Penser Sans Préjugés

alors menés à une contradiction quʼil faut dépasser. ( insérer la «transition» ) II ) Le pouvoir de la raison 1. Le doute méthodique : un instrument au service de la vérité. Le doute apparait nécessaire car nous avons été sous lʼemprise des préjugés et des opinions et nous avons vécu dans un état de passivité intellectuelle (pour Descartes : lʼenfance ) avec lequel il faut rompre. Toutefois il ne sʼagit pas de douter pour douter, mais de douter pour connaître. «Je pense donc je suis» = «Cogito

Il est commun de dire que quelque chose est vrai. Néanmoins, est-ce légitime ? Le problème de ce que nous appelons une « vérité » est qu’elle est constamment influencée par des préjugés, et très souvent remise en question de part la diversité des opinions. Dés lors, il convient de se demander si la diversité des opinions rend vaine la recherche de la vérité. La vérité est ce qui représente la réalité des choses pour les hommes. Ce qui est, et ce, de manière irréfutable. Une opinion est un avis

autant affirmer qu'une pensée n'est libre que si elle ne se réfère qu'aux lois? Il n'en est pas certain.Il convient de se demander qu'est ce qu'une pensée libre mais plus surtout comment parvenir à penser librement? Cette question nous amène a nous interroger sur deux conceptes philosophiques: penser et la liberté.Penser c'est tout d'abord le propre de l'etre humain, l'etre humain qui réfléchit qui médite. La liberté c'est le fait de pouvoir agir selon sa volonté: une personne libre, c'est une personne

teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison. Pour un individu, le monde tend à devenir défini, fini, évident ; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières sont rejetées avec mépris. Dès que nous commençons à penser conformément à la philosophie, au contraire, nous voyons

des conditions dans lesquelles les individus sont affectés par des situations sociales. La psychologie sociale étudie les relations, les processus de la vie sociale inscris dans des formes organisées de la société (groupes, institutions,...) et les pensés et vécus des individus (Fischer, Gustave) IV. ORIENTATIONS THEORIQUES Une théorie est un ensemble de réflexion autour d'un objet. Quelles sont les théories qui ont influencées la psychologie sociale? Béhaviorisme/ Comportementaliste. Toute

analysée, ni celle du dialogue comme régulation avec autrui. SUJET 2 Peut-on penser sans préjugés ? Attention, un préjugé peut en cacher un autre, par exemple, vos exemples nombreux sur ceux qui ont des préjugés, c’est une réalité mais qui est aussi un préjugé, du genre les personnes âgées souvent pensent que les jeunes etc. Attention à ne pas tout confondre, la pensée ce n’est pas le réflexe, c’est même l’inverse Les préjugés ont été vus surtout sur l’apparence physique ou raciales des personnes, rarement

éradiquer le préjugé qui devient vérité,d'autant plus qu'il est entretenu par l'outil médiatique, qui n'a aucun scrupule à colporter lespires clichés pour faire de l'audience !Ensuite, les spécificités des deux discours, expliquent la force de l'idée préconçue : eneffet le préjugé est par définition facile à assimiler puisqu'il est simpliste. Il s'adresse souventà notre affectif, notre ego, pour mieux les flatter, d'où une acceptation facile de celui-ci: quoide mieux, en effet, que de penser que nos malheurs

qu'augmenter le champ de nos possibilités de réflexion. La certitude est réductrice : elle rend les individus aveugles car elle affirme aux yeux de l'être confiant des vérités totalement discutables, elle l'enferme dans ses préjugés et le rend borné d'esprit, asservi par un idéal prêt à penser, prisonnier de ses erreurs. La fonction de la philo est donc libératrice, il faut cultiver le doute pour l'exploiter afin d'acquérir une liberté , une autonomie intellectuelle et morale Russel définit alors le non

nombreux préjugés. Tous les préjugés découlent du seul fait que : « Les hommes supposent communément que toutes les choses naturelle agissent, comme eux-mêmes, en vue d’une fin. Mieux : il tiennent pour assuré que Dieu lui-même dirige toutes choses en vue d’une certaine fin, affirmant en effet que Dieu créa toutes ces choses en vue de l’homme, et l’homme pour qu’il honorât Dieu ». Spinoza en fait le seul préjugé sur lequel il procède à un examen rationnel pour expliquer tous les préjugés. Exposé

Il est corrélatif d'un certain inconfort psychologique qui conduit toujours à essayer d'en sortir. Cependant le doute n'est pas nécessairement négatif. On sait qu'il peut parfois permettre de corriger ses erreurs ou conduire à se débarrasser d'un préjugé. La question se pose alors de savoir si on peut refuser de douter. Autrement dit est-il possible et a-t-on le droit de renoncer volontairement à toute remise en question? Et si oui quelles sont les raisons qui pourraient légitimer un tel choix? N'y