c’est bien fini. Ces voyages l'ont entraîné vers deux sortes d'enfers différents. On comprend donc pourquoi il n'a plus rien à imaginer (…) sur la mer. D’ailleurs il emploie un terme péjoratif , mon trimbalage, pour rendre compte de l’expérience difficile et pénible qu’à été son voyage.[ cf le nom de Bardamu (barda + mu)]. L’extrait ne constitue donc en rien une ouverture mais bien une clôture, comme le confirme les références au titre

fur et à mesure qu'elle meurt. La phrase : "Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement" , traduit se changement péjoratif physique, et la faillite du poétique et du romantisme avec des adjectifs qui dévalorisent Emma: " Atroce", "hideuse", "misérables", "désespéré" et les mots , "ténèbres" et "épouvantement". La mort d'Emma est décrit objectivement, sans embellissements

chapitre 4). Tout au long du roman elle exprimera un dégoût vis à vis du peuple. Dans la partie II, au chapitre 3, elle consulte "les étrangers", c'est-à-dire les habitants de Yonville, pour choisir le prénom du bébé. Le nom "étranger" est ici péjoratif et met volontairement une distance entre Emma et les autres. Plus loin, alors qu'elle se trouve chez Madame Rolet, celle-ci l'ennuie et l'héroïne est ravie de s'être "débarrassée de la nourrice". Emma ne veut jamais être mêlée au peuple, à ces "gens-là