Pensées Pascal Injustice

Sujet : « la justice est une illusion » Bernard Werber Analyser et commentez cette citation à l’aune de votre lecture des œuvres d’Eschyle et de Pascal au programme. Analyse de la citation : - Déclaration empreinte de pessimisme : la justice authentique relève de l’utopie. - Définition laconique, concentrant une vision particulière de la notion de justice perçue comme une chimère, protéiforme

La hiérarchie selon Pascal 2. Une société basée sur les apparences 3. D’autres analyses de la société CONCLUSION PARTIELLE : L’analyse de l’Homme chez Pascal est celle de l’Homme en société. Il démontre que l’Homme est trompé et que toute la structure sociale est basée sur ce mensonge et que la société est illégitime. II. Une société basée sur le mensonge 1. Interférence dans l’appréciation de la réalité 2. Tyrannie Selon Pascal, la justice de l’époque

Les Pensées de Blaise Pascal sont celles d’un fervent chrétien janséniste, convaincu que la misère et la vanité de l’homme peuvent être rachetées grâce à son engagement dans la foi. Aussi son argumentation consiste à démontrer toute la bassesse de l’être humain, quoique supérieur à l’animal par sa raison; et ce point par point, avant de le convaincre et le persuader que la religion est le remède à tous ses maux. Sont montrés du doigt alors divers fléaux de l’homme, dont son incapacité à bien juger

de servante « Ma vie est celle d'une esclave et ... ». Ainsi parle Electre dans le 1er épisode des Choéphores. Clytemnestre a aussi réservé une terrible injustice à Agammemnon, lui donnant une mot indigne de son rang. Donc la justice à intérêt à se méfier des liens d'affections entre les juges et les justiciables. Pascal le constate dans la pensée 82 « Il n'est pas permi d'être juge en sa cause, j'en sais qui, pour ne pas tomber dans cet amour propre ont été les plus injustes du monde à contre-biais »

l'imagination dans les pensees de Pascal. De faible sante et Janseniste convaincu, Blaise Pascal, scientifique de renom et philosophe francais du 17e siecle, se preocupa de la misere de l'homme et entreprit la redaction d'une "apologie de la religion chretienne", destinee entre autres aux libertins de son epoque. Decede avant la fin de son ouvrage, ses manuscrits furent trouves par sa famille, puis remanies et publies de nombreuses fois, avant de finalement etre publies sous le titre "Pensees", edition de

facilement"),Pascal observe la différence entre l'instinct des animaux et la raison de l'homme. Distinguer l'instinct de la raison ne va pas de soi, tant et si bien que certains s'emploient à les identifier, à les « mettre en parallèle ». Pour Pascal, on ne peut pas faire de la raison un simple instrument au service de nos besoins, à l'instar de l'instinct. L'instinct est rivé aux besoins et aux nécessités imposées par la nature ; la raison s'en détache. Extrait du document: Pour Pascal, la raison

positif . Comme ces règles varient d'un État à l'autre, n'y a-t-il nulle justice qui soit la même pour tous les hommes ? C'est bien la position de Pascal : les lois n'ont pas à être justes, elles doivent surtout garantir la paix sociale, car « Il vaut mieux une injustice qu'un désordre » (Goethe) . • Mais ce n'est pas la position de Rousseau, ni de la pensée des « droits de l'homme » : les lois peuvent être injustes, et cautionner des inégalités de droits. Un droit positif juste sera alors un droit

vengeance à travers une évolution qui prend l'allure d'une humanisation édifiante. Afin d'élucider cette question, nous prendrons appui sur Les Choéphores et les Euménides, les deux dernières pièces de la trilogie d'Eschyle(458 av.J.C), sur Les Pensées de Blaise Pascal(1670)et sur les Raisins de la colère de John Steinbeck(1939).Nous analyserons initialement l'idée que le souci de justice naît du sentiment d'injustice avant de nous appesantir sur l'idée que la rage vindicative cède la place à une justice

688-323 Qu'est-ce- que le moi? Un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants; si je passe par là, puis-je dire qu'il s'est mis là pour me voir? Non; car il ne pense pas à moi en particulier; mais celui qui - 3 - aime quelqu'un à cause de sa beauté, l'aime-t-il? Non : car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu'il ne l'aimera plus. Et si on m'aime pour mon jugement, pour ma mémoire, m'aime-t-on? moi? Non, car je puis perdre ces qualités sans me perdre moi-même

la même liberté et les mêmes droits et devoirs. C’est en cela que le pouvoir semble injuste quel que soit le contexte car une personne possède plus de libertés et de droits que l’autre qui elle a plus de devoirs envers l’autre personne. Et cette injustice se retrouve dans toutes les formes de pouvoir que ce soit dans la relation enfant/parent, employeur/employé ou encore entre l’Etat et ses citoyens. D’ailleurs en ce qui concerne l’Etat Marx considérait que son pouvoir était détenu par une classe