Péjoratif

modalisation: les termes péjoratifs ( laid, misérable...) ou mélioratifs ( beau, généreux) les verbes/ les expressions exprimant le doute ou la certitude ( croire, douter, certifier, confirmer, sans doute,...), le mode conditinnel, la négation... *Le discours rapporté: Le discours direct, indirect ou indirect libre. 2/ Les procédés lexicaux *Le sens propre (la dénotation) / Le sens figuré (la connotation). *Le champ lexical. *Le vocabulaire mélioratif ou péjoratif. *La variété de langue

Vocabulaire de la ficelle– Paysan nom commun – masculin, féminin (paysanne, paysans, cultivateur ,paysannes agriculteur) personne qui vit à la campagne, de la culture et de l’élevage– torse nom commun – masculin(torses)1 partie d’une statue représentant un buste humain dépourvu de tête ou de membres une sculpture dont il ne reste plus que le torse2 partie supérieure et antérieure du tronc, constituée des épaules, du thorax et d’une partie de l’abdomen (buste poitrine) Charrue nom commun – féminin(charrue)1

Il sert à présenter un personnage. Il peut contenir les prémisses de l’action à venir. Le personnage de roman n’est pas forcément héroïque. Il faut analyser en détail les portraits - Le plan physique : aspects physiques mélioratifs ou péjoratifs, la description des vêtements, les traits sontils grossis ? - Le plan social : le statut social, le personnage est-il identifiable (milieu social) ? - Le plan moral : sentiment et caractère. Exemple : Le portrait de Vautrin

[en]; [eu]; [in], accentuent le côté désagréable de l’huître : « grosseur » « moyen » « apparence ». L’hyperbole : « brillamment blanchâtre » et l’oxymore de l’association de l’adverbe mélioratif « brillamment » et de l’adjectif péjoratif « blanchâtre », péjoratif par son suffixe -âtre. Ces deux figures de styles renforce la blancheur de l’huître, qui devient ici éclatante, lumineuse, cela permet une chute de la 1ère phrase sur un élément mélioratif. L’huître est ensuite comparée à un monde

SDF se mot est apparu en 1983, il vient remplacer une série de mot péjoratifs comme clochard et mendiant. le terme SDF ou "sans domicile fixe " disigne une personne qui na pas de logement, qui a perdu toute relation avec des amis, de la famille et surtout c'est une personne qui vit dans la précarité. ces personnes ne savent pas où elles vont dormir se soir là, ni elles vont pouvoir manger un repas chaud. Les sans domiciles fixes, contrairement a se qu'on croit, sont des personnes qui ont eu un emploie

“dents” auxquels il va ajouter un adjectif souvent péjoratif du champ lexical de de l'abîmé et du défigurement pour mieux décrire l'état putride du cadavre de Camille : “La tête, maigre, osseuse, légèrement tuméfiée…” ; ”...le globe blafard des yeux”, “les lèvres tordues”. En addition des adjectifs péjoratifs comme "légèrement tuméfiée” ; “tordues” et “...atroce” qui font partie de la description du défigurement de Camille, des adjectifs péjoratifs décrivant des couleurs désaturées et fades sont compris

Palais Stoclet PERRIN Chloé 1er1 L Madame BovaryQuestion (1):Le narrateur sur le texte A adopte une position de distance, par l'emploi d'un vocabulaire péjoratif de mépris, « la carriole vidait son monde ».Sur le texte B l'auteur a voulu faire un effet de contraste du Louvre par rapport aux visiteurs, eux qui ne sont pas des gens très riches et le Louvre qui est un lieu plein de richesse.Le registre utilisé dans ses textes est le registre réaliste, FlaubertCommentaire de texte, extrait de

est utilisé dans ce passage comme «souffrait » , « éprouvait » car il représente la pause descriptive du cadavre. B- Un narrateur présent Dans l’extrait le lexique évaluatif est péjoratif la cadavre à un teint « jaunâtre » , des « lignes horrible » , sa tête est « tuméfiée » ce lexique péjoratif se rapporte directement à Camille. Durant la période naturaliste le narrateur est un observateur et un expérimentateur. Dans le texte le narrateur prend le rôle du médecin légiste et entreprend

qu’elle, c’est-à-dire ingénu. Les synonymes dans la scène d’exposition qui la décrivent comme ingénu sont : - « soumise » (vers 127) qui est péjoratif. - « idiote » (vers 138) qui est péjoratif. - « innocente » (vers 140) qui est mélioratif. - « simple » (vers 148) qui est à la foi mélioratif et péjoratif. L’expression « jouer les ingénues » signifie : qui joue les rôles de jeunes filles naïves. 2) L’éducation imposée par Arnolphe l’a rendue ingénue

dans cette partie de l'œuvre. Le sujet de ce commentaire sera alors de découvrir en quoi cette entrée en scène est d'une originalité propre à Maupassant. Ceci, en suivant comme axes majeurs le contraste entre le tableau à la fois réaliste et péjoratif voire ironique de cette incipit. Maupassant, un écrivain réaliste ayant vécu son histoire. L'écrivain de cette œuvre en fut un réel acteur puisque celui-ci s’engagea dans la guerre en tant que soldat français qui l'opposa à la Prusse en 1870.