Perdre Conscience

tous humains et nous avons remarqué dans nos propres expériences que nous faisons chacun des erreurs. Seuls les humains semblent pouvoir se tromper puisque l’erreur dépend de la conscience réfléchie et de la conscience de soi. Nous verrons les différentes définitions du mot erreur, la dépendance de l’erreur à la conscience et si l’erreur est évitable. I) Différentes définition du mot erreur L’erreur vient du mot latin errare, « errer » qui définit une affirmation fausse, c'est-à-dire en contradiction

accepter qu’il lui faut du temps pour acquérir des connaissances qu’il n’a pas encore pour réaliser des projets et des désirs. * Faire le deuil des parents idéaux et tout-puissants de l’enfance : la mère toute bonne, le père invinsible,…. * Perdre lui-même le statut d’enfant idéal et prometteur de ses parents. Il doit trouver sa place et sa personnalité originale et autonome. Pour ca, il va devoir reprendre les interdits, la loi que ces parents incarnaient. En conclusion 2 phases importantes :

faux pour mieux faire face au vrai. A travers ses œuvres, il nous touche, nous rend actifs, nous incite à réfléchir et nous invite à réagir. La littérature nous fait prendre conscience de divers points qui au premier abord peuvent nous étonner, car elle nous dévoile des vérités auxquelles nous n’avions pas pensé auparavant. C’est d’abord de façon négative que l’on va encaisser ces vérités car certaines sont effectivement désagréables

souligne ce philosophe, les hommes qui ne possèdent pas la sagesse, qui ne sont pas en ‘’éveil’’ ne peuvent accéder à cette connaissance des contraires, car, pour eux, tout est figé dans l’immobilité. Si bien que, finalement, les hommes n’ont pas conscience de la fluctuation qu’Héraclite tient pour la réalité profonde de toutes choses, même des choses, comme un fleuve, qui est en apparence stable mais qui n’est jamais le même car il est en perpétuelle changement, permettant de se maintenir en tant

cimetière du pays, ce qui le soir, donnait une atmosphère sombre et inquiétante. Ce soir là, nous nous préparions à manger quand un sujet nous fit nous quereller: nous n’étions pas d’accord sur le fait d’héberger Pascal, un de nos amis, qui venait de perdre tous ses biens. Il était pour moi absolument hors de question que cet homme dorme sous le même toit que Maria étant donné son amour fou pour elle. De nature nerveuse, j'ai vite commencer à faire de grands gestes et à hausser le ton. Nous étions

pénible et mentalement difficile car chaque personne que je croisais me parlait de cette histoire, chacune me disant qu’il voulait me frapper et à la fin de la journée on aurait pu penser que c’était une véritable guerre qui se préparait. Ayant conscience de la vie au lycée, je savais très bien que les choses et les dires avaient étaient déformés, mais je voulais tout de même m’en assurer et régler cette histoire qui me paraissait anodine, le plus rapidement. En le voyant, ce dimanche 7 novembre

Dans un film récent, le personnage principal est tombé éperdument amoureux d’une jolie jeune fille qui se trouve être la future fiancée de son meilleur ami. Il est confronté à un choix délicat entre son attirance pour cette belle demoiselle et sa conscience qui lui dicte agir en tant qu’ami et de peser le pour et le contre. Il se met à penser longuement, mais au final, avec les plus grands regrets, il renonce à la fille pour l’amitié et le bonheur de son ami. Comme le dit si bien Stendhal qui est

représentations. Il a une | | |permanence dans le temps. Le langage permet de constituer son "Je". Le rapport à autrui permet de | | |constituer son identité. La conscience permet de connaitre "Je". La connaissance de "Je" est le | | |contraire de la connaissance extérieure. « Je » est un synonyme de soi-même. L’ « autrui» c’est |

fourni les renseignements et les moyens pour se donner la mort. Cette personne désirant mourir est malade ou handicapée, c’est-à-dire que, soit elle sait que sa situation est incurable et préfère se donner la mort avant que sa maladie ne lui fasse perdre la raison, soit elle n’a plus pleine possession de ses moyens physiques ce qui lui rend la vie insupportable et dénuée de sens. L’euthanasie pratiquée sera alors forcément une euthanasie active où la mort est donnée à l’aide d’un poison. On remarque

ses actions l’homme va se construire une image, image qu’il va renvoyer à autrui. A ce moment l’on peut dire que nos actes son le reflet de notre conscience. De fait l’homme a conscience de chacune de ses actions. La conscience est pour l’empiriste Locke un facteur majeur de l’identité personnelle. Par déduction les actes seraient un moyen de la conscience, de notre caractère de s’exprimer. Ceci expliquerait l’existence d’un langage corporel. Certaine de nos émotions transparaissent par notre corps