Pensée unique

moral et ce qui lui est nuisible. Les philosophes et la philosophie encouragent la connaissance de soi : bien négligeant serait le philosophe qui prétendrait tout savoir de l’Homme sans avoir jamais cherché à comprendre les mouvements de sa propre pensée. Le courant romantique du XIX°, la popularité des journaux intimes et des récits autobiographiques, l’émergence de la psychiatrie (, le recours aux thèmes astraux, les tests des magazines « êtes vous plutôt timide ou extravertie ? », « êtes vous romantique

PROBLEMES ET METHODES DE LA SCIENCE ECONOMIQUE FICHE RÉSUMÉE PRESENTATION ET AVANT PROPOS Objet du cours : Le cours de « Problèmes et Méthodes de la Science Économique » se présente comme un cours d'histoire de la pensée économique dont l'objet est de comprendre comment s'est constituée cette science singulière qu'est la science économique : Or, UNE SCIENCE SE DÉFINIT D'ABORD PAR UN OBJET (des Problèmes à résoudre) UNE METHODE (une démarche systématique pour résoudre les problèmes posés)

délimité de la pensée et de la connaissance puisque une par une, les différentes sciences ont acquis leur indépendance. Actuellement, la philosophie est une activité rationnelle critique exprimée dans une œuvre écrite et s’efforçant de découvrir le sens des choses. A la différence de la religion à laquelle elle a été pendant longtemps associée, la philosophie ne se contente pas de diffuser des opinions reçues et des vérités révélées. La philosophie est une forme spécifique de pensée et d’organisation

« De tout ce que je suis et ce que je possède, que puis-je considérer comme véritablement à moi ? » Ce que je suis, c’est une existence, une conscience, et une âme qui pense nous dirait Descartes. En effet, la connaissance de soi est la préoccupation de chaque individu. Nous sommes tous amenés à nous définir par des qualités, des défauts, des désirs : c'est ce qui constitue notre caractère, ce qui forge notre personnalité. Ce que je possède correspond à tout ce qui m’appartient

NE PAS ETRE SOI MEME ? L’homme ne peut échapper à la présence à soi qui est celle d’un être d’ôté d’une conscience. Par conséquent, l’homme sait ce qu’il fait et pourquoi il le fait. Cela dit, l’homme ne peut pas être autre que le sujet de ses pensées, de ses actes et de ses états. Cette question apparait donc, à première vue, paradoxale, car il est impossible de penser qu’on ne peut pas ne pas être soi même. Néanmoins elle nous encourage à nous demander si on est toujours réellement soi ? D’où

en octobre 2012 que les manuscrits de kafka sont jugés propriétés de l’État d'Israël. Il apparaît donc encore aujourd'hui des conflits liés à la propriété littéraire qui peuvent entacher les volontés premières de l'auteur lui-même. L'auteur et la pensée semble être la base de la réflexion de Victor Hugo ( écrivain français ) concernant la propriété littéraire. En effet, dans l'extrait de son discours d'ouverture du Congrès littéraire international, Victor Hugo argumente autour de la nécessité d'avoir

l’omniprésence de la duperie. La vérité, quant à elle, est définie comme étant la conformité de notre pensée avec ce qui est, soit avec le réel. Dès lors, la question de la confiance à accorder aux apparences se pose et il serait donc intéressant de se demander : Pouvons-nous être certains de la vraisemblance d’une vérité ? La vérité est-elle différente pour chacun d’entre nous ou est-elle unique et universelle ? Comment peut-on atteindre la vérité relativement aux apparences ? Peut-on accorder de

; et le premier éveil de sa pensée est certainement, sans aucun doute, pour comprendre un signe. […] C’est en essayant les signes qu’il arrive aux idées ; et il est compris bien avant de comprendre ; c’est dire qu’il parle avant de penser ». Dans l’étude qui nous est proposé, Merleau-Ponty dans les Signes, analyse le phénomène de la parole, qui ne peut se réduire à la langue des grammairiens. Contre une philosophie idéaliste qui voit en la parole le signe de la pensée, Merleau-Ponty cherche à retrouver

pensons individuellement. Toutefois, cette impuissance supposée ne laisse pas d’impliquer certaines difficultés. Notre pensée perd-elle quoi que ce soit à être la même que celle des autres ? Comment dire sans se contredire qu’il y a de l’inexprimable ? L’originalité n’est-elle pas une conquête plutôt qu’une donnée immédiate ? L’auteur commence par opposer la singularité de la pensée avec le caractère général des mots qui l’expriment. Pour ce faire, il prend deux exemples, à savoir l’amour et la haine

l'existence, qu'il dépend d'un Etre qui le dépasse infiniment, c'est un culte organisé pour rendre hommage à Dieu. La pensée scientifique repousse sans cesse les frontières de la connaissance. Cela implique un risque d'erreur donc ce n'est pas une certitude absolue. La pensée religieuse, au contraire, est plutôt tournée vers une certainé vérité, une certitude. Donc ces deux formes de pensée sont très différentes. Mais peut-on aller jusqu'à dire que la science contredit-elle la religion? Partie I: