Perruque

maigreur, cachexie: poids, taille. - Haleine fétide, alcool, tabac. - Oedème, saillie des yeux, sueur, transpiration. - Voix rauque, inaudible, grave, aiguë criarde. - Présence ou absence d'infirmité: prothèse (dentier, lunettes, lentilles, perruque, membres...) - Comportement: gestes, fatigue (asthénie), agitation... - Apathie, désordre de la chevelure ou des vêtements. - Etat émotif: anxiété, angoisse, crainte, inquiétude, plainte... Tout au long de l'exposé, faire apparaître les moyens

nu pied, abandonné sur le trottoir, elle représente les nombreux orphelins à la fin de la guerre. Arrière-plan: A droite, il y a une vitrine ou sont exposées des prothèses pour les invalides de guerre. A gauche, il y a une vitrine qui expose des perruques et des objets féminins pour celle qui ont des préoccupations futiles et veulent oublier la guerre. Couleur: Otto Dix a choisit des couleurs violentes, rouge et noir. Conclusion: Les conséquences de la 1ère guerre mondiale en Allemagne, pays vaincu

nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant : Chiens de chrétiens ! - Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge en le maltraitant. - Mes joues creusaient ; mon terme était échu ; je voyais de loin arriver l'affreux recors, la plume fichée dans sa perruque ; en frémissant, je m'évertue. Il s'élève une question sur la nature des richesses, et, comme il n'est pas nécessaire de tenir les choses pour en raisonner, n'ayant pas un sol, j'écris sur la valeur de l'argent et sur son produit net ; sitôt je vois

yeux vides faisant la manche et à qui un passant donne un timbre.A travers ce geste nous pouvons constater l'ignorance qu'ont les civils pour les anciens soldats. L'arrière plan se compose de vitrines de magasins vendant pour celle de gauche des perruques pour femmes et pour celle de droite des prothèses. Interprétation: 1) Le climat politique Son pays, l’Allemagne, est alors le théâtre d’affrontements violents : tentatives révolutionnaires des Spartakistes, tentatives de coups d’Etats d’extrême

longeait la façade. Tout espoir de fuite fut donc interdit à Trompe-la-mort, sur qui tous les regards s’arrêtèrent irrésistiblement. Le chef alla droit à lui, commença par lui donner sur la tête une tape si violemment appliquée qu’il fit sauter la perruque et rendit à la tête de Collin toute son horreur. Accompagnée de cheveux rouge-brique et courts qui leur donnait un épouvantable caractère de force mêlée de ruse, cette tête et cette face, en harmonie avec le buste, furent intelligemment illuminées

formes, des techniques utilisées: Il réalise des moulages, sur des modèles vivant à l’aide de bande de plâtre, il coule ensuite du polyester dans ses moules et les renforces à l’aide de fibres de verre ensuite il les soude, puis les peins, ajoute une perruque, des vêtements et des accessoires. Il peint selon une technique méticuleuse pour donner l’impression de réel. L’hyperréaliste est un mouvement américain de milieu des années 1960 qui met en avant le réalisme quasiment phografique. Il s’inspire du

bain où il resta figé devant son reflet dans le miroir. Un hurlement strident parcourut toute la maison, son teint était devenu semblable à celui d’un vampire et une grosse boule rouge figurait à la place de son nez ! Ses cheveux… ou plutôt une perruque multicolore se dressait sur sa tête !!! Il était devenu… non, il ne put le croire… Il était devenu… un clown !!! Il se rendit immédiatement à l’hôpital, furieux et tenant pour responsables de cette transformation, les perfusions qui lui avaient

remarque aussi sur le trottoir des tracts de journaux antisémites : Juden raus ! (dehors les Juifs !) et puis on aperçoit aussi en sur impression, une faux et des morceaux de squelette. A l’arrière-plan, on voit des boutiques de prothèses, de perruques. Appuyé contre la vitrine, on aperçoit une petite fille dont l’aspect n’est pas celui d’un enfant en bonne santé. Sur les bords du tableau on peut voir des morceaux de corps appartenant à des personnes n’ayant pas souffert de la guerre dont les

régime. En 1830, le rideau se lève sur Hernani. Enfin mobilisée pour sa cause, voici l'armée des fidèles, violemment parés et décoiffés, visibles, voyants, sonores; en première ligne, le gilet rouge de Gautier et la crinière de Dumas. Contre les «perruques» académiques et les «grisâtres» classiques, les «flamboyants» défendent, pied à pied, l'alexandrin romantique. Succès de scandale, la bataille d'Hernani s'achève sur un triomphe financier et la victoire de l'art nouveau.

Prague. La rue de Prague est une grande rue commerçante de Dresde en Allemagne où a longtemps vécu Otto Dix. Au premier plan on peut y voir des personnages sur un trottoir, à l'arrière plan, des vitrines. Un magasin vend des prothèses, l'autre des perruques. Les personnages : Un ancien combattant mutilé, aux vêtements pauvres et au regard vide qui mendie. A gauche du tableau, une main fait l’aumône d'un timbre à l'ancien combattant. Un autre mutilé, bien vêtu passe devant lui, le buste bien droit