Perruque

souvent fait qu'un sot, Croit qu'un livre fait tout, et que, sans Aristote, La raison ne voit goutte, et le bon sens radote. D'autre part un galant, de qui tout le métier Est de courir le jour de quartier en quartier, Et d'aller, à l'abri d'une perruque blonde, De ses froides douceurs fatiguer le beau monde, Condamne la science, et, blâmant tout écrit, Croit qu'en lui l'ignorance est un titre d'esprit : Que c'est des gens de cour le plus beau privilège, Et renvoie un savant dans le fond d'un

-à travers les habitants et leur façon de vivre (simple juxtaposition) -contraste vieillards = jeunes gens -apparence vestimentaire homme/femme (perruque) -organisation de la structure du peuple hiérarchie: dieu, roi, grands - description insiste sur certains rituels déformés par le regard étranger

Personnes ne fait attention à ces personnes. Près d’eux, En bas, à droite et à gauche, deux chiens sont dans la rue. Donc les anciens combattans sont amoindris, mis au même niveau que les chiens. A l’arrière-plan des vitrines contiennent des perruques, des corsets et des prothèses. 2) Couleurs Les couleurs sont vives, au premiers plan il y a la veste bleu du personnage, robe rose d'une dame, et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) Ce que j'en pense: Je trouve

moules et renforce le moulage avec de la fibre de verre. Puis il soude les différentes parties. Une fois assemblées, les sculptures sont peintes selon une technique très méticuleuse dont il a le secret pour donner l’illusion du réel. Il ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires comme pour une poupée et son œuvre naît. Supermarket Lady est une sculpture représentant une ménagère dont les détails ne mettent pas le modèle à son avantage. Elle est bien épaisse, cigarette à la bouche, bigoudis

théâtre. Au premier rang , échauffés par de longues discutions préliminaires , les représentants du nouveau genre ,les « jeunes France », parmi eux Gérard de Nerval et Théophile Gauthier revêtu de son gilet rouge flamboyant défiaient les « perruques » des tribunes qui feignaient l‘ennui et affichaient une attitude méprisante. La tension était à son comble . Le rideau se leva et dona Josépha Duarte prononça les premières paroles: « Serait ce déjà lui? C est bien a l’escalier dérobé »

collant sur la croupe et serré à la taille par une écharpe de cachemire, avait, tout le long de la couture, des petits camélias blancs naturels. Sa mine pâle, un peu bouffie et à nez retroussé, semblait plus insolente encore par l'ébouriffure de sa perruque où tenait un chapeau d'homme, en feutre gris, plié d'un coup de poing sur l'oreille droite ; et, dans les bonds qu'elle faisait, ses escarpins à boucles de diamants atteignaient presque au nez de son voisin, un grand Baron moyen âge tout empêtré

❖ Le premier visage humain : Le visage est triangulaire et équilibré. Elégance, finesse des traits. Le front, le nez et les sourcils sont représentés en relief. La bouche est absente. Sur la tête, un quadrillage a été interprété comme une perruque, une capuche ou plus simplement une chevelure (tresses). ❖ A l’origine, il s’agissait sûrement d’une statuette entière, appelée « Vénus ». Les Vénus paléolithiques sont des statuettes préhistoriques, représentant des femmes. On les appelle

Description Mme VAUQUER, plan Trait de caractères : On découvre en elle l'hypocrisie : « l'oil vitreux » -Coquetterie et vanité : Vauquer a des faux cheveux (l.5-6). Elle est « attifée » (l.5). Elle n'a pas eu le temps de bien placer sa perruque. -Laisser – aller Elle marche en traînassant ses pantoufles -Embonpoint du personnage « les mains potelées », « sa personne dodue » « son corsage trop plein » = Balzac veut nous montrer que Vauquer s'engraisse sur ces pensionnaires

ajusté et plus élégant. Au XVII siècle, où l’on fait un effort d’authenticité, le comédien est habillé à la mode du jour, puis à la fin du siècle apparaît le costume de scène en tant que tel : Andromaque est habillée d’une robe à panier avec des perruques imposantes. Au début du XIXème siècle, on commence à adapter la vérité historique du personnage. Talma déclare que le théâtre doit offrir à la jeunesse en quelque sorte un cours d’histoire vivante. Ses théories sont reprises en Angleterre

commerçante de la ville de Dresde où à longtemps vécu Otto Dix. Au premier plan il y a des personnages qui marchent sur le trottoir. A l’arrière-plan on remarque deux boutiques dont une qui vends des prothèses, corsets… Et l’autre boutique qui vend des perruques. Les personnages : Au centre du tableau on peut voir un mendiant affreusement mutilé assis sur le trottoir. Il a des prothèses aux bras, aux jambes. Ses vêtements sont tout abimés. Sa tête est déformée, ce qui rappelle les « gueules cassées »