Perec Disparition

Pierre Michon, Vies minuscules. Italo Calvino, Le Vicomte pourfendu. Daniel Boulanger, ? Georges Perec, Les Choses. Marguerite Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein. Franz Kafka, Le Verdict. Apollinaire, Le Roi lune. Lectures cursives :

improbable, veut éviter que son beau-frère, M. Hulot, personnage rêveur et bohème, n'influence son fils. Il réalise également Playtime, une charge grinçante contre la ville moderne, déshumanisée et vulgaire. Ainsi, en écho à la chanson de Vian, Georges Pérec décrit dans son roman Les choses, l'insatisfaction d'un jeune couple qui cherche à dépasser ses problèmes en se réfugiant dans une consommation effrénée. Il écrit ainsi : « De station en station, antiquaires, libraires, marchands de disques, cartes

Les choses est le premier roman de Georges Perec, mais il lui a fallu plusieurs version afin de se décider et de se rapprocher de celle qu’on connait le plus aujourd’hui. Au final cette version est une analyse sociologue est économique assez poussée des comportements humains vis-à-vis de la consommation. En effet il raconte l’histoire d’un couple assez jeune, d’environ vingt ans, faisant au départ des études de sociologie. Mais le couple va rapidement laisser tomber les études pour devenir des interviewers

ce que l'écriture pourrait charrier de l'inconscient. Les jeux, la fantaisie, l'érudition sont d'une certaine manière une défense contre les interprétateurs. L’OuLiPo accueillit en particulier Jacques Roubaud, Jacques Jouet, Harry Matthews, Georges Perec et Italo Calvino. Ce ne fut pas un simple «club littéraire» de plus, mais un lieu de création véritable. Ses membres actuels continuent à œuvrer dans le même sens. Raymond Queneau publia un ouvrage qu’on peut considérer comme partiellement à I’origine

Georges Perec est un écrivain qui a marqué la littérature française du Xxe Siècle par ses écris . Le texte que nous allons étudier est issu de son premier roman , Les choses , qui a reçu le prix Renaudot en 1965 . Les choses nous raconte l'histoire d'un couple parisien , Sylvie et Jérome , de leur obsession pour l'argent et les biens de consommation. C'est en quelque sorte une démonstration du consumérisme des années 60 , idéologie où la consommation de biens et services dispose d'une place capitale

scientifique. • Ce n'est pas de la littérature aléatoire. Le principe de l'Oulipo est d'écrire sous « contraintes » (par exemple, commencer tous les mots d'une phrase par des A). Cette association comprend des écrivains comme Italo Calvino, Georges Perec ou des personnalités autres, comme des mathématiciens. Pour stimuler l'imagination, l'Oulipo se fixe des objectifs : • rechercher dans les œuvres du passé des nouveaux moyens d'écriture : un travail analytique (anoulipisme) • imaginer et expérimenter

l’auteur s’adresse directement à nous. C'est un livre composé des premiers chapitres de livres. Après chaque premier chapitre, on recherche le livre avant du retomber sur un premier chapitre ect. Georges Perec W ou le souvenir d'enfance Un chapitre sur deux, on raconte l'histoire de Georges Perec, qui était orphelin. Son père est parti à la guerre et sa mère a été emportée dans un camp de concentration. Il a donc vécu avec sa tante. Dans les chapitres où on raconte son histoire, il y a deux partie :

sentiment de frustration car il y a des besoins que tout le mondes ne peut pas combler par manque de besoin ou autre raisons. Le rêve peut paraître agréable mais face à la réalité il peut être également douloureux. Le roman, les choses, de Georges PEREC le démontre en donnant pour exemple un couple qui vit dans un petit appartement et ils refusent de faire des travaux afin de l'améliorer car ils croient au miracle et cet espoirs les fait souffrir car à cause de leurs rêves rien n'est jamais assez

LES CHOSES de Georges Perec, Les choses est publié en 1965. « Jérôme et Sylvie sont un couple de classe moyenne vivant à Paris. Ils sont tous deux psychosociologues, c'est-à-dire qu'ils sont chargés de mener des enquêtes sur des produits auprès de la population. Ils ne s'intéressent pas à leur métier et rêvent d'une vie grandiose, pleine de richesse et de belles choses. Mais leurs salaires ne leur permettent pas de faire des folies et dès qu'ils ont le moindre argent, ils le dépensent en achat

FONTAINE dans une de ses fables La Laitière et le pot au lait écrite en 1668 en mettant en scène une fille qui en allant vendre son lait rêve de pourvoir s’acheter des poulets puis des porcs … toujours plus. Enfin, c’est aussi ce que pense Georges Perec dans son roman Les Choses de 1965, Editions Julliard en citant des lieux évoquant le rêve que deux personnes ont apparemment visité mais en n’ayant jamais assez ils continuent en voulant toujours plus découvrir le monde sans jamais s’arrêter.