Personnag Du Lys Dans La Vallée

XIXe, ce mouvement va trouver ses thèmes dans cette classe sociale. Par ailleurs, les réalistes décrivent précisément le lieu, les personnages, leurs occupations et leurs métiers sans les idéaliser, donc c’est ça une description réaliste. En effet, par opposition aux romantiques, ils exposent les misères humaines comme la pauvreté, le malheur, et les maladies des personnages. De plus, ils dépeignent leurs ascensions sociales qui sont soit une réussite, Eugène de Rastignac, soit un échec, Julien Sorel

Chouans, qu’en 1829. Deux ans plus tard, La Peau de chagrin confirme son talent, et, en 1833, il conçoit le projet d’un « grand roman de la société » dont chaque titre formerait un chapitre ou reparaîtraient certains personnages. A cette même période, il a écrit Le lys dans la vallée, le colonel Chabert, le Médecin de campagne et Eugénie Grandet puis esquisse le plan des Etudes sociales qui prend en 1840 le titre de la Comédie humaine. A partir de 1847, sa santé décline rapidement. Il s’éteint en

sfumato (technique qui donne une impression de brume). La scène se déroule dans un « hortus conclusus », jardin symbolique de la virginité de la Vierge de puis le Moyen-âge. Sur la gauche du tableau on trouve l’ange Gabriel qui tient dans sa main un lys symbole de pureté. L’Annonciation est aujourd’hui au musée des offices à Florence. * La Madone à l'œillet (1476). Ce tableau représente Marie debout avec un œillet dans une de ses mains et dans ses bras Jésus qui est attiré par la fleur

Flaubert, dont les descriptions expriment les rêveries de ses personnages, ou Paul Bourget, qui commence par l'analyse psychologique pour expliquer les comportement? Sont réalistes, les romanciers qui étudient objectivement les lois de la société; mais ceux qui voient le monde à travers une conscience unique pratiquent ce qu'on nomme le «réalisme subjectif» ou «réalisme de point de vue». En combattant les «notions périmées» (personnage, convention du récit, … ), les auteurs du «nouveau roman» ont

paysage dans lequel nos héros vont évoluer et ce, durant une dizaine de pages.La description peut donc être critiquée car elle retarde l‘action, ce qui peut sembler irritant pour un lecteur désireux de se plonger dans l’histoire, de se rapprocher des personnages et de connaître l’intrigue. Elle marque des « temps morts » de par son caractère intemporel et se présente comme un obstacle narratif, notamment lorsque l’auteur se met en position de « scientifique » et emploie donc un vocabulaire technique, comme

prématurément, à l’âge de 51 ans, le 18 août 1850, peu de temps après avoir épousé Eve Hanska. Principales œuvres : 1829 : Les Chouans 1831 : La Peau de chagrin 1832 : Le curé de Tours 1833 : Eugénie Grandet 1835 : Le père Goriot 1836 : Le lys dans la vallée 1837 : Illusions perdues 1846 : La cousine Bette 1847 : Splendeurs et Misères des courtisanes c/ Emile Zola (1840-1902) Né à Paris en 1840, Emile Zola est le fils d’un ingénieur italien, qui décède en 1847 alors que la famille est installée

avoir compris qu'elle peut vivre autrement, annonce son départ vers la ville, abandonnant Luo. Celui-ci, dégoûté, brûle tous les livres avec lesquels il l’avait "transformée". 2 2° Le personnage principal et ses actions Dans le livre, le personnage principal est la Petite Tailleuse, qui est un personnage complexe. On ne connait pas son nom, car elle représente la jeunesse féminine chinoise. C'est une montagnarde, amoureuse de Luo et amie du narrateur. Dans le monde montagnard elle semble

une forme d'œuvres qui oscillent entre les deux.Citons notamment Stendhal, précurseur de la littérature-miroir, proche d'un romantisme violent avec le personnage de Julien Sorel, ou feutré avec La Chartreuse de Parme. Et aussi Balzac, proche d'un réalisme romantique avec le personnage de Lucien de Rubempré ou du roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ces nuances ont mis du temps à voir le jour. « Stendhal et Balzac avaient pu paraître des anti-Lamartine: on s'apercevait qu'ils étaient mieux

forme d'œuvres qui oscillent entre les deux. Citons notamment Stendhal, précurseur de la littérature-miroir, proche d'un romantisme violent avec le personnage de Julien Sorel, ou feutré avec La Chartreuse de Parme. Et aussi Balzac, proche d'un réalisme romantique avec le personnage de Lucien de Rubempré ou du roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ces nuances ont mis du temps à voir le jour. « Stendhal et Balzac avaient pu paraître des anti-Lamartine: on s'apercevait qu'ils étaient mieux

romantiques Mimesis: Observation et reproduction attentive des choses du monde et de l’histoire Attention particulière au rapport homme et son milieu( Balzac: “Comédie humaine”) présence de toutes les typologies sociales( personnages ordinaires, bas, laids) refus de l’idéalisation (à différence de Hugo, “Notre Dame de Paris”, Quasimodo) Rejet de la subjectivité: l’Auteur s’efface Documentation: Désir d’exactitude dans la représentation du monde