Penser Librement Kant

d’institutions politiques pour la défendre ? Dans notre société moderne, voyons ce que Kant et Hume auraient à dire sur ce sujet. Commençons par Kant qui croit que l’idée de révolte au nom de la raison ne serait pas un hasard donné à la naissance, mais plutôt une question d’éclaircir notre ignorance et nous pousser vers une liberté. D’où l’autonomie, qui est le pouvoir qu’à l’homme de décider seul et librement de son sort. Pour Kant, la liberté de l’homme se fonde sur la raison, parce qu’elle dépasse l’idée

cela signifie qu’il est rigoureusement impossible de se dire méritant. Kant, l’ideal du Saint, celui qui ne revendique aucun mérite. La valeur de la noblesse : le sacrifice, l’effort. Générosité (comme générosité de soi, don de soi), liberté de l’indifférence aux choses (Kant) « Dieu seul est saint, par lui tout a été fait » donc qui attribue le mérite ? Donc la seule chose que les hommes peuvent avoir créé est le mal. (Luther, Kant) Erasme, avait rédigé un traité du libre arbitre et Luther répond par

«savoir». L'invention du terme reviendrait au présocratique Pythagore, qui aurait, par modestie, renoncé à se dire «sage» -la sagesse étant le privilège des dieux- pour se contenter d'être «ami de la sagesse». Philosopher, c'est penser par soi-même en interrogeant librement le monde pour se construire un savoir et unesagesse. 1 . L'origine de la philosophie Socrate, pour la philosophie occidentale, symbolise la naissance de la philosophie. Il est notamment le premier à se détacher des mythes, qui

«savoir». L'invention du terme reviendrait au présocratique Pythagore, qui aurait, par modestie, renoncé à se dire «sage» -la sagesse étant le privilège des dieux- pour se contenter d'être «ami de la sagesse». Philosopher, c'est penser par soi-même en interrogeant librement le monde pour se construire un savoir et une sagesse.1 . L'origine de la philosophieSocrate, pour la philosophie occidentale, symbolise la naissance de la philosophie. Il est notamment le premier à se détacher des mythes, qui sont

connaissance qu'a l'homme de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. La conscience, par cette possibilité qu'elle a de faire retour sur elle-même, est toujours également conscience de soi. C'est elle qui fait de l'homme un sujet, capable de penser le monde qui l'entoure. CONSCIENCE MORALE: Jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien et le mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui. CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE : Aperception immédiate par le sujet de ce qui se passe en lui

Le philosophe allemand Emmanuel Kant a publié en 1803 un ouvrage intitulé Réflexions sur l'éducation. Dans l'extrait que nous allons étudier, l'auteur se concentre sur le sujet qu'est l'éducation. L'éducation est le fait de s'instruire, de développer ses facultés, ses sens à l'aide d'une méthode. En général l'éducation se met en œuvre lors de la socialisation primaire et pendant la scolarisation. Les membres de notre famille et plus particulièrement nos parents ainsi que nos professeurs nous instruisent

la société? Dans une première partie nous verrons la place des hommes et de l’égalité dans la société, ensuite la liberté de faire, penser (le libre arbitre) puis dans une dernière partie l’équilibre entre liberté et égalité afin de créer une démocratie. I) l'égalité des hommes dans la société. Nous sommes tous égaux devant la loi. Pour Rousseau comme pour Kant, il n’y a pas de liberté sans loi car en effet, si elle limite notre liberté, en est pourtant également la condition. La liberté est

corps et donc de sa partialité. C’est ce qu’explique Kant dans sa réponse à la question : Qu’est-ce que les Lumières ? (1784) : Les Lumières se définissent comme le retrait d'un homme de la minorité* à laquelle il appartient, notre responsabilité. *Minorité, qui signifie incapable d'utiliser sa capacité de penser sans la direction des autres, Kant nous explique donc que les hommes dévoués à rester « mineurs », les hommes qui n’utilise pas leur penser et donc leur conscience mais préfère être guidé ou

des devoirs envers les animaux et la biosphère en général pour assurer la pérennité de notre espèce et donc des génération future, nous nous restreindrons ici aux devoirs mutuels que se doivent les hommes entre-eux.Il y a lieu de penser et il est même nécessaire de penser qu’on n’a de devoirs qu’envers autrui.Mais concernant ce qui ne concerne que nous, spontanément, on voit mal comment on pourrait avoir des devoirs envers nous-même, nous sommes parfaitement libres de disposer de nous même, nous n’avons

quelque chose que nous acquérons. A première vue on pourrait penser que l’on naît libre, car la liberté est un droit inaliénable à l’homme qu’il acquiert à sa naissance comme nous le montre la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 26 août 1789 sous la forme : « tous les hommes naissent libres et égaux en droit » néanmoins comme nous pouvons l’observer il n’y pas plus dépendant qu’un enfant à la naissance comme nous le dit Kant l’homme n’ayant pas de nature il se doit de se forger sa propre