Perruque

passer son fou rire. Mais le reportage ne vient pas. LE PRESENTATEUR. – Mais qu’est-ce qu’ils fichent, dans cette régis, je vais les appeler, moi… Y a pas de téléphone, ici ? Il ouvre le tiroir du bureau, en sort un saucisson, une tétine, une perruque, un litre de vin entamé, des BD, un rouleau de papier hygiénique… Mais pas de téléphone. Soudain un tabouret lui arrive dessus, lancé depuis la coulisse. Blessé pour la deuxième fois, il cesse de rire et s’assied, épuisé. Mais il se relève aussitôt

Nourriture cacher (nourriture naturelle) La pudeur est importante Pas attirer lattention, pas de parfum, pas de bruit avec ses souliers, pas de grosse boucles d’oreille, etre belle mais sans plus Les femmes marier doivents porter des perruques ou des foulards pour garder leur cheveux pour leur mari Ne peuvent pas manger du porc Pas acces a la television ni a la radio Les femmes peuvent juste etre une bonne femme et une bonne mere Ne peuvent pas faire carriere Il y a un nombre

moules et renforce le moulage avec de la fibre de verre. Puis il soude les différentes parties. Une fois assemblées, les sculptures sont peintes selon une technique très méticuleuse dont il a le secret pour donner l’illusion du réel. Il ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires comme pour une poupée et son œuvre naît. L'œuvre: Titre: Supermarket Lady Date:1969-1970 matériaux employés:fibre de verre et  vêtements tissus cette une sculpture en cire . Elle est exposée au Musée de

description est basé aussi sur un contraste et il semble que ce soit un personnage fantastique. Chabert est tout d’abord décrit comme un personnage mystérieux.Oon dirait qu’il veut cacher un secret « Son front, volontairement caché sous les cheveux de sa perruque lisse […] ». Ensuite à la ligne suivante les yeux du colonel semblent « couverts d’une taie transparente » or les yeux sont les fenêtres de l’âme et donc Chabert souhaite cacher quelque chose, mais qu’est ce ? Après ça on nous dit que le jeune avoué

emblème de sa campagne de pub suite à l’exposition que lui avait consacrée la photographe de Gina Garan. Ce sont des poupées de collection articulées d'environ 30cm, en vinyl et, même si beaucoup de filles les customisent en changeant par exemple leur perruque (wig, de marque Coolcat ou Luts par exemple), leurs yeux (eyes-ships ou acryliques), leur maquillage (make-up) ou leur corps (pour un corps de marque Obitsu par exemple. Leur avantage est qu'il est pus posable, valorisant l'aspect photogénique des

premier recueil Le Foyer et Les Champs. Durant son premier séjour à Paris, il fit la rencontre de quelques écrivains connu comme Victor Hugo. A son retour à Bruxelles, il travailla pour la revue La Jeune Belgique qui a pour but de traquer les vieilles perruques de la littérature. En 1888, il s’installa définitivement à Paris en tant que correspondant au journal de Bruxelles. Il mourut le 25 décembre 1894 à Paris.

d'un tutu en mousseline, de bas et de chaussons de danse. Ses cheveux sont noués par un ruban. La sculpture originale dont le corps est en cire colorée imitant la texture d'une peau humaine, était revêtue de vrais accessoires en tissus, et d'une perruque en cheveux. Son type de sculpture est réaliste La jeune danseuse qui servit de modèle à la sculpture de Degas se nommait Marie Geneviève van Gutten Née le 17 février 1864.

de la société de consommation. Il réalise des moulages sur des modèles vivants à l’aide de bandes de plâtre, il coule ensuite du polyester dans ces moules et le renforce à l’aide de fibre de verre ensuite il les soude, puis les peints, ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires. Il peint selon une technique méticuleuse pour donner l’impression de réel. Il veut représenter la vie quotidienne des américains. Il critique la société des USA. Il représente toutes ces personnes fatiguées et découragées :

yeux vides, mendie pour survivre. - Un autre mutilé, bien vêtu, le buste bien droit passe devant lui sans le regarder. 
 A l’arrière-plan, on remarque des vitrines de magasins. Un magasin où l’on vend des prothèses et des corsets, l’autre des perruques. Les mutilés et les vitrines font référence aux horreurs de la guerre (les corps blessés et les prothèses). L’orpheline fait, elle, référence aux victimes indirectes de la guerre. 
- L’artiste nous montre aussi la violence des contrastes sociaux

décore aussi des vitrines pour le grand magasin Bronwit Teller. C'est en 1952 qu'a lieu sa première exposition à la Hugo Gallery (New York). Entre 1953 et 1955, Andy devient créateur de costumes dans une troupe de théâtre. Il s'affuble alors d'une perruque platine qui le caractérise3. Il ne cessa de mener cette double vie : « J'ai commencé dans l'art commercial et je veux terminer avec une entreprise d'art... être bon en affaire, c'est la forme d'art la plus fascinante... gagner de l'argent est un