Perdre Conscience

spéculez pas sur l'avenir. Vivez pleinement le présent » Bouddha « Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore votre rêve. » Antoine de Saint-Exupéry « On ne peut découvrir de nouvelles contrées, sans consentir à perdre le rivage de vue pendant très longtemps. » André Gide « Ne te venge pas. Assieds toi au bord de la rivière et tu verras le cadavre de ton ennemi passer. » Lao Tseu « Pour juger quelqu'un, il faut le comprendre. Et lorsque vous l'avez

interviendrai dans la décision de ses choix. Alors l’homme ne serai donc pas capable de penser de façon autonome. C’est la où nous nous devons d’éclairer le problème. En quoi l’homme serait un sujet totalement conscient de ces actes? L’homme peut il perdre toute capacité de penser par lui même? Mais, peut il façonner sa pensée ? Tout d’abord, il est essentiel d’expliquer qu’un sujet est conscient capable de vivre, de penser de façon autonome. Mais, penser de façon autonome n'empêche pas que notre

fonctions linguistiques dominantes, organisation matérielle, rôle des uns et des autres, nature du contrat de communication * Les situations à objectifs essentiellement langagiers Risquent de se couper de la réalité de la communication et de perdre leur sens pour de jeunes enfants. Il faut pour pallier cette difficulté, faire des jeux de langage  jeux à partir de poèmes, jeu du téléphone… 2/ Compétence linguistique et compétence de communication La compétence langagière est à la fois

de notre vie nous vivons avec nous-même et cela est indissociable. Je suis le seul à savoir ce que je ressens, ce que je pense, ce dont je rêve, quel est mon passé dans les moindres détails et ce que j’en ai appris. J’ai un rapport direct avec ma conscience. Mais cela qui ne veut pas dire que nous nous connaissons totalement. Car pour être en symbiose avec soi-même il faudrait avant tout procéder à une mise à distance avec soi pour prendre du recul sur ce que l’on est. Cela nous permettrait ainsi

> productivité, exploitation de l’autre Les complaisances = > se satisfaire d’une situation qu’il est inutile de changer, paresse Qui t’ont fait courir = > empressement, précipitation Aux quatre coins de la ville. = > s’éparpiller, se perdre Ajoute = > calcul, addition Les maladies = > passions de l’âme Dont nous sommes responsables ; = > manque d’attention Ajoute encore = > addition Le temps passé à ne rien faire = > paresse Tu verras que tu as bien moins d’années

réduit pas à des données physiques, c’est une surface sémique qui exprime notre existence, nos sentiments. Le regard d’autrui, permet d’avoir conscience de soi, il fait de moi un sujet humain. L’expérience de la honte. Sartre dit « autrui, c’est l’autre », celui qui n’est pas moi, et que je ne suis pas, mais partageant des points communs, comme la conscience, la liberté, l’autonomie de penser et dans la prise de décision. « L’enfer c’est les autres », dit Sartre. Le pouvoir du regard d’autrui exprime

recherche de la liberté, de ma liberté. J’attends de cette connaissance de soi, que j’agisse au lieu d’être agi par des causes que j’ignore. Resterait à savoir si la prise de conscience et la connaissance de ce que je suis suffit à vraiment me libérer (voir ici la problématisation de ce sujet annexe Toute prise de conscience est-elle libératrice ?). Il y a bien entendu d’autres pistes possibles pour répondre à la question posée. On pourrait dire que la raison de cette recherche de la connaissance

elle regarda un peu partout et me fit un sourire pour ne pas être mal poli je lui fis un aussi. Tout un violent mal de tête me pris,ma soif de sang revenue, la seul chose que j'entendais était ma conscience qui me disait « soif, j'ai soif,j'ai besoin de sang » le désir de sang continué a me faire perdre la raison tout devenais flou, mon instinct me disais de mordre ce beau cou drapée d'une mèche blonde presque dorée. Elle monta à l'étage et se dirigea vers ma chambre, elle inspecta la chambre

connaît donc justement que cette substance, mais le reste n’est pas précis. En effet, on ne peut toujours prévoir une réaction face à un évènement. Par exemple, on peut croire que l’on est courageux, mais lorsque l’on se retrouve en situation de danger, perdre tout sang-froid. Et qui n’a jamais dit ou entendu « [telle personne] me connaît mieux que je ne me connais moi-même »? Il est aussi nécessaire d’ici parler de Freud. C’est en effet le premier à parler d’un inconscient, d’une part de nous-même que

il n’a pas accès, possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres, et de nature à nous faire agir. Quant à la liberté, elle s’entend comme un libre arbitre, elle suppose que nous puissions choisir. Or, choisir c’est décidé en conscience : nous optons volontairement pour telle action parce que nous la considérons comme celle qui doit être effectuée. Autrement dit, soutenir l’idée d’inconscient semble donc bien entrer en contradiction avec le fait d’exercer une liberté pleine. Si