Perception des visages

même plan ? Y a-t-il un ou plusieurs point(s) de fuite ? Organisent-ils une ou plusieurs perspectives ? La mise en espace Par où et comment rentre-t-on dans l'oeuvre ? (regards...) Quel mouvement l'oeuvre induit-elle chez le spectateur ? (tour, perception globale...) Quels sens sont sollicités (odorat, son, éblouissement...) ? La composition Les sensations ressenties selon la composition : Saturation : étouffement, oppression Symétrie : rigueur, équilibre Spirale, oblique : mouvement, dynamisme…

autre angle. Comme dans le tableau de Jean Honoré Fragonard, ou on peut voir en bas à gauche un homme regardant sous la jupe de la jeune femme qui se trouve sur la balançoire. II) Libertinage et les Lumières Qu3) a. b. Le libertinage a un visage léger et un visage plus grave de réflexion politique et sociale tout comme les révolutionnaires car ils remettent en question un ordre établi (politique, moral et religieux). Qu4) Il en ressort une image du libertin maléfique, les deux personnages sont

poisson » ; « Pouvoir » ; « Au bal tabarin » ; « Femme portative » ; « La couture » : on ne voit pas les yeux (soit cachés par des cheveux : La femme et son poisson, Burlesque ; soit pas représentés du tout : Femme portative, Au bal tabarin – le haut du visage n’est même pas représenté dans Pouvoir), comme si le regard de la femme violée ou « objectifiée » ne devait pas être vu. Les yeux fermés ou inexpressifs sont révélateurs d’une des « thèses » surréalistes : le regard doit être plus intérieur qu’extérieur

l'impression que la mer et le ciel se confondent avec la chaleur alors qu'auparavant, avant de déjeuner, la mer le rafraîchissait. Le personnage perd le sens de la vue : on a deux fois le verbe « devinait », ce qui montre que Meursault perd la perception de l'espace. De plus, on a l'impression que le temps est suspendu, or, lorsque l'on parle de fin du monde, le temps est bloqué : on a tout d'abord des expressions qui marquent un ralentissement du temps : « même soleil », « plus paresseux plus étal

qui me permet d'organiser mes perceptions entre elles, de leur donner une certaine cohérence et une certaine crédibilité. Autrui est une certaine manière d'organiser mon champ perceptif, de le structurer et de lui donner une objectivité. Sans autrui, le monde perd toute objectivité. Autrui est la réalité du possible Mais autrui me découvre aussi ce que peut être le monde. Son visage effrayé me permet de me rendre compte que le monde peut aussi être effrayant. Le visage d'autrui rend réelles des possibilités

finir, j’expliquerais mon ressenti face à cette situation à ce moment là. Description : Ayant un caractère respectueux, réfléchi, humain et réaliste, avec une remise en question permanente. Dans ma perception de la vie il me semble que chaque être doit avoir une chance de vivre ou survivre, par ses valeurs et ses faiblesses. Une étape à franchir dans le cadre de ma formation où je me suis retrouvée. L’hôpital dans le service de neurochirurgie pédiatrie

hommes mal rasés, mal coiffé de plus ces photographies ont été prises avant leurs exécutions (quelle que minute avant en peut même dire car on peut voir derrière eux le mur d’exécution).On peut aussi apercevoir que leur visage est ferme et une grande partie d’entre eux ont le visage dans l’ombre. 3) Les images : Ont peu voir en bas 6 images mais sur les 6 une seul est droite sur les autres ont peu voir des train qui ont dérailler(donc des sabotages)ont peu aussi voir un cadavre sur l’une des photo

imite le coloriage des enfants. Dans l’Autoportrait avec le bouteille de vin (1906) (il.2), son état d’ébriété se lit dans la tache rouge qui forme une auréole autour de sa tête. Il semble mélancolique et dépressif. En 1911, la couleur explose sur son visage dans l’Autoportrait avec la main sur le menton. Il utilise du blanc, du jaune, du rose et du bleu. L’effet est que Munch rayonne. On en déduit que Munch est guéri de sa dépression et voit son avenir avec confiance. Ses autoportraits restituent à la

sourcils a coulé d’un coup sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux était aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel ». * La luminosité, ici, loin de rendre claire la perception, est source de confusion : « Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire ». * De même, le couteau de l’Arabe se métamorphose : « Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux ».   2/ Les symptômes du malaise * C’est  l’ensemble

comme un séducteur débauché au service de cousin le duc Alexandre. notamment à travers l'image d'un Lorenzo s'évanouissant à la vue d'une épée, humilié par le duc et ses conseillers. Ce portrait était toutefois ambigue et laissait entrevoir un double visage de Lorenzo. C'est notamment à travers les doutes du Cardinal Cibo que le lecteur pouvait ressentir cela. • L'acte II permet de révéler peu à peu la lutte de Lorenzo. Loin des intrigues du palais ducal, Lorenzo se dévoile partiellement et apparaît