Pèlerin

Cheminant vers Compostelle, un pèlerin rencontre trois tailleurs de pierre : • • • Le premier, au visage torturé, plein de douleur, exprime sa souffrance, disant de son labeur qu’il est le pire de tous et fait de lui un être méprisable ; Le second, plus loin, au visage sans expression, avoue que ce travail qui permet de nourrir sa famille, lui est particulièrement indifférent ; Le troisième, plus loin encore, au visage extatique, et devant la surprise du pèlerin qui avait encore en mémoire les paroles

en fait trop) d’impatience, de soupirs, de larmes… » énumération +  Personnage ne laissant pas indifférent. Portrait hyperbole. « Tant » x6 pathétique, figures d’amplification. fait par Sganarelle sans DJuan. Effet d’attente. -Traitre : « le pèlerin » l.58 -Hérétique : provoque le ciel « qui ne croit ni ciel, ni saint, ni Matérialiste (il ne croit que ce qu’il voit). dieu » 2. Sganarelle  Valet de DJ : prend la parole le 1er dans une tirade  Expressions familières « à vue de pays » Origines

gens s'identifie a elle. En analysant les mains des personnages ont peu distingué différents choses: *Marie-Madeleine avec Les mains jointes avec les doigts croisés qui est entrain d'implorer le Christ. C'est pour ça que les pélérins s'identifie à elle. * Marie, mère de Jésus, ses mains montre sans doute un sentiment de résignation * Jésus sur la croix, ses mains sont convulsées avec la paumes ouverte orientée vers le ciel. Cela montre une certaine douleur, la prière ou

soleil, le gazon est personnifié «il invite» l.24 le pélerin a venir se reposer, la nature est un cadre qui contribue à l’allégresse du dervis. L.29, tout est beau avec «les coteaux fleuris», «prairies émaillées», «arbres chargés de fruits», le spectacle représenté peut indirectement nous faire penser au jardin d’Eden. Comme dans l On trouve une situation finale aussi comme dans un conte, mais elle est bien moins gaie. A partir du moment où le pèlerin se trouve «un peu plus loin» l. 32, la situation

cette conception dépend le principal effet esthétiqur en meme temps que les futs sont le point essentiel pour le voutement. A l’inverse de la crypte, la lumière envahit la nef haute et l’échelle humaine et rapetissé par de très haut stylobate, le pèlerin se retrouve dans uyn royaume qui le dépasse La facade occidentale La conecption de la facade n’a pa changé depuis Giniez. Savy la juge interressante par l’opposition qu’elle constitue avec la sévérité des murailles des tours On a souvent comparé

Diable. n 66CHAPITRE II Aventure du pèlerin U   Naples, il s’appelait Roger, étant à la chasse, s’écarta de sa suite et s’égara dans une forêt. Il y fit rencontre d’un pèlerin, homme d’assez bonne mine, qui, ne le connaissant point pour ce qu’il était, l’aborde avec liberté, et lui demande le chemin de Naples. « Compagnon, lui répond le roi, il faut que vous veniez de loin ; car vous avez le pied bien poudreux. — Il n’est cependant pas, répondit le pèlerin, couvert de toute la pous- sière qu’il

tiré dessus. Grandgousier décide d’organiser un immense festin pour le retour de son fils. Gargantua a envie de salade ; il cueille les laitues réputées les plus grandes dans un jardin et emporte inopinément six pèlerins qui s’y étaient abrités pour la nuit. Il avale sa salade et les pèlerins. Ceux-ci ne doivent leur survie qu’au fait que s’accrochant aux dents du géant et que malencontreusement en tâtant autour d’eux avec leur bâtons, ils touchent un point sensible. Gargantua, muni d’un cure-dent,

Dieu soit sur lui et sa famille) avait accompli son dernier pèlerinage et retournait vers la Médine, accompagné par une grande foule de pèlerins. Si tu jetais un coup d'œil sur le désert de Hijaz , tu pourrais témoigner des centaines de caravanes , petites ou grandes, retournant de la Mecque vers leurs pays. Il y avait une longue queue des caravanes de pèlerins de différentes villes et parmi eux, Le Grand Prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sa famille) aussi allait vers la Médine.

effet, manquant de pain, mangeaient les chevaux, les ânes, les chameaux… » D’après Foucher de Chartres, cité dans R. Pernoud, Les Croisades. In Magnard, Histoire, CE2, 1995, p. 36. La prise de Jérusalem en 1099 « Entrés dans la ville, les pèlerins poursuivaient et massacraient les Sarrasins, qui livrèrent combat durant toute la journée, au point que le temple ruisselait de sang. Les croisés coururent ensuite par toute la ville, raflant l’or, l’argent et pillant les maisons qui regorgeaient

s'emparent des reliques d'une jeune fille martyrisée au IIIème siècle à Agen, sainte Foy. Dès lors, les foules de pèlerins ne cessent d'affluer et une nouvelle construction est entreprise au Xème siècle. La situation de Conques sur une des quatre grandes routes menant à Compostelle, celle qui partait du Puy-en-Velay et qui se prolongeait vers Moissac, attire une foule toujours plus grande de pèlerins et l'abbé Odolric (1031-1065) entreprend la construction de l'édifice actuel probablement achevé sous l'abbatiat