Perruque

Prague. La rue de Prague est une grande rue commerçante de Dresde en Allemagne où a longtemps vécu Otto Dix. Au premier plan on peut y voir des personnages sur un trottoir, à l'arrière plan, des vitrines. Un magasin vend des prothèses, l'autre des perruques. Les personnages :  Un ancien combattant mutilé, aux vêtements pauvres et au regard vide qui mendie. A gauche du tableau, une main fait l’aumône d'un timbre à l'ancien combattant. Un autre mutilé, bien vêtu passe devant lui, le buste bien droit

d’exprimer des angoisses et une révolte face a la situation sociale et économique difficile Description. La scène se déroule dans la rue commerçante de dresde, il y a un mannequin en haut a droite et une marionnette de bois. Il y a une boutique a perruques et une boutique de prothèses. On voit une fillette qui dessine a la craie, un panneau avec écrit « dehors les Juifs ».Il y a une chaussure et un chat, et un chien. La fillette porte une robe bleu, elle est blonde, ses jambes sont désarticulées.

Pour éviter de tomber, beaucoup s'aident d'une canne qui leur sert d'appui. Mais peut importe la démarche du moment que le talon les propulses au sommet. On dit que Louis XIV, réputé petit, aimait se grandir avec des talons hauts qui, combinés à sa perruque, lui donnaient 30cm de plus. Louis XIV eut même l'idée de porter des talons rouges, comme on le faisait déjà en Angleterre, et les courtisans l'imitèrent. Le talon rouge devint un signe distinctif de la noblesse. On ornait le dessus du soulier de

le moulage du corps d'un modèle avec des bandes de plâtre. L'artiste a ensuite coulé dans le moule du polyester mélangé avec de la fibre de verre pour renforcer les moulages qu'il a soudé entre eux. Après il a peint sa sculpture, lui a ajouté une perruque, des vêtements et des accessoires. Cette sculpture représente une ménagère en bigoudis, en train de faire ses courses. Aux États-Unis, un tel personnage n'est pas si caricatural; il fait partie du quotidien, d'où son caractère « réaliste » dans

l’atmosphère des zones d'activité sismique. L'Ultimate Fighting Championship, une compétition de mixed martial arts, a vu s'affronter un sumotori de 273 kg et un karatéka de 91 kg. Sexy Sushi (photo) est un groupe français d'electroclash portant perruques et verres fumés. Archives • Modifier Image du jour Saint Côme et saint Damien, miniature extraite des Grandes Heures d'Anne de Bretagne, (fo 355, XVIe siècle). (définition réelle 3 077 × 4 710)

fait attention à eux. A côté d’eux, un chien et un chat traversent la rue. Ainsi ces invalides sont mis aux mêmes niveaux que ces animaux, qui à cette époque était une espèce inférieur aux hommes. Et l’arrière-plan, des vitrines contiennent des perruques, des corsets et des prothèses qui ne sont surement pas pour eux. On aperçoit aussi une forme de squelette tenant une faux qui désigne la mort tracée en blanc sur un fond sombre. L’auteur Otto Dix a réalisé cette œuvre en voulant nous faire comprendre

excès comme par exemple quand le valet tente d’ouvrir la porte ainsi que la brosse qui s’enflamme et le pulvérisateur qui provoque une danse. ⇨ rapport a la magie ⇨ Le personnage supposé magicien qui parle allemand ⇨ Costume comme les perruques, méthode rapide pour faire changer de personnage l’acteur. ⇨ Les caractères de personnage comme Adriana qui n’attend pas les explications avant de se mettre en colère (une femme quoi) III- Humour ⇨ Un comique de répétions Par exemple

Ce matériau permet des reproductions détaillées. Il peint ensuite à l’acrylique puis à l’huile ses mannequins de manière fidèle, sans négliger aucun détail : couleur de la peau, bleu des veines, taches de rousseur, rides, pilosité… Il ajoute des perruques, des yeux de verre, des vêtements et d’autres accessoires. Duane Hanson accorde la plus grande importance aux vêtements de ses sculptures. Ce sont des effets personnels donnés par des modèles ou des pièces d’occasion qu’il choisit avec soin dans

Au lendemain de la Révolution Française la perruque poudrée de mouche ou de rouge aristocratique laissent leurs place a une toute nouvelle mode donnant a la femme d'avantage de coquetterie à l'image de la parisienne. Pendant ce siècle deux types de femmes se partageant le devant de la scène : la belle malade et la petite bourgeoise. Cette dernière, bien en chair, brune avec le corps laiteux incarne la beauté dans son aspect le plus lisse et le plus réglementé. C'est le temps des hauts-de-forme,

animaux (un chien et un chat). A droite on voit le derrière d'une femme aux formes généreuses. A gauche, il y a deux passants, l'un possède une prothèses au bras, et l'autre donne un timbre à l'invalide. Au dernier plan, on voit deux boutiques de perruques et de prothèses. On voit aussi une petite fille qui dessine et qui est surement orpheline. Dans ce tableau l'auteur veut tout d'abord montrer la conséquence de la guerre, on la voit notamment avec ces deux invalides (victimes directes), cette