Perception de l'espace

ch 2 : La démonstration scientifique I/ Sortir de l’illusion de la perception spontanée : la connaissance scientifique A/ L’attitude scientifique n’est pas naturelle. 1°/ L’illusion de l’anthropomorphisme : le schéma historique de Comte 2°/ Bachelard : psychanalyse de la connaissance ou la nécessaire désillusion 1°/ Bachelard : la perception spontanée est un obstacle épistémologique 2°/ La connaissance scientifique exige une triple conversion 1°/ Rôle des instruments de mesure

débutera par la définition de l’espace urbain d’aujourd’hui, se développera autour du rôle de la scénographie urbaine et ses enjeux à travers différentes démarches, et se finalisera par la recherche de nouveaux usages et de nouveaux lieux urbains. Valérie de La Chapelle Mastère Création en nouveaux médias 2004–2005 ENSCI / Les Ateliers Quelles scénographies architecturales et urbaines pour la ville d’aujourd’hui ? 1 sommaire Préambule p 4 La définition de l’espace urbain d’aujourd’hui.

Pourquoi les salles d’opération sont elles vertes ? Quels tours l’œil peut il nous jouer ? Dans une première partie nous verrons quels tours l’œil peut nous jouer, puis nous étudierons la manière dont est construit l’œil et enfin nous évoquerons la perception de la lumière et des couleurs. I) Les tours que l’œil peut nous jouer. 1) Illusions d’optiques Une illusion d’optique est un phénomène qui induit en erreur notre système visuel et nous fait voir une vision transformé de la réalité. Ces

religieux, l'espace n'est pas homogène ; il présente des ruptures, des cassures : il y a des portions d'espace qualitativement différentes des autres. Il y a donc un espace sacré, et par conséquent « fort », significatif, et il y a d'autres espaces, non-consacré : on parle d’espace profane. Plus encore, pour l'homme religieux, cette non-homogénéité spatiale se traduit par l'expérience d'une opposition entre l'espace sacré, le seul qui soit réel, qui existe réellement, et tout le reste, l’espace profane

entité complexe qui peut être considérée comme un espace à la fois perçu et vécu par le citadin, nous nous sommes interrogés sur les mécanismes qui président à la production et à la dynamique de son système urbain. A cet égard, nous aborderons l’espace urbain de la ville de rabat comme paradigme. Dans la grande diversité de ses tissus, de ses tracés, de ses réseaux et de ses repères. On va l’examiner en tant que lieu et en tant que stratification de multiples formes et sédimentation taxonomique(science

qu'il ne s'intéresse pas à la question de Dieu. Certains bouddhistes croient en un ou plusieurs dieux, d'autres n'y croient pas ; et en fait, ça n'a pas d'importance. La conception du monde qu'a le Bouddha ressemble beaucoup à une prison. Dans l'espace dont on ne peut dire s'il est fini ou infini, sont dispersés d'innombrables univers tous formés sur le même modèle. En bas, il y a le monde du désir où tous les êtres qui y vivent sont soumis à l'attraction mutuelle des sexes. Il y a aussi des

Conclusion..…………………………………………………...…………..7   Introduction Edward Twitchell Hall, anthropologue américain né en 1914, est reconnu pour être parmi les spécialistes de l'interculturel. Il s’est spécialement appuyé sur la perception culturelle de l’espace. Il a effectué plusieurs études, fondées sur sa propre expérience, et celles effectuées par d’autres personnes, en les comparants et en essayant d’en tirer des conclusions et des vérités. Il a ainsi acquis un savoir précieux sur les

paradis Le désir d’infini lié à l’orient peut être rapproché de l’idée d’un retour au jardin d’Eden : • orientale/natale riment v.23-26. Baudelaire considère l’orient comme un retour aux sources de la civilisation • ce voyage hors du temps et de l’espace semble retracer le parcours de tout homme : vivre, aimer, mourir (les infinitifs mode intemporel) • mon enfant, ma sœur fait peut-être aussi référence au « vert paradis des amours enfantines » d’un autre poème des Fleurs du Mal, « Moesta et errabunda

conquis les déserts les plus arides et il a même conquis le ciel. L'homme cherche à habiter et à maitriser l'espace qui l'entoure. Ceci fort probablement par peur de l'inconnue pour peut-par simple curiosité, mais il n'est est pas moins qu'il a réussit à conquérir toute l'espace qui formait sont habitat. Lorsqu'on parle de distance les premiers mots qui nous viennent à l'esprit sont, l'espace, les routes, des ports, des aéroports. On dénombre dans ces mots plusieurs qui sont des moyens pour facilité

oeuvres bouleversent le processus de la perception artistique. Selon ce principe, Cézanne n'aurait pas dû peindre ses "pommes", mais les présenter elles-mêmes, de manière à ce que l'on éprouve face à elles ce qu'il éprouvait, lui, en les peignant. On le constate ainsi, le réel préconisé par l'art minimal ne vise qu'à s'offrir irréductible; il n'appelle plus à la rêverie mais suscite plutôt une réaction touchant à l'expérience de sa perception. L'espace de l'oeuvre y joue d'ailleurs un grand