Penser Librement Kant

L'autonomie de la volonté est le principe unique de toutes les lois morales et les devoirs qui y sont conformes. La majorité intellectuelle est atteinte lorsque l'on peut penser par soi-même. L'enfant est "naturellement" mineur intellectuel, car sa raison est en voie de formation. Là la direction étrangère – celle des parents – est nécessaire, celle-ci ne se substitue que pour décider à la place de l'enfant ce qui est bien pour lui. Majorité intellectuelle et civile sont deux choses bien distinctes

sur l’autonomie publique rappelle deux anciennes idées prônées par des philosophes. Ce texte discutera principalement de ces philosophies. Tout d’abord, Thomas Hobbes et sa vision Empiriste de l’autonomie. Par la suite, le rationalisme d’Emmanuel Kant et finalement ma propre opinion. Dans un premier temps, Thomas Hobbes est un philosophe qui a vécu de la fin du XVIe siècle jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Sa philosophie est l’empirisme, ce qui signifie qu’il veut des preuves pour croire en quelque

aisé d’être mineur ! Si j’ai un livre qui me tient lieu d’entendement, un directeur qui me tient lieu de conscience, un médecin qui décide pour moi de mon régime, etc., je n’ai vraiment pas besoin de me donner de peine moi-même. Je n’ai pas besoin de penser pourvu que je puisse payer ; d’autres se chargeront bien de ce travail ennuyeux. Que la grande majorité des hommes (…) tienne aussi pour très dangereux ce pas en avant vers leur majorité, outre que c’est une chose pénible, c’est ce à quoi s’emploient

LE BONHEUR SELON EMMANUEL KANT « Le bonheur est l’état dans le monde d’un être raisonnable pour qui, dans toute son existence, tout va selon son désir et sa volonté » Emmanuel Kant. Concernant les rapports qu’entretiennent la morale et le bonheur, on peut se demander si Kant n’est pas une figure isolée de la philosophie, à la fois atypique dans la modernité et fort éloigné de l’heureuse vertu des Anciens. Emmanuel Kant tient en effet à l’irréductible distinction entre vertu et bonheur,

leurs désirs et ignorants des causes qui les déterminent. » * Rousseau: “La liberté est obéissance à la loi qu’on s’est prescrite“. * Kant: « Les Lumières c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle est l’incapacité à se servir de son entendement sans la conduite d’un autre. » * Kant: « Tu dois, donc tu peux. » * Sartre: « Je choisis non mon être, mais manière d’être. » Descartes, « L’indifférence est le plus bas

Le bonheur est un état non nécessaire donc contingent par définition. C'est une quête universelle (cf annexe 2 KANT) Kant, Fondements de la métaphysique des moeurs Kant philosophe des Lumières, affirmé que les choses qui peuvent nous rendre heureux sont incertaines car elles peuvent aussi nous rendre malheureux, comme la richesse par exemple qui est une quête infinie THESE DE KANT : la raison est incapable de définir en termes clairs et précis, de manière objective, ce qu'il faut pour être heureux

préjugés Kant LIBERTÉ. Kant refuse de confondre l’action morale avec la recherche du bonheur. Pour lui, le bonheur renvoie aux dimensions affectives et animales de l’être humain, donc elle est de l’ordre de la nature, et non de la raison. La question n’est pas de savoir si ce que les femmes voilées sont conformes ou non à ce que nous sommes, ou à ce que nous nous attendons d’elles, mais de savoir si leur décision du port du voile rend compte de la liberté de leur jugement. Kant défend une

simplement de choisir, préférant renoncer à leur liberté et laisser d’autres les faire a leur place. Mais, d’abord, qu’est ce que la liberté ? Pourquoi vouloir renoncer à sa liberté ? Est-ce seulement possible ? L’Homme peut il réellement cesser librement d’être libre ? I. La liberté est un fardeau. 1. Qu’est ce que la liberté ? La liberté. Il est difficile de donner une définition concrète de la liberté. Car, chacun de nous a sa propre idée de ce qu’elle représente. Pour certain, la liberté

"parousie" et "téléologie". Ce sont ces différentes notions qui permettent de structurer l'histoire comme sens et comme orientation, comme enquête sur le passé, à l'histoire comme avenir et finalité de l'Homme. Sans ces notions on ne pourrait pas penser ou raisonner sur l'histoire comme sens et comme orientation. Les philosophes de l'histoire de XIXe siècle prétendent donner un sens de l'histoire en ne prétendant plus faire reposer le sens de l'histoire sur Dieu. Ils préfèrent faire reposer le

avons tendance à penser qu'il existe une réelle liberté. On parle bien d'une liberté d'expression, d'association ou de la liberté d'entreprendre. Ces exemples témoignent de libertés concrètes, structurées par le droit : il s'agit ici d'autorisations légales qui nous donnent le droit de faire certaines choses. Cela permet de comprendre en quoi consiste ces libertés : le droit de faire ou de ne pas faire quelque chose. Plus généralement, nous semblons agir librement, lorsque nous faisons