Pensée unique

théorique et intérieure, à se questionner et se découvrir, tant physiquement que moralement. En effet, l’Homme dans son corps peut chercher l’origine de la matière physique qui lui permet d’être un individu reconnu de ses semblables. Parce qu’il est unique et à la fois semblable aux autres, de par sa forme physique (A-t’il deux jambes, une tête, deux bras ?), la façon dont il se sert de ses sens (odorat, vue, ouïe, toucher, goût, peut-il espérer pouvoir se servir de tous ?), mais aussi agît t’il comme

c’est-à-dire que ses facultés se sont développées grâce au contact avec ses semblables. Ce qui reviendrait à dire que l’on ne peut pas être soi-même. Bref, peut-on ne pas être soi-même ? Soit on considère que certaines facultés comme le langage, la pensée, la conscience, etc. me permettent d’être moi-même, c’est-à-dire que je peux me diriger vers ce que je veux être, dans ce cas on peut être soi-même. Soit on considère que l’homme n’est pas un être naturel, c’est-à-dire qu’il suscite l’intervention

particulière que chacunes des professions citées lignes 1 et 2 entreprennent pour aboutir à un certain génie. Ces hommes ont, ainsi, "la pensée active" dans une "direction unique". Ils sont donc des penseurs qui reflechissent de manière organisé et precise, par exemple le savant astronome étudie, et se focalise sur les astres, les étoiles, (sa direction unique). De plus, Nietzsche compare le génie à un maçon lorsqu'il dit "le génie ne fait rien que d'apprendre d'abord à poser des pierres, travailler

que toute perception est unique et subjective, que l’homme est la mesure de toute chose, donc, que toute connaissance est unique et subjective. À leurs yeux, personne n’avait donc tort d’avoir telle ou telle valeur, elles étaient toutes bonnes. Par contre, un homme est venu chambouler leur théorie en semant le doute dans les esprits, c’était Socrate. Comparativement aux sophistes, il croyait certaines valeurs comme le perfectionnement de la pensée plus important que les valeurs

penser et de se comporter correctement. La conscience est un mélange entre l'appréhension subjective de notre vécu et la perception objective de la réalité. La conscience et la pensée sont donc étroitement liées d'où l'expression cartésienne « cogito ergo sum », je pense donc je suis.Ce qui voudrait dire que du fait que je pense , je sais qui je suis et donc je sais ce que je fais. De ce fait la conscience n'appartient qu'aux hommes ou à quelques animaux.Cependant si l'homme est conscient il peut aussi

Emmanuel Kant : Le « je » dans sa représentation. Il s'agit dans ce texte de Kant de montrer que la possession du «je» permet de définir le sujet humain. Se saisir comme un «je pense », c'est se manifester en tant que conscience réfléchie. Ainsi tout homme doit être pensé comme un «je pense ». La conscience de soi est pensée en termes de "pouvoir", et est définie comme la condition de possibilité de toute représentation dans cet extrait. On peut donc à partir de ce texte en retirer une thèse qui est

Le pari de Pascal Pensées, fragment 397 Les Pensées sont l’œuvre incomplète de Blaise Pascal, dont l’écriture a été entreprise dès 1655 et jusqu’à la fin de sa vie. Le fragment que nous allons étudier, le 397ème, semble dater de 1655 et se situe dans la partie (liasse?) Preuves de la religion par le peuple juif, les prophéties et quelques discours, et le premier de la Série II. Il marque le passage de la vie mondaine de Pascal à la vie pieuse par sa seconde conversion du 23 novembre 1654. C’est

extrait de Propos sur les pouvoirs publié en 1924 ALAIN se préoccupe de définir la pensée. Il soutient que penser c’est d’abord dire non, notion qu’il va définir. Il se demande à quoi il faut penser pour enfin élargir son sujet sur l’impact et l’importance de penser. En cherchant à répondre à cette question : qu’est ce que la pensée remet en question ? Il aborde donc ce terme « non » qui est associé à la pensée, puis en étudiant son impact sur l’Homme penseur et ce qui l’entoure. L’auteur

La conscience est apparue très tardivement comme objet philosophique. On attribue à Descartes l'honneur de l'avoir mise au centre des débats. Il est vrai que son cogito identifie pensée et conscience. Avec le « je pense, je suis », il fonde l'existence humaine sur la pensée et donc sur la conscience. Jusqu'au XVII ème siècle, le mot "conscience" désignait exclusivement la conscience morale. C'est sous la plume de Descartes que le terme de conscience apparaît pour la première fois avec son sens moderne

« c’est à moi ». On est soi-même dans certaines occasions, en ayant des comportements uniques, des mimiques, des expressions propres à nous individu. On parle souvent inconsciemment de soi, on utilise notre liberté, notre droit de pensée pour réfléchir et parler. Cependant il arrive qu’on utilise les expressions « je suis sortie de mes gongs », ou « je suis hors de moi ». Dans ce cas là on a l’impression que notre pensée agit sans même qu’on l’ai voulu, de façon plus ou moins juste parfois, c’est à ce