Pensée Ternaire

point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage : Il pense voir en pleurs dissiper cet orage : Il croit que, toujours faible, et d'un coeur incertain, 20Je parerai d'un bras les coups de l'autre main. Il juge encor de moi par mes bontés passées. Mais plutôt le perfide a bien d'autre pensée. Triomphant dans le temple, il ne s'informe pas Si l'on souhaite ailleurs sa vie ou son trépas. 25Il me laisse, l'ingrat, cet embarras

avons ensuite une métaphore «la lune fondit les nuées» lg 16. Nous remarquons que tout les textes du corpus sont riches en métaphores, comparaisons et personnifications. Dans le second poème, «Les Ponts» d'A. Rimbaud, il y a la présence de rythmes ternaires «des mâts, des signaux, de frêles parapets» lg , qui se trouve être également une énumération, ainsi que des rythmes binaires «s'abaissent et s'amoindrissent» lg 4, ces procédés est un travail minutieux sur le poème. De plus, chaque poème évoque

Cet incipit est un texte narratif extrait du roman Le Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo, le grand chef de l’école du romantisme .Il s’agit d’un monologue intérieur qui révèle les pensées et les intentions du narrateur face à sa condamnation à mort .La focalisation interne contribue à intercaler le lecteur au fond du texte. La première ligne nous inscrit d’emblée dans le thème du texte « condamné à mort », cette phrase avec laquelle le narrateur a commencé, représente

(comparatif de supériorité dont le comparatif est absent : "que le monde entier") -présent de vérité générale, certitude -majuscules : Obéissance... -Obéissance=Famille ; Lutte=Monde ; Révolte=Vautrin -rythme ternaire (1,2,3;1,2,3) - Obéissance = ennui ; révolte = impossible -Sa penSée Sein Sa ... =allitération de "S", souvenir -"reporta" = arrière, souvenir -"pure" "calme", adjectifs positifs de "sérénité" -"en ce conformant aux LOIS naturelles", renvoi à l'Obéissance -"ces" pronom démonstratif

cérémonie d’initiation. Les trois coups sur la pierre brute marquent le début de la vie nouvelle qui s’ouvre à l’apprenti. L’acceptation de la demande d’initiation. Le passage d’un monde profane à un monde sacre. Il donne à l’apprenti le rythme du cycle ternaire. Ces trois coups rappellent les trois coups; coups frappés avant le lever du rideau de la scène du théâtre. On quitte le monde réel pour rentrer dans le monde d’un auteur. Et des acteurs. On accède à une œuvre. Aussi les paroles de jésus rapportées

c'est celle du suicide. Il lui aura fallu affronter l'épreuve de la mort pour rencontrer l'authenticité. Les bourgeois. Être bourgeois constituait aux yeux de Flaubert la plus graves des tares. Son sujet le « dégoutait ». Pour Flaubert « quiconque pense bassement » est bourgeois. Rodolphe, Léon, L’heureux et surtout Homais incarnent la figure du bourgeois. Style et choix narratifs. Flaubert ne cherche pas à tout savoir de ses personnages comme le narrateur omniscient de Balzac. Il ne donne pas non

Description qui suit a une modalisation négative, adjectifs à connotation péjorative : « les formes en sont basses, les roches petites et monotones, la végétation n’y a pas en général cette force, cette profusion qui m’est nécessaire » : rythme lent, ici ternaire, signe d’une lassitude. Besoin d’exprimer, d’appréhender le monde dans son infini mais même la nature semble le borner dans ses projets : cf voc de l’NRJ = « force », « profusion » »,… qui contrastent avec qualificatifs précédents : « basses », «

établissent la ternaire de l’organisation de la vie dans son origine, dont le coup de maillet du Vénérable maître, àl’ouverture des travaux, pourrait être un écho.Dans la pierre brute, matière et esprit semblent indifférenciés, et il faut une impulsion créatrice pour que les éléments s’organisent, pour que l’esprit anime l’oeuvre.Les Trois Coups de maillet portés par l’apprenti constituent cette impulsion en la pierre brute, et la pensée ternaire jaillit comme au premier matin.Le ternaire s’éprouve par

l’autre, où l’on a toujours envie de demander : « Et après, que se passe-t-il ? Peut-on en rester là ? ». Dans tous les cas, que l’on refuse le plan ternaire ou bien qu’on l’adopte, que l’on opte pour une bipartition de la réflexion ou non, on doit garder à l’esprit que le plan éclaire la position du problème au sens où il indique une voie pour la pensée, une solution envisagée, face aux difficultés soulevées par le problème. L’essentiel est donc la lisibilité de la réflexion personnelle, sa logique

secret dans l'existence de Madeleine. II. Les pensées et les sentiments de Duroy Texte en focalisation interne avec un monologue intérieur = point de vue de Duroy qui nous permet de suivre l'évolution des pensées et des sentiments de Duroy. Duroy est venu aider Madeleine dans les dernier jours d'agonie de Forestier. C'était censé être son ami pourtant dés le début du texte il ne s’intéresse plus à Forestier (l.1), il n'y pense plus. Toutes ses pensées vont être entièrement tournées vers Madeleine