Perruque

femme battue. 2- L’analyse technique est d’abord il moule le corps du modèle avec des bandes de plâtre. Ensuite il coule ensuite du polyester dans ces moules et renforce ses moulages avec de la fibre de verre, les soude, les peint puis ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires. Enfin il peint selon une technique méticuleuse pour donner l'illusion du réel. III-Interprétation : 1- Le message que veut faire passer Hanson est de réussit à donner l’illusion de réalité quand il représente

IRONIE Balzac va faire un portrait critique de Mme Vauquer : il utilise l'ironie A ) Traits de caractère 1°) Coquetterie et vanité Vauquer a des faux cheveux (l.5-6). Elle est « attifée » (l.5). Elle n'a pas eu le temps de bien placer sa perruque. De même, elle a « un bonnet de tulle » (l.5). C'est une dentelle pas coûteuse. 2°) Laisser - aller Elle marche en traînassant ses pantoufles (l.6). Cela lui donne une certaine mollesse s'opposant à la vivacité du chat. « les pantoufles

l’Amérique moyenne. Il met en scène une pose caractéristique et moule le corps du modèle avec des bandes de plâtre. Il coule ensuite du polyester dans ces moules et renforce ses moulages avec de la fibre de verre, les soude, les peint puis ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires (comme une poupée réel). L’artiste s’est ainsi rendu célèbre avec sa ménagère au Caddie plein de courses. Sa technique, sa sculpture est comme une illusion de la réalité et se rapproche finalement des réalisations

réalisateur. Mais la peinture reste sa plus grande passion. Andy Warhols fait sa premiere exposition en 1952 à la Hugo Gallery à New york. Entre 1953 et 1955 il devient créateur de costumes dans une troupes de théatre. Il s’affuble alors d’une perruque platine qui le caracterisera jusqu'à la fin de sa vie. En 1960, il réalise ses premiers tableaux inspirés des comics, à la meme période que Roy Lichtenstein. C’est en 1962 que warhols participe avec Lichtenstein et des artistes Français comme Klein

mendiant, autres exhibant leurs blessures comme autant de preuves de leurs bravoure guerrières. Dans la Rue de Prague leurs infirmités se trouvent accentuées par la proximité d’une femme en robe rose moulante et d’un chien. La vitrine contient des perruques, des corsets et des prothèses. Une main de bois tien une canne. Près du cul de jatte au buste monter sur affichette qui porte en titre « Dehors les Juifs ». Les ligues d’anciens combattants étaient en effet très sensibles à la propagande ultranationaliste

 Sur l’herbe  L'abbé divague. - Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. - Ce vieux vin de Chypre est exquis Moins, Camargo, que votre nuque. - Ma flamme... - Do, mi, sol, la, si, L'abbé, ta noirceur se dévoile! - Que je meure, mesdames, si Je ne vous décroche une étoile! - Je voudrais être petit chien! - Embrassons nos bergères, l'une Après l'autre. - Messieurs, eh bien? - Do, mi, sol. - Hé! bonsoir la Lune « Le déjeuner sur l’herbe », de Manet 1863

petite fille seule(le visage de profil et l’œil de face). A ces pieds se trouvent un bout de journal ou est écrit « ikatur von rechts » (« dictature de droite »). - Le dernier plan se compose de vitrines de magasins. Dans l’une sont exposées des perruques pour dames, et dans l’autre on peut voir un mannequin en pièces détachées et des prothèses. Sur le mur entre les deux vitrines le mot « Dumm » (« idiot ») est griffonné. III- Explication de l’œuvre En 1920, âgé de 29 ans, Otto Dix est profondément

sur une chaîne1. Les premiers jouets ont été fabriqués à partir de matériaux trouvés dans la nature, comme des roches, des bâtons, et de l'argile. Il y a des milliers d'années, les enfants égyptiens jouaient avec des poupées qui avaient des perruques et des membres mobiles en pierre, en céramique ou en bois2. Dans la Grèce antique et la Rome antique, les enfants jouaient avec des poupées de cire ou de terre cuite, des bâtons et des yo-yos3, les garçons plus spécifiquement jouaient aux arcs et

; et ses cheveux blonds, frisés d’eux-mêmes en boucles légères, lui donnaient quelque chose d’enfantin. Il poussait du bout des lèvres une espèce de sifflement continu. L’air sérieux de Pécuchet frappa Bouvard. On aurait dit qu’il portait une perruque, tant les mèches garnissant son crâne élevé étaient plates et noires. Sa figure semblait toute en profil, à cause du nez qui descendait très bas. Ses jambes, prises dans des tuyaux de lasting, manquaient de proportion avec la longueur du buste, et

moules et renforce le moulage avec de la fibre de verre. Puis il soude les différentes parties. Une fois assemblées, les sculptures sont peintes selon une technique très méticuleuse dont il a le secret pour donner l’illusion du réel. Il ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires comme pour une poupée et son œuvre naît. Le courant de l’hyperréalisme a connu un très grand succès. Les sculptures de D. Hanson sont des caricatures de l’Amérique moyenne. Les postures relèvent de la mise en