Pensées Pascal Injustice

comme un état de bonheur parfait, ou les hommes vivent ignorent, sans langage et ou les hommes vivent seul alors ils pensent que ces hommes n’avaient pas de grandes valeurs morales, pas d’idée de justice parce qu’ils vivent seul. Par ailleurs il pense que les hommes vivent sans travailler et de manière auto suffisant. Cette idée en impose une autre c’est que Rousseau imagine qu’au départ la naturel était luxurieuse et abondante, tout était à disposition. C’est une vie ou les hommes vivaient au

pour origine l’action du monde extérieur, autrement dit des autres sur soi. La manière dont la passion va constituer le moi repose sur le degré de plaisir ou de douleur. Le plaisir, même s’il est personnel, diminue s’il n’est pas partagé. Les « pensées » ou les « sentiments d’autrui », c’est-à-dire la présence ou le regard d’autrui, ou même le fait d’imaginer la réaction d’autrui, permettent de donner vie à une passion. L’excitation suscitée par la vue d’un bon film ou livre est exacerbée par

Ce qui est juste ne doit pas être confondu avec ce qui relève de la justesse, c'est à dire la façon d'acquiescer quand on pense que quelqu'un a raison. Ce qui est juste engendre donc la notion de justice. Est-ce qu'une action juste est une action qui cherche à aller dans le sens du bien commun ou est-ce une action qui est réalisée en dépit d'une autre sachant que celle-ci ne sera pas sanctionnée au contraire d'un autre ? La désobéissance c'est l'indiscipline, l'insoumission, la résistance à un ordre

dans le toxique suppose une conjoncture traumatique qui embraye la « décision ». Intoxication à mort pour supporter l’angoisse de la vie. Son propre monde. Sujet veut de désengager du désir qu’il éprouve cô un gâchis d’idéal, déception familiale, injustice ambiante. L’intoxication constitue une expression des stratégies de jouissance par la désunion des pulsions de vie et de mort. Document 3. La part maudite de l’individu. O.Tinland, professeur de philosophie Document 4. Assistance à personne

transcende l’intelligence ou la raison. Nous ne sommes pas seulement des êtres rationnels nous sommes traversés par quelques chose qui nous rattache à Dieu.Pour Simone Veil la raison doit admettre que ce qui la dépasse est Dieu, comme la si bien dit Blaise Pascal « Nous connaissons qu’il y’a un infini et nous ignorons sa nature comme nous savons qu’il est faux que les nombres soient finis »Il fait donc la une analogie entre l’infini des nombres et dieu ; nous savons que dieu existe (nous ressentons fortement

* Selon Marx, l’histoire suit une logique prédéfinie avec des révolutions successives. Or, ce qu’il prévit n’arriva pas, l’histoire se fait par essais et erreurs et est imprévisible. * Marxisme comme humanisme : Marx voulait dénoncer les injustices d’exploitation du capitalisme et les conflits de classe sociale dans le monde. Il était pour l’égalité de tous. Il a amélioré le sort des travailleurs, en définissant le travail comme une création et une participation communautaire servant à tous

arbitraire, favorable à une minorité, sentiment de déséquilibre. Faire régner prend alors un autre sens : celui de faire voir le règne de la justice et d'y faire croire. Que doit-être le politique pour ainsi faire regarder son ordre comme juste ? (Pascal, Pensée 60) "Il faut la faire regarder comme authentique et éternelle". N'est-ce pas le rôle de tout homme politique de savoir se faire apprécier comme un bon chef et instaurateur d'un ordre juste ? L'apparence aurait du bon en politique : forme de sagesse

chercher la vérité ? | «  Tous les hommes désirent naturellement savoir » Vouloir, c’est appliquer sa volonté, son énergie à obtenir quelque chose. La vérité, c’est le caractère de ce qui est vrai ; adéquation entre la réalité et l’homme qui la pense. La vérité est une notion très complexe : philosophie, science et religion la recherchent. Elle peut être définie comme une adéquation de la connaissance et du réel. Chercher la vérité, c'est chercher du sens. Chaque homme est en quête la vérité

les opinions connues, l'opinion publique, comme il l'appelle encore. Le premier paragraphe contient deux idées. La première est que l'opinion publique n'est l'opinion de personne. C'est une pensée anonyme sans sujet. Aussi, ALAIN la nommera t-il un "être fantastique", au second paragraphe. Voilà en effet une pensée qui existe, mais que nul ne "forme". Aucun individu n'en est l'auteur; pas davantage un groupe d'individus. La seconde idée vise à expliquer cet état de choses. Personne n'ose émettre une

antiphrasequi consiste à dire le contraire de ce que l on pense (procédé le plus fréquent). Ex : Figaro, qui vient de se faire injurier par le comte, lui répond : « Voilà les bontés familières dont vous m avez toujours honoré». (Beaumarchais, Le Barbier de Séville). ! L incohérence qui présente comme sérieux un raisonnement manifestement absurde ou contradictoire. ! L alliance de mots: l un des 2 termes est ironique, tandis que l autre révèle la véritable pensée de l auteur. Ex : Voltaire parle de « boucherie