Penser Librement Kant

ESSAI PERSONNEL : Peut-on être privé de sa liberté de penser ? La liberté est un état d’une personne libre, dégagée de toute obligation qui peut agir sans contrainte. La liberté de penser est le fait qu’une personne pense ce qu’elle veut et fais l’effort de penser. L’homme peut-il penser librement, veut-il penser librement ? Nous allons voir dans un premier temps que l’homme est libre de ses pensées car comme à dit J.P Sartre : « La liberté est un choix », et, dans un second temps que l’homme

majeure/mineure, quand on commence par penser par soi-même. Entendement : de son intelligence, pensé par soi-même. Responsable du non entendement : la paresse le manque de courage. Contrairement aux lumières, il y a une visée didactique dans ce texte : dialogue d’enseignement. Il faudrait savoir se suffire a soi-même, ne pas avoir besoin des autres, ce qui est actuellement impossible. A force de ne plus penser par eux-mêmes, ils prennent l’habitude de ne pas penser du tout. Mal assuré = beaucoup d’erreur

à sa liberté, et donc que désobéir c’est aussi affirmer sa liberté. Dans une seconde partie, nous verrons que la liberté ne consiste pas à faire se que l’on veut, mais à faire ce que l’on doit. Puis, pour finir, nous réfléchirons a comment obéir librement tout en ne renonçant pas à sa liberté. Obéir, c’est renoncer à sa liberté. Désobéir, c’est donc affirmer sa liberté. Désobéir, c'est affirmer son indépendance, et obéir, c'est renoncer à son individualité. Les lois limitent la liberté

Mais les lois d’un Etat - institué en vue justement de mettre fin à cet état de guerre qu’est l’état de nature - empêchent les individus de se nuire les uns aux autres. L’autre sens du mot liberté n’est réservé qu’à l’homme, et caractérise ce que Kant appelle l’autonomie : obéir, à la loi dont on est, en tant qu’être raisonnable, l’auteur, ou encore, obéir à sa propre raison. Obéir à sa raison, c’est être pleinement responsable de sa conduite. Etre libre, c’est s’obliger soi-même à une conduite

Introduction Penser est le propre de l'homme. Qu'il soit en train de manger, de travailler, ou qu'il dorme, l'homme exerce l'activité de penser. Ainsi, il y a deux manières de penser : l'homme peut penser rationnellement, c'est-à-dire, en faisant usage de sa propre raison, en cherchant en quelque sorte à définir tous les mots qui lui viennent à l'esprit, en les classant, pour parvenir à savoir ce qui est vrai. Mais l'homme peut également penser par images, c'est-à-dire, en laissant indolemment le

2. Kant 2.1. La philosophie Kantienne → Kant marque une révolution copernicienne dans l'histoire de la philosophie. Il se réfère à la découverte de Copernic qui a renversé la vision que l'homme a sur le monde et sa place. Le centre de l'univers et de la Terre est en fait le Soleil, et que la Terre tourne autour de ce dernier. → Pour Kant, le sujet est pris comme référence universelle. En effet, il ne s'agit pas de se donner d'abord à Dieu, puis de penser l'homme, ou encore d'abord l'infini, puis

Selon Emmanuel Kant : “ Les lumières se définissent comme la sortie de l’homme hors de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute.’’En effet, tout au long de son texte, il fait ressortir l’incapacité qu’un grand nombre d’homme à se servir de leur entendement sans être dirigé par un autre et ceci du à la paresse et à la lâcheté nourrit par leurs pairs qui souvent effectue cette tâche à leur place : “ Je n’ai pas besoin de me fatiguer moi-même. Je ne suis pas obligé de penser, pourvu que

suis pas l'esclave d'un maître donc sous sa domination, je peux encore être soumis à des déterminismes internes qui peuvent être sociaux psychologiques, biologiques ou physiques. Peut – il y alors avoir un libre arbitre ( possibilité de choisir librement)? A – t – on réellement le choix ? 13 novembre 2011 3 la liberté - : Mise en place du problème : qu'est ce qui me fait agir ? I. MISE QUI ME EN PLACE AGIR DU PROBLÈME FA I T ? : QU'EST CE Il y a plusieurs

DE TEXTE REDIGE. [introduction] [Développement : explication linéaire du texte] La première partie du texte traite de la minorité, entendue comme incapacité à penser par soi-même, et permet à l’auteur de décrire les caractéristiques qui font d’un homme un « mineur », mais aussi de critiquer les mineurs, responsables selon Kant de la domination qui s’exerce sur eux. Précisons d’emblée le sens que l’auteur donne au concept de minorité. Ordinairement, ce qui fait de moi un mineur, c’est l’âge

= Pour la recherche des idées: Problème: Le problème c'est que celui qui veut penser doit faire attention, en un certain sens s'isoler. Mais dans la mesure où il fait attention à quelque chose il entre en relation: vous voilà dans l'embarras, partagé entre l'intériorité et l'extériorité si toute conscience est conscience de quelque chose. Quel rapport y a t-il entre la pensée et les termes d'une langue:  si ce rapport est étroit, alors, d'une certaine manière on ne pense pas seul mais avec